Mise à jour : 14 octobre 2013
A
ø Studio Iassy, Philharmonic Concert Hall, avril 1984 - OP. Moldovie
* LP : Electrecord ST-ECE 02592 (Roumanie)
* CD : Bayer BR 100 183 (p 1993)
Durées : I. 10'45 - II. 14'30
ø Concert radio 8-9 juin 1976 - OS. Südwestfunk Baden-Baden
* CD : Astrée E 7805-09
Durées : I. 10'51 - II. 14'53 = 25'44
9/7 Répertoire n° 40 (pour le coffret de 4 disques Schoenberg, Berg, Webern, Bartok) / 4Y Diapason n° 374
ø Concert Berlin, 1983 - Orchestre Philharmonique de Berlin - [Inédit ]
ø Concert Royal Albert Hall, 4 août 1987 - OS. BBC - [Origine : Archive BBC]
B
ø 2005 - Mahler Chamber O.
* CD : DG (+ Stravinsky)
Durées : I. 10'46 - II. 14'57
Diapason d'or
C
ø 2011 - Philharmonique de Vienne
* CD : Virgin Classics 50999 60265 (p 2012 + Brahms)
Durées : I. 11'22 - II. 16'00
ø Chicago, Orchestra Hall, octobre 1983 - OS. de Chicago
* CD : Decca 460 005-2 / "Enterprise" 430 349-2 (p 1991 + Concerto de Chambre) / 411 804-2 (p 1984)
Durées : I. 10'55 (4'17 + 6'39) - II. 14'56 (6'52 + 8'08) = 25'51
Son : P. Meyers - J. Lock
7/6 Répertoire n° 37 / 2Y Diapason n° 300, 372 / 3d Compact n° 66
« [Voici] une honnête version du Concerto à la mémoire d'un ange. Solti n'est pas très convaincu, peut-être parce que le violoniste n'est carrément pas convaincant. Son ange a du plomb dans l'aile. [...] » (Jean Vermeil, Répertoire n° 37)
« Avec Kyung Wha Chung et Solti, beauté sonore et perfection plastique sont au rendez-vous. Il ne manque que l'engagement suprême, cette tension, ce calme réussi par Perlman, l'affirmation d'une réelle personnalité, pour que le testament de Berg atteigne sa réelle puissance émotive. Solti obtient de l'orchestre les couleurs qu'il veut, mais la jeune violoniste coréenne a quelques peine à suivre cette trame opératique où son jeu doit suggérer, le plus souvent imposer, les nuances que violons, harpe, altos, trombones prolongent et font irradier ; Chung a un jeu rayonnant, plus pastel que violemment coloré, et à l'écoute, nous restons passifs. » (Pierre-E. Barbier, Diapason n° 300 - décembre 1984)
« Solti reste à la périphérie de l'oeuvre, optant pour des partis extrêmes [...]. Kyang Wha Chang et Solti entretiennent surtout la dimension séraphique du Concerto à la mémoire d'un ange, la soliste par une figuration désincarnée réduisant au maximum le vibrato et maintenant un tempo plutôt rapide, et l'orchestre par une absence de pesanteur et une certaine uniformité de phrasé. Le Chicago Symphony sort de sa réserve pour la peinture des tourments. Il se libère dans les explosions parfois excessives mais réhausse ainsi le jeu de Chung. Leur conjonction atteint un sommet lors du placage d'une ritournelle atonale sur l'harmonie de Bach. Le malaise esthétique est parfait et l'on s'interroge sur la réalité de l'apaisement qui suit. » (Pierre Gervasoni, Diapason n° 372 p. 109 - juin 1991)
« Cette version du Concerto à la mémoire d'un ange de Berg, bien jouée et structurée, malgré certaines sécheresses de l'archet, apparaît toutefois trop distante et purement « musicale », faisant abstraction du drame qui inspira le compositeur. » (Bruno Serrou, Compact n° 66)
D
ø Concert ? - O. de Cleveland
* DVD : Vaia VAIDVD 4271
F
ø Studio Bologne, Auditorio Manzoni, novembre 2010 - Orchestra Mozart
* CD : Harmonia Mundi HMC 902105 (p 2012 + Beethoven)
Durées : I. 11'51 - II. 16'07
ø Concert Genève, Victoria hall, 3 avril 1957 - O. de la Suisse Romande
* CD : Claves 50 2516 (p 2005 + Stravinsky/1966)
Durée : 11'02 - II. 14'37
ø Concert Salzbourg, 17 août 1960 - Orchestre Philharmonique de Berlin
* CD : Testament SBT 21472 (p 2012) / Orfeo C 838112 B (p 2011 + 9e Bruckner)
Durées : I. 10'43 - II. 15'06
ø Concert Besançon, 9 septembre 1960 - OP. RTF - [Origine : Archive Radio]
ø Paris, janvier 1962 - Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire Paris
* LP : Emi/Angel 36171 (p 1964)
* CD : Emi "Les Introuvables de Christian Ferras" 574872 (p 2007) / 4 83604-2 (+ Kammerkonzert)
