Mise à jour : 17 décembre 2005

Discographie J-S. Bach
Variations Goldberg

(Clavier-Übung IV)


Clavecin

S

Salánki, ø 1987 - Price-Less D-1418X
Durée : 43'20

Sanger, ø 1975 - Saga [5395 - LP]
Clavecin : John Feldberg

Scheurich, ø ? - Intercord 29723-4K [LP]

Schneider, ø 3 juin 1971 - Philips 13PC133 (p 1979) [LP]
Durée : 43'39

Schornscheim, 1994 (Cappriccio 10 577-78)

Schornsheim, ø 11 juin 1994 - Cappriccio 10 577/78
Durée : 1 h 20' 13
Instrument : Clavecin Joop Klinkhamer.
4Y Diap. n° 435

« [Christine] Schornsheim, qui ornemente çà et là à sa guise, risque quelques originalités rythmiques anecdotiques (Var. 23) et fait toutes les reprises (y compris celles de la Var. 25 qui a elle-seule s'étend sur plus de sept minutes !), elle privilégie la fermeté, la grandeur, voire la grandiloquence, en un style coloré et contrasté. On pourrait cependantémettre quelques objections : en ce qui concerne la lourdeur de certaines variations par exemple (Var. 3, 10, 19, 20) et jusqu'à la toccata de la Var. 29 qui se traîne sans risque. » (Adélaïde de Place, Diapason n° 435)

Silver, ø 1964 - Saga 5220 [LP]

Skudlik, ø c. 1995 - Ambitus AMB-97 937
Clavecin français vers 1630
Durée : 48'59

Smith, ø Concert Chapelle Trinity College, Hartford, décembre 1995 - TowerHill TH 71991
Clavecin : Eric Herz, Boston, 1969
Durée : 76'22

Soné, ø décembre 1998 - Erato WPCS-10152 (Japon)
Clavecin : anonyme français XVIIIe siècle
Durée : 73'21

Suzuki [2], ø 8 avril 1997 - King KICC-224 (Japon)

Suzuki [2], ø juillet 1997 - Bis CD 819
Durée : 73'17
8 Rép. n° 117

« Masaaki Suzuki s'affirme dans ces Variations Goldberg comme un claveciniste majeur. [...] Suzuki prolonge [...] dans sa lecture des Goldberg bon nombre des opinions défendues par son maître [Ton Koopman] : ornementation riche (inspirée par la copie personnelle de Bach découverte il y a une vingtaine d'années [NB : à Strasbourg en 1975 et conservée maintenant à la Bibliothèque Nationale]), caractérisation et tempo des variations, esthétique de l'instrument. [...] Tout le talent de « l'élève » se révèle cependant dans sa capacité à obtenir, en partant d'option interprétatives très proche du maître, un résultat diamétralement opposé. [...] Suzuki ne se distingue pas par sa fantaisie mais par l'aplomb avec lequel il construit les métamorphoses du thème. La largeur du geste, l'assise de la main gauche et l'agogique infaillible font parfois penser à [Andreas] Staier. » (Gaethan Naulleau, Répertoire n° 117)


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