Mise à jour : 30 septembre 2004

Domenico Scarlatti
catalogue des sonates


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Kirkpatrick/Longo
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une sonate, un groupe, une forme


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Contenu du disque landowska (emi)

8 - sol mineur, Allegro 3/4 (L. 488 / P. 64)

20 - Mi majeur, Presto 2/4 (L. 375 / P. 76)

D. Scarlatti : Sonate K. 20, incipit de la partition
Début de la Sonate K. 20

Dans le goût italien.

32 - ré mineur, Aria 3/8 (L. 423 / P. 14)

107 - Fa majeur, Allegro 3/8 (L. 474 / P. 98)

Cette sonate est un exemple caractéristique de l' « impressionnisme » de Scarlatti. Il utilise subtilement le procédé d'acciaccature pour travestir les harmonies et déconcerter l'auditeur de ces décalages. La sonate, bizarrement, commence en majeur mais se termine en mineur.

109 - la mineur, Adagio ¢ (L. 138 / P. 290)

Le seul Adagio parmi les 555 Sonates. Le manuscrit de Parme, indique Andante-Adagio.

124 - Sol majeur, Allegro 3/8 (L. 232 / P. 110)

141 - ré mineur, Allegro 6/8 (L. 422 / P. 271)

D. Scarlatti : Sonate K. 141, incipit de la partition
Début de la Sonate K. 141

Alessandro Longo a ajouté l'intitulé « Toccata » à la pièce.

159 - Ut majeur, Allegro 6/8 (L. 104 / P. 418)

D. Scarlatti : Sonate K. 159, incipit de la partition
Début de la Sonate K. 159

234 - sol mineur, Andante 3/4 (L. 49 / P. 286)

247 - Ut # mineur, Allegro 3/8 (L. 256 / P. 297)

256 - Fa majeur, Andante 3/4 (L. 228 / P. 480)

259 - Sol majeur, Andante 3/4 (L. 103 / P. 469)

« Dès les premières mesures Scarlatti nous plonge dans une atmosphère de tendresse lyrique. Malgré quelques passages un peu délicats, comme ces successions de sixtes et de tierces sur une basse profonde répétée, malgré quelques traits de doubles croches qui passent d'une main à l'autre main sur les mêmes formules, la virtuosité reste ici pondérée. » (A. De Place)

328 - Sol majeur, Andante comodo 6/8 (L. S27 / P. 485)

D. Scarlatti : Sonate K. 328, incipit de la partition
Début de la Sonate K. 328

« Bien qu'elle ne soit pas explicitement destinée à l'orgue, la sonate 328 porte également dans les deux manuscrit de Venise et de Parme des indications très complètes pour ce qui est de toute évidence des changement de clavier de « Org° » à « Fl° ». » Kirkpatrick p. 212

380 - Mi majeur, Andante comodo 3/4 (L. 23 / P. 483)

D. Scarlatti : Sonate K. 380, incipit de la partition
Début de la Sonate K. 380

C'est l'une de sonates les plus enregistrées. En quelques notes Scarlatti campe une atmosphère agreste et suggère par l'entralacement de mélodie en écho, de charmeuses mélodies aux rythmes de sicilienne, des appels de cors lointain tout un monde de fantaisie. L'oeuvre forme la première partie du couple avec l'Allegro K 381.

397 - Ré majeur, 3/8 (L. 208 / P. 325)

423 - Ut majeur, Presto 3/8 (L. 102 / P. 455)

430 - Ré majeur, Non presto 3/8 (L. 463 / P. 463)

« Cette sonate s'impose, non par le moyen d'une virtuosité éblouissante mais plutôt par son charme mélodique, par sa rythmique « posée » et par des phrase équilibrées (elle doit être jouée a tempo di ballo). Dans toutes les sources connues, elle apparaît isolée (c'est à dire non associée à une autre sonate du même ton). Il reste que nombreuse sont les sonates groupées par paires, en fonction de leur tonalité. Ce qui laisse à l'interprète la possibilité de les exécuter telles quelles ou comme morceau isolés. » (Malsolm Boyd, livret du CD Verlet)

440 - Si bémol majeur, 3/4 (L. 97 / P. 328)

447 - fa dièze mineur, Allegro ¢ (L. 294 / P. 191)

481 - fa mineur, Andante cantabile C (L. 187 / P. 504)

D. Scarlatti : Sonate K. 481, incipit de la partition
Début de la Sonate K. 481

490 - Ré majeur, Cantabile C (L. 206 / P. 476)

A côté d'un nombre relativement restreint de sonates indivudelles et du grand nombre de pièces jumelées, il y a également quelques triptiques. L'une de ces oeuvres à trois mouvements constituent les sonates en ré Majeur K 490 à 492. Dans cette oeuvre le style tardif de Scarlatti s'exprime purement. Les motifs et formes du jeu s'enchaîne librement, il y a des correspondances dans les différentes parties traitant cependant très librement le matériel exposé dans la première partie. Lente - vite - lente, ainsi pourrait-on désigner suite des mouvements sans toutefois saisir ainsi le rapport interne de contraste et supplément. C'est une unité intégrale ne résultant pas en premier lieu des structures mais d'un supplément de caractères et d'une stension musicale interne.

Le catabile de la première sonate commence presque conventionnellement avec des tournures de style rococo, très tôt cenpendant un rythme allant pointé marque ces terrains harmoniques nouveaux répendant une tranquillité statique et semblant dissoudre les relations harmoniques. Surtout la seconde partie de cette sonate élargie ces terrain neutres jusqu'aux limites du possible. La brève et badine fin de cette sonate exige une continuation car elle n'est pas en mesure de résoudre des tensions refoulées.

492 - Ré majeur, Presto 6/8 (L. 14 / P. 443)

Comme la Gigue clôt la suite française ou plutôt comme maints mouvement finaux du classique clôturent la symphonie, ainsi un mouvement presto dans une mesure à 6/8 clôt la suite des sonates! Certes, le début avec les tierces est conventionnel, certes, la fin reprend le caractère virtuose des passages chassants et des arpèges, mais une partie centrale articule le jeu aiguisant harmoniquement et rythmiquement de retards et de séquences.

515 - Ut majeur, Allegro 3/4 (L. 255 / P. 417)

519 - fa mineur, Allegro essai 3/8 (L. 475 / P. 445)



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