Durées : I. 11'06 - II. 14'11 = 25'17
7/5 Répertoire n° 96 - Diapason historique n° 432
« Malgré un prise de son peu différenciée sur l'orchestre, Christian Ferras réussit dès les premières notes du « Concerto à la mémoire d'un ange » à nous envouter par sa sonorité chaude, prenante d'une intensité de braise (superbe médium). Sculptant soigneusement ses phrasés et laissant respirer l'émotion dans la diversité des tempos pris avec une spontanéité juvénile, il conduit le discours avec une rayonnante autorité, en s'imposant même comme un véritable chef de l'ensemble. Loin de certains détachements contemplatifs, Ferras est là réellement déchirant dans son engagement (début du deuxième mouvement pris avec une rage pyrotechnique haletante). Prêtre suit assez bien cette étoile filante en dramatisant les nervures rythmiques, mais l'intelligibilité de l'orchestre et le travail sur les timbres restent insuffisants, partiellement sans doute à cause de la prise de son un peu analytique, et même assez lointaine sur les tutti. On a donc constamment l'impression d'entendre un sublime « violon accompagné », plus qu'un concerto. [...] La lecture brûlante de Ferras est une expérience passionnante. » (Jean-Marie Brohm, Répertoire n° 96)
« Dans sa vision du Concerto « A la mémoire d'un ange », sans doute l'une des plus vicérales jamais gravées [...] le violoniste laisse libre cours à son formidable instinct. Et jouant sur chaque ligne comme s'il vivait son propre destin, il habite l'oeuvre d'un dramatisme passionnel. La clarté de son jeu, l'intensité de son vibrato et de son engagement émotionnel, sa sonorité charnelle et la parfaite cohésion entre orchestre, chef et soliste donnent à cette lecture un pathétisme rare et totalement envoûtant. » (J-M Molkhou, Diapason n° 432)
ø Concert Berlin, 1964 - OS. Radio Berlin
* CD : Audite 95.590 (p 2011 + Beethoven)
Durées : I. 10'55 - II. 14'09
ø Concert ? - OS. NBC
* CD : Intaglio 706 (+ Brahms)
G
ø Leipzig, ? - OS. Radio Berlin
* CD : Berlin Classics
ø ? - OS. BBC
* 78t :
ø Londres, Kingsway Hall, 17/19 août 1953 - O. Philharmonia
* LP : Columbia 33C 1030
* CD : Emi - Hungaroton HCD 31635 (+ Concerto Bwv 1041, Bach ; Sonate violon solo, Bartok
Durées : I. 11'30 (4'30 + 7') ; II. 14'33 (7'30 + 7') = 26'03
ø 1953 - OS. Vienne
* LP : Vox 21 808 - 8660 / PL 10760 / Fratelli Fabbri "La Musica Moderna 61" MM-1061 (p 1967)
* CD : Brilliant Classics "The Art of Ivry Gitlis" 9145 [3CD] / Vox 7818 (+ Hindemith, Stravinsky)
Durées : I. 11'05 - II. 13'00 = 24'05
Diapason d'or n° 494 / Grand Prix du disque 1956
« Comment résister en effet au formidable influx dont [Ivry Gitlis] anime l'oeuvre tout entière, et à ce mélange unique de ferveur et d'exaltation. Avec son vibrato incandescent, Gitlis prend la partition à bras-le-corp, habitant chaque ligne d'une énergie visionnaire. Cinquante ans plus tard, et malgré lenrichissement considérable de la discographie, lémotion et l'élan de son jeu sont intacts, sans une ride. Peut-être même inégalés. » (Jean-Michel Molkhou, Diapason n° 494 p. 128 - juillet 2002)
ø 50-70 - OS. Pittsburgh
* CD : Music and Arts "Szymon Goldberg Centenary Edition, vol. 1 : Non-Commercial Recordings" MACD1223 [8CD] (p 2009)
Durées : I. 9'35 - II. 16'43
ø Sofia, juin 1990 - OP. Sofia
* CD : Pyramid 1349 (+ Concerto, Beethoven)
Diapason n° 370
ø Amsterdam, janvier 1967 - O. Concertgebouw
* LP : Philips / Deutscher Schallplattenclub J 831 (+ Stravinsky/Bour) / "Invitation à la Musique" 6539 061 (France - p 1967 + op. 6 Dorati)
* CD : Decca "Eloquence" ELQ 480 0481 (Australie + Stravinski ; Tchaikovski/Lestowicz-1956) / Philips "Legendary Classics" 422 136-2 (+ Concerto Stravinski)
Durée : I - 10'16 ; II - 14'10 (6'50 + 7'20) = 24'26
H
ø Netherlands Hilversum Concert Hall, 31 août 1999 - O. Radio Hollandaise
* CD : Naxos 8.554 755 (p 2002 + Suite Lyrique, Pièces op. 6)
Durées : I. 11'32 - II. 14'53 = 26'25
ø Concert 1974 - O. New Philharmonia
