Mise à jour : 09 septembre 2016

Discographie Berlioz
Symphonie Fantastique



T

Tabachnik

ø Concert octobre 1995 - OS. Radio - [Inédit ]
Durées : I. 13'33 - II. 6'12 - III. 17'07 - IV. 4'51 - V. 9'56

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Talmi, 1995 (Naxos 8.553 597)

Talmi

ø novembre 1995 - OS. de San Diego
* CD : Naxos 8.553 597
Durées : I. 13'09 - II. 6'11 - III. 15'29 - IV. 4'40 - V. 9'55 = 49'45

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Temirkanov, 1991 (Rca 09026 61203-2)

Temirkanov

ø 25-26 mai 1991 - LSO
* CD : RCA 09026 61203-2 (+ ouvertures)
Durées : I. 15'13 - II. 6'18 - III. 18'02 - IV. 4'21 - V. 10'11 = 54'33
5/8 Rép. n° 53

« Temirkanov n'hésite pas à susciter le texte, appuyant ses phrasés et accentuant les variations de tempo. Son Berlioz se veut spectaculaire, fracassant et acharné... Dans le 1er mouvement, l'atmosphère devient nostalgique et malsaine, avec une complaisance trop évidente. Cette approche privilégie évidemment l'incident anecdotique plutôt que la grande ligne : le "Bal" souffre de rallentendos inutiles et le "Songe d'une nuit de Sabbat" de tutti trop simplement impressionnants... Le Royal Philharmonic est survolté jusqu'à l'obsession (mais parfois à bout de souffle)... C'est finalement dans la "Scène aux champs" que le climat tendre et chaleureux de Temirkanov nous vaut une atmosphère rêveuse autour d'un cor anglais idéalement savoureux... » (Serge Martin, Diapason n° 387 - novembre 1992)

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Ticciati

ø Edinbourg, Usher Hall, 7-10 octobre 2011 - Orchestre de chambre d'Écosse
* CD : Linn CKD 400 (SACD p 2012 + Ouverture de Béatrice et Bénédict)
Durée : 54'58

Critique entousiaste de Christophe Huss sur classicstodayfrance.com.

Critique en anglais de Dan Morgan.

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Tilson-Thomas, 1998 (Rca 09026 68930-2)

Tilson Thomas

ø Davies Symphony Hall, 1er juillet 1998 - OS. San Francisco
* CD : RCA 09026 68930-2 (+ ext. Lelio)
Durées : I. 15'48 (reprises) - II. 6'49 - III. 17'04 - IV. (6'36 reprises) - V. 9'21 = 56'03
10 Rép. n° 115 / 4Y Diap. n° 450 / Choc Monde / 4f TRM

« Tilson Thomas nous livre rien moins que la grande version moderne de cette partition, celle qui apporte quelque chose à notre connaissance de l'oeuvre, une nouvelle dimension par rapport aux grandes références traditionnelles. Cet apport c'est une conception du moindre détail, du moindre équilibre orchestral, (écoutez la fin du premier mouvement ou les trois dernières minutes de la Scène au champs), tout en préservant une force et une spontanéité éloquentes. C'est aussi une puissance et une utilisation parfaite des ressources techniques modernes, tant dans la gestion de l'orchestre et de ses masses que de leur captation par l'équipe technique. Ainsi le chef américain joue sur la couleur, les équilibres et la puissance, là où la patte des grands anciens s'exprimait plutôt en terme de tempo et de saillances instrumentales. Tilson Thomas peut se permettre le luxe d'un crescendo aux percussions aussi prémédité qu'échevelé dans les ultimes secondes de l'oeuvre. Il se permet d'allier jeu orchestral parfait et démonisme, cultivan par exemple des bois sardoniques et un double contre-chant calibré au millimètre débouchant sur un tonnerre entre 1'41 [et] 2'33 de V [...]. Dans la Valse il ne se repaît pas des fioritures accessoires de la trompette, mais joue sur la souplesse et malaxe le matériau sonore harpe-corde-bois. Partout irradient la patience, l'intelligence, la poésie, la force (alors que Munch, Paray, Mitropoulos ou Solti sont sanguins, Tilson Thomas est redoublement puissant), la maîtrise absolue d'une lecture orchestrale proprement hallucinante. » (Ch. Huss, Répertoire n° 115 et HS)

« Tilson Thomas s'engage résolument dans un interprétation subjective - rythmiquement très contrastée - de la Symphonie fantastique. Dans le contexte critique actuel, qui privilégie l'aspect classique des grandes architectures berlioziennes, la caractérisation spontanée du jeune chef relève du courage romantique. Cette Fantastique ne peut donc être confondue avec les sage lectures métronomiques qui encombre une discographie pléthorique. » (Ch. Deshoulieres, Diapason n° 450)

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Tremblay

ø 2009 - Orchestre de la Francophonie
* CD : Analekta AN 2 9998

Critique de Christophe Huss sur classicstodayfrance.com.

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Tung

ø 1980 - O. Philharmonia
* LP : ASV ABM 754 / Enigma K 53593

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