Franz Schubert
La fin de Frülingssehnsucht et le début de Ständchen.
Ces lieder font partie du recueil Schwanengesang, ou chants du cygne. Frülingssehnsucht [Nostalgie de printemps] et Ständchen [Sérénade] sont composés sur des poèmes de Ludwig Rellstab.
Le premier se termine sur ces mots : « Désir inassouvis, coeur insatiable, ne connaissez-vous que larmes, plaintes et tourments ? Moi aussi, je me sens riche de sève et de vie ! Qui apaisera enfin ma passion brûlante ? Toi seule peux délivrer le printemps qui est en moi, toi seule ! ».Sérénade, commence ainsi : « Doucement mes chants te supplient dans la nuit. Descend au bosquet silencieux, bien aimée, viens à moi. »