* CD : Doremi "Live Performances 1967-1977" DHR 7906-8 [3CD] (p 2007 + Brahms, Paganini, Sibelius, Tchaikovski)
Durées : I. 10'55 - II. 13'42
ø Concert 1985 - OP. Liege
* CD : Cyprès 9605 (+ Beethoven ; Concerto n° 1, Paganini)
7 Répertoire n° 115
Philippe Hirschhorn est né en Lettonie en 1946 et décédé à Bruxelles en 1996
« Au sommet de cette édition, ce Concerto de Berg, enregistré live en 1985, représente un apport discographique majeur, même pour le non initié. [...] L'interprétation d'Hirschhorn est tout simplement l'un des plus belles qu'il m'ait été donné d'entendre. La concentration du tempo, la pureté instrumentale, la noirceur du climat, incroyablement tourmenté, permettent d'entre-voir la quête d'absolu qu'a menée cet artiste. » (Ch. Robert, Répertoire n° 115 p. 75 - juillet 1998)
ø Cologne, 1977 - OS. Radio de Cologne
* LP : Deutsche Harmonia Mundi 1C 065-99848 (p 1979 + op. 6)
* CD : RCA "Navigator" 74321 29243-2
Durée : 27'20
ø 2003 - OS. BBC
* CD : Warner Classics "The Warner Recordings" 2564-66054-2 [5CD] (p 2012) / Warner 2564-60291-2 (p 2004)
Durées : I. 12'01 - II. 17'07
K
ø Concert Kuhmo, festival Bregenzer, 1985 - OS. Vienne
* CD : Live Classics "Ed. Kagan vol. 7" LCL 143 (p 1994 + Sibelius/1965)
Durées : I. 10'52 - II. 15'05
6/7 Répertoire n° 74 / 4Y Diapason n° 411
« Le Concerto à la mémoire d'un ange [de Oleg Kagan] est empreint d'une gravité indubitablement personnel de l'interprète. Son phrasé, élégant et naturel, ses rubatos sensibles et intelligents, servent admirablement la fluidité trop souvent négligée de la partition. Attentif aux différents caractères (sauf peut-être au rustico) d'une masse orchestrale en mutation permanente, Hans Vonk soigne davantage le modelé des Wiener Symphoniker que leur force de pénétration. Cependant, à l'image d'un choral (de Bach) idéalement décanté par le prisme de Berg, le chant peu à peu éthéré de Kagan confère à cette lecture en concert une rare qualité d'élévation. » (Pierre Gervasoni, Diapason n° 411 p. 136 - janvier 1995)
ø Budapest, Italian Institute, septembre 2001 - O. Festival Budapest
* CD : Koch 7530 (p 2002 + Stravinski)
Son : Marco Lincetto
Durées : I. 11' 15 - II. 15'42 = 26'57
ø Concert Londres, Royal Festival Hall, 25 mars 2000 - OS. BBC
* CD : BBC Music Magazine MM214 (vol. 10 n° 6 + Verklärte Nacht Schoenberg/Runnicles)
Durées : I. 11'24 - II. 15'23
ø Concert Londres, Royal Festival Hall, 8 octobre 1990 - OS. BBC
* CD : Decca
ø Concert Londres, Royal Festival Hall, 8 octobre 1990 - OS. Gothenburg
* SACD : Chandos CHSA 5074 [2SA-CD] (+ Lulu Suite, Sonate op. 1 vers. Orchestrée/Theo Verbey)
ø Concert 1960 - OS. État URSS
* CD : Archellino
ø 3 octobre 1966 - OS. Radio TV Russe
* LP : RCA Victor VIC-5089
* CD : Russian Revelation RV 10075 (p 1997 + Hindemith et Stravinski/Oistrakh/Kondrachine, ) / Arlecchino "Kogan Legacy vol. 1" ARL 6 (+ n° 1 de Chostakovitch) [repiquages de microsillons]
Durée : 10'39 - II. 14'30 = 25'09
8/6 Répertoire n° 72 / Diapason d'or n° 408
« Le [Concerto de] Berg avec [Guennadi] Rozhdestvenski pâtît des mêmes défauts (cette « matérialité » omniprésente) malgré le soutien attentif et efficace de l'orchestre. Toutefois la nature parfois expressionniste du dicours s'accorde magnifiquement au jeu de Kogan. » (Christophe Rober, Répertoire n° 72 p. 85)
ø Concert radio Philadelphie, 30 janvier 1969 - O. Philhadelphie
* CD : Philadelphia Orchestra Association POA100 - [Origine : Archive radio]
ø Concert Londres, 1er mai 1936 - OS. BBC
* 78t : Decca/Polydor CA 8244/7
* CD : Philips / Testament SBT 1004 (p 1991 + Suite Lyrique)
Durées : I. 13'19 - II. 16'24 = 29'43
3/2 Répertoire n° 40 - Diapason Historique n° 375 - 4d Compact n° 68
