Anton Bruckner

Bruckner en 1894 (photo)
Bruckner en 1894

La Huitième Symphonie, monumentale, sombre, poignante, est sans aucun doute, l'oeuvre que je préfère à l'heure actuelle. Je l'ai rencontrée réellement par la découverte de l'enregistrement d'Eugen Jochum à Hambourg (1949). Les autres interprétations connues avant, ne m'avaient rien révélées. C'est ce choc qui, très certainement, a contribué à cette nouvelle exploration discographique, près de deux ans après la neuvième.

Et comme toujours, cette préparation de documents a multiplié les occasions de découvertes et l'approfondissement de plusieurs courants interprétatifs inconnus : Horenstein, Knapperstbusch et Schuricht ; ou une écoute plus compréhensive d'interprétations avec lesquels je me sentais peu en phase jusqu'alors : van Beinum par exemple, qui a nettement monté dans mon panthéon imaginaire, pour son extraordinaire éclairage. Les multiples écoutes effectuées pendant la rédaction en tous cas, étaient source de beaucoup de plaisir. Puissiez-vous profiter de ce document pour votre plus grande joie !

J'ai bénéficié des conseils avisés et des remarques savantes de Lionel Tacchini, auteur d'une page sur les enregistrements historiques de Bruckner, et grand connaisseur, qui a bien voulu me consacrer un peu de son temps pour me fournir des éléments précis, lorsqu'il y avait des difficultés au cours de la rédaction. Qu'il soit vivement remercié. Il intervient aussi pour parler de quelques enregistrements.

L'occasion aussi de revoir la présentation et d'illuster la discographie de la 9e Symphonie.

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