sonate pour violon et piano n° 3, opus 25 (1926)
Opus 25
Composition : 18 novembre 1926
Dédicace : A la mémoire de Franz Kneisel (1865-1926)
Editeur : Ed. Enoch et Cie, 1933 / Editura de stat pentru literatura si arta, 1957
Création : Oradea, 1927, par Enesco et Niculae Caraviana
David Abel, violon - Julie Steinberg, piano
ø Mills College Concert Hall, c. 1980 - CD : Wilson Audiophile WCD-8315 (p 1988) (+ Sonate n° 10 op. 96, Beethoven)
Durées : I. 8'00 - II. 7'46 - III. 7'34 = 23'20
Gilles Apap, violon - Eric Ferrand-N'Kaoua, piano
ø Simi Valley, Californie, 7-9 mai 1999 - CD : Apapaziz Productions GKJ 99 (p 1999) (+ Sonates pour violon, Debussy et Ravel)
Durées : I. 7'37 - II. 7'48 - III. 7'24 = 22'49
Patrick Bismuth, violon - Anne Gaels, piano
ø Paris, Eglise de Bonsecours, 29 janv.-8 fév. 2001 - CD : Zig-zag Territoires ZZT 010801.2 (p 2001) (+ Tzigane, Ravel ; Suite op. 10, Emmanuel ; Kreisler, Falla, Albeniz, Granados)
Durées : I. 9'10 - II. 8'19 - III. 8'00 = 25'29
4Y Diap. n° 488 / 3* Monde n° 261
« Dans la Sonate n° 3 d'Enesco le violoniste cherche à reproduire fidèlement le style et la sonorité des autodidactes d'Europe centrale. Sons filés, vibratos variés, glissendos vibrés, timbres volatils, métriques continuellement mouvante, tout est là pour créer l'illusion. Le résultat est d'ailleurs fort convaincant car Bismuth trouve une véritable authenticité d'âme et de ton tout comme pour les Impression d'enfance. » (Jean-Michel Molkhou, Diapason n° 488 p. 106 - janvier 2002)
Patrick Bismuth, violon - Anne Gaels, piano
ø Concert Paris, Maison de la radio, Studio Sacha Guitry, 29 juin 2002 - [Origine : Archive Radio France]
Clara Cernat, violon - Thierry Huillet, piano
ø Tarbes, Conservatoire H. Duparc, Auditorium G. Fauré , 23-25 octobre 1999 - CD : La nuit transfigurée LNT 340102 (p 1999) (+ Sonate n° 2 op. 6, Sonate Torso, Impromptu concertant 1903)
Durées : I. 8'55 - II. 8'33 - III. 8'44 = 26'12
5Y Diap. n° 470
La Roumaine Clara Cernat, est disciple de Stefan Gheorgiu.
« Dans cet audacieux langage harmonique et rythmique, le dialogue de Clara Cernat et Thierry Huillet est à la fois vibrant, sensuel et animé. Ils trouvent les timbres justes au violon comme au piano pour donner l'illusion des instruments populaires, tandis que leur discours étonne autant par son énergie que par sa facilité à épouser les brisures rythmiques. La violoniste n'exagère jamais la dimension pathétique de son chant, ni par son vibrato ni par son chant, ni par son vibrato ni par ses portamentos, toujours habilement dosés, et elle force l'attention par la pureté de son propos. » (Jean-Michel Molkhou, Diapason n° 470 p. - mai 2000)
Kyung-Wha Chung, violon - Itamar Golan, piano
ø Bristol, St George's, Brandon Hill, ? - [Origine : Bande Radio BBC "lunchtime concert"]
Emil Silviu Ciobota, violon - Mary Elizabeth Sadun, piano
ø 1983 - CD : Pavane (+ Sonate n° 2 opus 6) - LP : ADW 7 141 (p 1983)
Durée : 22'49
1Y Diap. n° 294