« C'est Anton Webern, habitué de l'Orchestre de la BBC de 1929 à 1936 qui dirigea la création londonienne de l'oeuvre [d'Alban Berg]. En voici l'enregistrement public. Il devrait nous toucher, tant comme preuve de la solidarité qui étreignait, même post-mortem, les trois viennois, que pour entendre Webern, le plus radical d'entre eux à l'oeuvre. Mis à part le cas où l'orchestre se serait montré franchemet décevant [...] on pouvait tenir l'interprétation pour proche de la volonté de l'auteur, ou du moins de sa mouvance. Hélas, on s'ennuie terriblement. L'interprétation de Webern est hâtive, nerveuse, crispée ou décousue, lyrique et sèche à la fois. On pourrait la qualifier de boulézienne première manière : ce n'est pas un hasard si l'un est le fils spirituel de l'autre. Webern se comporte en compositeur qui savoure le détail, oublie l'ensemble et voudrait se passer du public. Ce n'est pas la première fois qu'il sera écrit que les compositeurs ne sont pas des chefs innés. Kasner, commanditaire de l'oeuvre et son interprète exclusif pendant deux ans, s'offre un sacré numéro de soliste. Il tire le concerto dans un pathos brahmsien et obstiné. Par narcissisme : à preuve, c'est lui qui a fait effectuer cet enregistrement pro domo du concert. Et aussi parce qu'il ne « sent » pas Webern : n'a-t-il pas fallu, juste avant [la création au festival international de musique contemporaine - International Society for Contemporary Music, en anglais, ou ISCM, -, cette année-là à] Barcelone, remplacer in extremis Webern qui se noyait par [Hermann] Scherchen ? Le concerto pose encore des difficultés techniques, qu'il masque sous le métier. Il sera plus à l'aise, mais toujours aussi impérieux, dans [ses enregistrements suivants]. » (Jean Vermeil, Répertoire n° 40)
« Cet unique témoignage enregistré de Webern dirigeant l'oeuvre d'un autre [...] confirme sa réputation de chef d'orchestre (et de choeur) inspiré, réfléchi et perfectionniste. En effet, il émane de ce concert non seulement l'émotion la plus profonde, un grand lyrisme, mais aussi une extrème maîtrise des masses instrumentales et une précision inouïe des ligne polyphoniques et instrumentales. Malgré les tensions dramatiques mises en relief par Webern, le chef brosse une lecture poétique, tendre, rêveuse (première partie). Les différentes voix de l'orchestre atteignent une prodigieuse clarté (perceptible malgré la qualité précaire de la prise de son), les musiciens du Symphonique de la BBC démontrant une réelle maîtrise de la partition. L'oeuvre atteint une extrème expressivité, poingnante et grave jusqu'à la déchirure (deuxième partie). Jouant un violon aux sonorités pleines et ayant totalement surmonté les problèmes techniques inhérents à l'oeuvre, Louis Krasner incarne l'âme de Manon. [...] - Technique : Fort bruit de surface. Le son est rauque, fortement coloré et distordu. L'aération, la restitution et le respect des timbres sont très médiocres. » (Bruno Serrou, Compact n° 68)
ø 20 avril 1938 - OP. de Stockholm
* CD : Guild GHCD 2372 (p 2012) / GM 2006 (+ Concerto, Schoenberg)
Durées : I. 10'43 - II. 14'31 = 25'36
ø 15 décembre 1940 - O. de Cleveland
* LP : Columbia
* CD : Naxos "Classical Archives" 9.80226 (p 2000 + Schoenberg/Mitropoulos-1954) / Lys "L'Héritage d'A. Rodzinski, vol. 2" LYS-146 (+ Sibelius)
Durées : I. 10'32 - II. 12'22
Répertoire n° 120 p. 85 - 5Y Diapason n° 435
« Pour Louis Krasner, qui enregistrait ici le Concerto de Berg quatre ans après l'avoir créé, cette partition est d'abord l'occasion d'une exceptionnelle leçon de beau violon : le son reste homogène sur les quatre cordes, les attaques sont sobres et contrôlé, les traits rapides sont avalés avec aisance. Ce digne disciple de Carl Flesch et Lucien Capet n'hésite donc pas à jouer de toutes les ressources d'une virtuosité aristocratique, dans une oeuvre où, après lui, d'autres solistes voudront attaquer l'auditeur directement au plexus, en un cri expresionniste plus ou moins mâtiné de destructurations modernistes. Krasner, lui, se contentait de faire chanter son violon, conférant d'emblée un statut classique à l'ultime chef-d'oeuvre de Berg. La retenue de l'ochestre de Rodzinski, sa capacité à accompagner le soliste au sein des textures les plus éclatées vont dans le même sens. » (Eric Taver, Diapason n° 435)
