Mise à jour : 30 septembre 2004

Domenico Scarlatti
catalogue des sonates


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Kirkpatrick/Longo
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une sonate, un groupe, une forme


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Contenu du disque cole (amonra)

27 - si mineur, Allegro 3/4 (L. 449 / P. 83)

141 - ré mineur, Allegro 6/8 (L. 422 / P. 271)

D. Scarlatti : Sonate K. 141, incipit de la partition
Début de la Sonate K. 141

Alessandro Longo a ajouté l'intitulé « Toccata » à la pièce.

263 - mi mineur, Andante C (L. 321 / P. 283)

« Première sonate d'une paire. Presque ironiquement par sa gravité polyphonique, le début de la sonate en mi mineur K 263 rappelle ( ) la musique la plus ancienne. Le fugato [complexe du début] est suivit de tierces contrastantes en position aiguë et grave, simulent la pratique ancienne des choeurs, mais très vite il ne reste qu'un jeu libres des voix d'où ressortent des progressions chromatiques à côté de séries de sons parlants. La seconde partie, revirant de sol Majeur à Mi mineur, ne revient plus sur les réminiscences polyphoniques, les inspirations harmoniques antérieures conduisent par contre à une excusion de séries d'accords en séquences avant que les développements chromatiques étendues fassent une transition à la fin enjouée ayant cependant perdu l'aisance antérieure. »

264 - Mi majeur, Vivo 3/8 (L. 466 / P. 308)

« Composée au vivo courant d'une mesure à trois temps, cette sonate déploie tout le raffinement don Scarlatti était capable. Le bref motif du début commence par juxtaposer en séquence des jeux de gammes de trois tons qui sont avivées rapidement par des altérations. Des jeux de sixtes et tierces se conforment au rythme vif jusqu'à ce qu'une figure chromatique ascendante intensifie de façon extrême la tension harmonique par des effets audacieux de retard. Cette intensification conduit finalement à une section extrêmement virtuose menant, avec une stretta, aisément à la fin, sur la dominante de la première partie. Cette excursion harmonique se poursuit dans la seconde partie. Si majeur, Sol bémol mineur, la bémol majeur - ce dernier voire même interprété comme modulation régulière à cause d'une changement d'altération - sont des stations intermédiaires de ce voyage plein de passion et rythmiquement fortement souligné. Une brève section en mi mineur n'entraîne que le passage au si majeur, suivit par la stretta finale virtuose, reconduisant à la tonique de mi Majeur. Ce jeu habile tout en accord est caractéristique pour un grand nombre de sonates de Scarlatti. Les brisement des accord arpégés avec leur « acciaccatures » aiguisantes déjà employées par les maîtres plus anciens, sont réunis ici. en un accord joué simultanément dont l'effet harmonique semble souvent neutralisé de sorte que cela fait parfois songer au cluster moderne. Ce colorie du son confère aux sonates de Scarlatti un charme souvent exotique. »

318 - Fa dièze majeur, Andante ¢ (L. 31 / P. 302)

319 - Fa majeur, Allegro 6/8 (L. 35 / P. 303)

380 - Mi majeur, Andante comodo 3/4 (L. 23 / P. 483)

D. Scarlatti : Sonate K. 380, incipit de la partition
Début de la Sonate K. 380

C'est l'une de sonates les plus enregistrées. En quelques notes Scarlatti campe une atmosphère agreste et suggère par l'entralacement de mélodie en écho, de charmeuses mélodies aux rythmes de sicilienne, des appels de cors lointain tout un monde de fantaisie. L'oeuvre forme la première partie du couple avec l'Allegro K 381.

381 - Mi majeur, Allegro 3/8 (L. 225 / P. 323)

417 - ré mineur, Allegro moderato ¢ (L. 462 / P. 40)

446 - Fa majeur, Allegrissimo 12/8 (L. 433 / P. 177)

D. Scarlatti : Sonate K. 446, incipit de la partition
Début de la Sonate K. 446

Des rythmes pointés incisifs à 12/8 et, dans la seconde partie de chacune des sections, l'évocation d'une basse de faux bourdon.

550 - Si bémol majeur, Allegretto ¢ (L. S42 / P. 554)

551 - Si bémol majeur, Allegro 3/4 (L. 396 / P. 555)



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