ø 1983 - O. de Paris - [Origine : Archive Radio France]
ø Munich, Herkulessaal, mars 1984 - OS. Radio Bavaroise
* CD : Newton Classics 771018 (p 2010) / Philips Duo "The Essential Alban Berg" 470 531-2 [2CD] / 412 523-2 (p 1985 + op. 6)
* DVD : Arthaus Musik 102117 / 102 033 (p 2008)
Durées : I. 11'51 - II. 16'32 = 28'23
3Y Diapason n° 312 - Grand Prix du disque de l'Académie du disque français, 1985
« [Gidon Kremer] grave avec la Radio Bavaroise [...] son approche profondément romantique. Il attaque l'Andante initial avec une douceur qui est presque tendresse, tout en arrivant à garder un pianissimo et un tempo immuable, qui ne font que rendre plus convaincante l'arrivée de l'Allegretto. Le phrasé est alors fermement marqué par le rythme de marche toujours sousjacent chez Berg, puis devient peut-être surexpressif dans la conclusion indiquée : comme une pastorale. La complexité contrapunctique du début du second mouvement, Allegro, est un hommage au Schöenberg des Pièces op. 16. C'est au chef, ici, Colin Davis, d'organiser cette masse sonore dont le rythme profond doit devenir peu à peu annonciateur du choral final. [...] Une prestation de Kremer, qui se situe dans le proloongement de celle de Gertler [...]. » (Pierre-E. Barbier, Diapason n° 312 p. 64 - janvier 1986)
ø Concert Birmingham, 9 mars 1994 - OS. City of Birmingham
* CD : Emi
M
ø 18 mars 1964 - O. Suisse Romande
* CD : Cascavelle VEL 2003 (p 1993 + Pièces op. 6, Suite Wozzeck)
Durées : I. 10'50 - II. 15'07 = 27'50
3d Compact n° 58 - Diapason n° 365
« Le chef brosse un Concerto dramatique, mais l'on sent que l'orchestre et le soliste n'ont pas encore assimilé cette partition extrèmement exigeante. Quant au soliste, Yehudi Menuhin, il fera beaucoup mieux en 1968 avec Boulez. On le sent ici peiner. Ses sonorités sont grasses, et la justesse est un peu aléatoire. On perçoit cependant une sincère et ardente humanité, surtout dans la seconde partie de l'oeuvre, où le « Molto tranquillo » est porté jusqu'à l'extase, alors que la coda (Transfiguration) s'éteind doucement sur une note lumineuse du violon. » (Bruno Serrou, Compact n° 58)
ø Londres, Abbey Road Studio n° 1, 8/9 février 1968 - OS. BBC
* LP : Emi C 069-01855 / Emi/HMV ASD 2449 (p 1969 + Bartok)
* CD : Emi "The Great Emi Recordings" 2641312 [50CD] / "The Great Violin Concertos" 64198 (p 2009) / 5 85562 2 [10CD] / CDM 7 63989 2 (p 1991 + Bloch/Kletzki)
Son : Neville Boyling
Durées : I. 11'23 (4'37 + 6'46) - II. 14'52 (7'24 + 7'28) = 26'05
ø Concert mai 1993 - Orchestre Philharmonique de Berlin - [Inédit ]
ø Concert Manchester, Free Trade Hall, 6 janvier 1994 - Hallé O. - [Origine : Archive radio]
ø Chicago, Medinah Temple, juin 1992 - OS. de Chicago
* CD : DG "Alban Berg Collection" 205 102 [8CD] / 437 093-2 (+ Rihm) / 445 487-2 (+ Stravinski, Lutoslawski, Moret, Bartok, Rihm)
Durée : I - 11'30 - II - 16'12 = 27'43
6/9 Répertoire n° 54 - Diapason n° 390
« Anne-Sophie Mutter joue bien. Son Concerto à la mémoire d'un ange est techniquement parfait. Elle a attein cette perfection lointaine qui plaît tant à ceux qui cherchent dans la musique ce sublime qui n'a ne vérité correspondu qu'à l'époque où les enfants travaillaient douze heure par jour à la mine. Perverse purification ! Berg a eu un coup de coeur (mort d'un enfant) qui sert trop souvent à nier tout le travail que son école avait entrepris pour se libérer du romantisme. James Levine saute à pied joint dans le contresens. Ca doit faire tant plaisir au public de Chicago ! » (Jean Vermeil, Répertoire n° 54)
ø Concert Londres, Royal Albert Hall, 4 septembre 1992 - LSO - [Inédit ]
ø Concert Londres, Barbican Hall, mars 1995 - LSO
* CD : Emi
P
ø 1992 - OS Budapest
* CD : Valois 4691 (+ Bartok 2e)
5Y Diapason n° 394 / 3* Monde n° 167
« Dans le Concerto d'Alban Berg, le jeu de Pasquier est teinté d'une mélancolie plus charnel que méditative. La partie d'orchestre n'a pas la lisibilité totale de la version récente de Franck-Peter Zimmermann, car ses plans sont moins finement définis, mais le ton du soliste captive néanmoins par la franchise et le pittoresque de son éloquence. Pasquier ne cherche pas la pureté trop cérébrale du discours, mais en extrait au contraire une énergie faite de chair et de sang qui en exprime à la fois la violence et la passion avec un dramatisme qui prend ici une dimension formidablement humaine. » (J-M. Molkhou, Diapason n° 394 p. 100)
« Régis Pasquier, aujourd'hui au sommet de sa maturité technique et musicale, est impresionnant dans le Concerto de Berg. Sur le plan de la pureté de style, son jeu engagé, personnel mais remarquablement sobre élimine tout ce qu'une certaine objectivité pourrait avoir d'extérieur [...]. L'accompagnement d'Eric Berger et d'un (pâle) Orchestre symphonique de Budapest n'est malheureusement pas tout à fait à la hauteur, tout en demeurant correct. » (Patrick Szersnovicz, Monde de la Musique n° 167 p. 84)
ø Concert Cardiff, St David's Hall, 1995 - BBC National Orchestra of Wales - [Inédit ]
ø [Stéréo] Concert Londres, Royal Festival Hall, 18 février 1976 - OS. BBC
* CD : BBC Legends BBCL 42152 (p 2007 + Concerto double orchestre à cordes/Tippett, Sinfonietta/Janacek)
Durées : I. 11'43 - II. 16'46
ø Boston, 27-28 novembre 1978 - OS. Boston
* LP : DG 2531 110 (p 1980)
* CD : DG "Originals" 447 445-2 (p 1996 + Concerto Stravinski) / 413 725-2
Durées : I. 11'00 - II. 14'45 = 25'45
Son : Klaus Hiemann
9/8 Répertoire n° 91 / Diapason d'or n° 249, 429 / Grammy 1981
« Sonorités violonistiques superbes, imbrications exceptionnelle des timbres, poésie raffinée, espace sonore infini [...]. Il n'y a guère de concurrents [...]. » (Ch. Huss, Répertoire n° 91 p. 82))
« Itzhak Perlman et Seiji Ozawa (dans un ouvrage comme celui-ci on ne peut dissocier le chef et le soliste) nous comblent par la beauté des sonorités, par la clarté de la conception, par le charme profond qui se dégage de l'interprétation. On est très loin de l'expressionnisme. Le visage de la douleur conserve ici une beauté qui, pour être tragique, ne va pas jusqu'à la convulsion. L'oeuvre d'Alban Berg atteindrait-elle son âge « classique » ? Une telle interprétation, dont on ne peut nier l'intelligence et la sensibilité, tendrait à le démontrer. » (Jean Roy, Diapason n° 249 - avril 1980)
ø Concert ? - OP. Los Angeles - [Inédit ]
R
ø 2012 -
* CD : Capriccio Records C 5135 (p 2013 + Altenberg Lieder ; Kindertotenlieder Mahler/Marion Eckstein)
Durées : I. 10'47 - II. 15'07
ø Londres, 22 décembre 1953 - OS. BBC
* CD : Symposium "In Memoriam" SYMCD 1142/3 [2CD] (p 1993 + 2e Bartok, 1e Chostakovitch)
Durées : I. 12'02 - II. 16'24 = 28'25
S
ø Dresde, Studios Lukaskirche, 1980 - P. de Dresde
* LP : Eterna 8 27 653 (p 1981 + Concerto funèbre Hartmann)
* CD : Berlin Classics "Corona Classics Collection" 'Herbert Kegel conducts Schoenberg, Berg and Webern' 0002752CCC [8CD] / BC 210012 [2CD] (+ Britten ; Penderecki) / De Agostini "Invito alla Classica n° 53" CL0053-2 (Italie - p 2002 + Passacaille op. 1, Webern op. 5, 6, 10, 21) / Berlin Classics BC 1012-2 (p 1993)
Son : Gerald Junge
Durées : I. 10'59 - II. 14'05 = 25'05
ø 2002 - OS. Cologne
* CD : Capriccio Records 67061 (p 2003)
Durées : I. 11'29 - II. 14'42
ø New York, Manhattan Center, 6 février 1959 - P. New York
* LP : Columbia Masterworks ML-5773 (p 1962 + Rhapsodies Bartok) / CBS 23AC3 / 61939 (+ Barber) / Masterworks M 42139 (p 1986)
* CD : Sony "A Life In Music, vol. 11" 64504 (p 1995 + Concerto de Chambre) / CBS Masterworks "Artist Laureate" (p 1986)
* SACD : Praga Digitals DSD 350099 (+ n° 2 Bartok-1958, Rhapsodie n° 2-1962)
Durées : I. 10'16 - II. 15'01 = 25'17
4Y Diapason n° 323 / 4* Monde de la Musique 191
ø 2008 - OS. Radio de Cologne
* CD : Orfeo C 778091 A (p 2009 + Beethoven)
Durées : I. 11'50 - II. 15'39
ø Prague, Dvorak Hall, Rudolfinum, 18-19 janvier 1965 - OP. Tchèque
* LP : Supraphon 913 238 / 28510 / Supraphon "Musica Contemporana" 62739 / SUA ST 50804 (p 1973) / Crossroads 22 16 0172 (p 1967) / Quintessence PMC-7179 (p 1980)
* CD : Supraphon "Gold Edition vol. 3" SU 3663-2 011 (p 2002) / SU 1939-2 (p 1995)
Son : Frantisek Burda
Durées : I. 11'15 - II. 14'35 = 25'50
9 Répertoire n° 160 / 5Y Diapason n° 433, 3Y Diapason n° 237 / Recommandé Classica n° 47
« Son interprétation du Concerto d'Alban Berg, qui avait reçu en 1968 un Grand Prix du Disque, atteint [...] une profondeur dramatique qui la hisse au niveau des lectures les plus inspirées. » (Jean-Michel Molkhou, Diapason n° 433 p. 114 - janvier 1997)
ø Prague, 28 novembre 1980 - OP. Tchèque
* CD : Supraphon 11 0706 (+ 1e Bartok) / 3180
Durée : 24'45
4Y Diapason n° 302
« En 1980, Suk, dont la sonorité atteint aujourd'hui l'intensité d'Oistrakh, sans avoir rien perdu de sa luminosité naturelle, revient à Berg. Neumann arrive, ô miracle, à trouver la même communion avec son soliste que son irremplaçable prédécesseur, Ancerl. Mais la filiation n'est plus la même. Neumann n'hésite pas à considérer le violon de Suk comme le chantre d'un Lied symphonique d'un héritier génial de Mahler. Le tempo s'est encore détendu. Toute virtuosité a disparu au profit du lyrisme le plus pur, le plus humain, le plus surnaturel par instants. » (Pierre-E. Barbier, Diapason n° 302 - février 1985)
ø Concert Varsovie, 1958 - OS. Radio Polonaise
* CD : Preludio PHC 2148 (+ 2e Concerto, Prokofiev)
Diapason d'or n° 352
« Ici c'est l'occasion de redécouvrir l'ampleur de sa maîtrise sur scène, son engagement intense, sa formidable dynamique, sa justesse inoïe et sa profondeur de son qui ont fait de lui l'un des plus grands maîtres de l'après-guerre. » (Jean-Michel Molkhou, Diapason n° 352 - septembre 1989)
ø Concert Munich, Herkulessaal, 9-10 mai 1968 - OS. de la Radio Bavaroise
* CD : Artists 59 (+ 5e Concerto Mozart)
ø Munich, Herkulessaal, 11-12 mai 1968 - OS. de la Radio Bavaroise
* LP : DG 2530 033
* CD : DG "Eloquence" 469 606-2 (p 2000 + Schoenberg) / "Eloquence" 445 118-2 (p 1999) / "Classikon" 439 435-2 (Allemagne - p 1994 + Berg/Karajan) / "20th Century Classics" 431 740-2 (p 1991)
Durées : I. 10'33 - II. 14'04 = 24'37
8/7 Répertoire n° 39
ø Concert New York, 11 décembre 1945 - OS. NBC
* CD : Music and Arts "Broadcast Performances, 1941-1957 - vol. 1" MACD 1213 (p 2008) / CD-668 / Myto Records 71122 (p 2007 + Wozzeck/Nino Sanzogno/1954) / Membran "Artone Series" 222335-354 [4CD] (p 2005) / Lys "L'art de J. Szigeti vol.1" LYS 067 (p 1999) / Arkadia 78583 / AS Disc AS 626 (p 1990)
Durée : I - 10'27 (4'21 + 6'01) ; II - 15'08 (6'23 + 8'06) = 25'35
8/4 Répertoire n° 38 et 43 - 4Y Diapason n° 375, 379, 382, 207
« Henry Roth, dans un texte d'accompagnement très érudit [du disque Music and Arts], rappelle très justement que Joseph Szigeti n'a été reconnu qu'après la Grande Guerre, à l'époque où le trium virat de choc Heifetz/Elman/Kreisler avait déjà enflammé le monde musical. L'héritage phonographique du violoniste bénéficie de quelques documents live révélateurs de son style inimitable. Son interprétation du Concerto de Berg, c'est la panacée de l'interprétation survoltée et angélique, [...] extatique ; son violon a la voix de l'ange, tessiture aux couleurs d'un espoir déchu. Il sait mêler gravité d'intonation et souplesse du phrasé. [...] Szigeti est bouleversant de tension. » (Stéphane Haïk, Répertoire n° 38 p. 23 et 43 p. 34))
« On regrettera une prise de son avec micro « dans le violon », sans profondeur et qui ne permet pas une lecture idéal de la partition, mais pour la sonorité particulière de Szigeti, mordante et « dramatique », pour le climat à la fois poétique et engagé que Mitropoulos et lui donnent à cette page voilà un document qu'il faut connaître à côté des version modernes [...]. » (Alain Fantapié, Diapason n° 207 - mai 1976)
« Sa lecture du Concerto d'Alban Berg est également animée d'un lyrisme déchirant mais aussi d'un dramatisme tourmenté. Le large vibrato du violoniste colore les phrase plaintives d'une touchante tendresse qui donne à son interprétation une puissante force émotive malgré quelques brusqueries dans l'articulation. » (Jean-Milchel Molkhou, Diapason n° 375 p. 226 - octobre 1991)
ø Concert New York, 30 décembre 1945 - OS. NBC
* LP : Fonit Cetra
* CD : Membran "Artone Series" 222335-354 [4CD] (p 2005) / Tim "Mitropoulos Maestro Spirituoso" 220833-303 [10CD] (p 2003)
Durées : I. 10'27 - II. 14'30 = 25'00
T
ø Concert Londres, Royal Festival Hall, 9 mai 1993 - OS. BBC - [Inédit ]
Durée : 38'10
ø Concert Paris, Théâtre Mogador, 17 mars 2004 - O. de Paris - [Inédit ]
W
ø Concert Dresde, Sächsische Staatsoper, octobre 1995 - Staatskapelle Dresde
* CD : Warner Classics "Giuseppe Sinopoli conducts Berg, Schoenberg and Webern" 2564 694140 [8CD] / Warner/Elatus 0927-46737-2 (p 2002) / Teldec 0630-18155-2 (p 1998 + Concerto de Chambre)
Son : Eberhard Sengpiel
3 Répertoire n° 122
Durées : I. 12'30 - II. 16'41 = 29'00
« Qu'elle idée, alors que Warner dispose dans son écurie de virtuose comme Repin ou Vengerov, d'avoir choisi la pâle Reiko Watanabe [...] ? L'intonation est juste, certes, mais la personnalité transparente, le style minimaliste, le son grêle et frêle. Qu'il suffise d'écouter l'indigence de son dans le registre grave de l'instrument, souvent sollicité, l'impuissance face aux passages en triples et quadruple cordes (mesures 141 et suivantes du I, tout sauf « energico », cadence du II -- mesures 78 à 91 --, laborieuse), les trilles aigus (mesures 20 et 21 de II) submergé, les fortissimos étiolés, l'indifférence totale de l'atistes face aux multiples indications expressives de Berg (les flautando, Scherzando, rustico, wienerisch, gewöhnlich, cisio, risoluto, doloroso, misterioso, amoroso, dolente)... A ce robinet d'eau tiède, l'orchestre de Sinopoli tente d'apporter une réponse convaicante, mais s'enlise vite en d'inutile préciosités, qui noient complètement le discours, ponctué d'alanguissements flous (la vasle à 3/8, mesure 176 de I) ou de coquetteries inexplicables (le ralentissement de la queue du thème « scherzando », mesures 104-105 dans le I). » (Pascal Brisseaud, Répertoire n° 122)
ø [mono] 1962 - OPS National de Varsovie
* CD : Muza XL 0140 (+ Concerto Turski)
Z
ø Snape, (Suffolk) Maltings Concert Hall, juillet 1991 - O. Philharmonia
* CD : Teldec "The Teldec Recordings" 2564681031 [15CD] / Warner/Apex 0927 40812 2 / Teldec 97449 (+ Concertos Janacek ; Hartmann)
Durées : I. 4'33 + 6'22 - II. 8'00 + 9'05 = 28'00
Son : Eberhard Sengpiel
9/8 Répertoire n° 81 - 4* Monde de la Musique n° 188
ø Stuttgart, Villa Berg, 3 septembre 1990 - OS. Radio SWR Stuttgart
* CD : Emi "20th Century Classics" 9072112 [2CD] (p 2011) / "Gemini" 0946 381771 [2CD] (p 2007) / CDC 7 54248-2 (p 1991 + Stravinski, Tzigane, Ravel)
Durées : I. 11'04 - II. 14'46 = 25'50
Diapason d'or n° 379
« Dans Berg, c'est avant tout l'extrême lisibilité du discours qui impressionne. Le jeune instrumentiste, doté d'une sonorité généreuse, d'une intonation et d'une précision d'archet sans la moindre faiblesse, nous livre ici une vision d'un lyrisme imaginatif dans laquelle chaque idée est menée jusqu'à son but avec cohésion et conviction. L'orchestre aux timbres éclatants, dirigé avec précision et avaec une grande science des plans sonores laiss entendre tous les détails de la partition, tandis que l'équilibre obtenu avec le soliste est véritablement celui d'une belle salle de concert. [...] C'est ici, à n'en pas douter, l'une des grandes interprétation modernes du Concerto de Berg [...]. » (jean-Michel Molkhou, Diapason n° 379 p. 161 - février 1992)
ø Concert New York, 2011 - P. New York
* CD : New York Philharmonic NYP 20120102 (p 2011 + Bach-1043, 3e Symphonie Brahms)
Durées : I. 10'56 - II. 14'48
ø Londres, Abbey Road Studio n° 1, 21 novembre 1984 - LSO
* CD : Sony "Boulez conducts Berg" 88697558262 [5CD] / SMK 68331 (p 1995 + Concerto de Chambre, Pièces op. 6) / CBS 819 (p 1986)
Durées : I. 11'37 - II. 15'24 = 27'00
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