« Même si l'on peut encore regretter la maîtrise insuffisante du violoniste, il chante à l'évidence dans son arbre natal. Sa passion suffit souvent à montrer comment devrait se jouer ce chef-d'oeuvre ; pourraît-il informer de grandes interprètes des innombrables spécificités de cette musique où, comme chez Janacek ou Kodaly, tout ne peut-être noté sur la partition ? [La pianiste ...] limite quelque peu la transcendance folklorique de [cette] Sonate en la. » (Pierre-E. Barbier, Diapason n° 294 p. 56 - mai 1984)
Péter Csaba, violon [1] - Dan Grigore, piano
ø 1981 - CD : Editura Casa Radio "Arta lui Dan Grigore"
Péter Csaba, violin [2] - Arto Satukangas, piano
1991 - CD : Ondine 390 789-2 (+ Sonate n° 2 op. 6)
Durée : 27'43
5Y Diap. n° 391
« C'est dans la 3e Sonate « dans le caractère populaire roumain » que le violon de Csaba est le plus envoutant. Sa couleur instrumentale, son vibrato sensuel, ses glissandos nostalgiques, ses contrastes de nuances et de climats aussi habiles que ses libertés rythmiques donnent à son interprétation une authenticité que l'on avait pas retrouvée depuis les disques de Mehunin ou Sherban Lupu. Le pianiste épouse cette sensibilité viscérale avec une étonnante science des timbres, des appuis, de l'impulsion et des mouvances de tempos. » (Jean-Michel Molkhou, Diapason n° 391 p. 110 - mars 1993)
George Enesco, violon [1] - Dinu Lipatti, piano
ø 1943 - CD : Electrecord EDC 430/431 / Muzica 2001
Durées : I. 7'23 - II. 7'27 - III. 7'35 = 22'25
George Enesco, violon [2] - Chailley-Richez, piano
ø ? - LP : Remington R 149.42
Christian Ferras, violon [1] - Pierre Barbizet, piano
ø [Studio] Paris, Livre d'Or de Paris-Inter, 13 mai 1959 - [Origine : Archive radio]
Christian Ferras, violon [2] - Pierre Barbizet, piano
ø Paris, Salle Wagram, 5-7 juin 1962 - CD : Emi "Introuvables" 5 74872 2 (+ Concertos pour violon de Beethoven, Mozart, Lalo (symph. espagnole), Bruch, Mendelssohn, Berg, Bandö, Sonates de Franck, Fauré) - LP : HMV ALP 1980 / FALP 769 ou CVA 769 (+ Ravel, Debussy) / ASD 531 / MACE MCS 9045 (p 1963)
Durées : I. 7'33 - II. 7'18 - III. 7'04 = 21'55
Ami Flammer, (1953- ) violon - Jean-Claude Pennetier, piano
ø Paris, Temple Saint Jean, novembre 1988 - CD : Thésis THC 82017 (p 1989) (+ Sonate pour violon, Janacek ; Fantaise pour violon et piano, Schönberg ; 4 pièces pour violon et piano, Webern)
Durées : I. 10'12 - II. 10'37 - III. 8'39 = 29'28
Patrice Fontanarosa, violon - Daniele Renault, piano
ø ? - LP : SFP CVS20001 (+ Sonate Debussy/Fontanarosa)
André Gertler (1907-1998), violon - Diane Andersen, piano
ø Prague Domovina Studio, 2 juillet 1962 - CD : Supraphon 11 1814-2 911 (p 1993) (+ 2e concerto pour violon op. 263 et 2e sonate pour violon op. 40, Milhaud)
Durées : I. 8'52 - II. 9'00 - III. 8'13 = 26'05
3* Monde n° 167
Site très complet sur le violoniste André Gertler
« Alors que Menuhin met l'accent sur la transformation des motifs et ce dérapage contrôlé si psécifique de l'oeuvre, que Csaba (Ondine) est toujours incandescent et inspiré, Gertler adopte une position plus tempérée, plus analytique. Le découpage des cellules est, avec lui, très clair, et la sonateregarde plutôt vers le romantisme national du 19e siècle. Le tempo est assez lent, mais la diversité d'humeur e de timbre honore la substance de la musique, surtout dans le deuxième mouvement. » (Costin Cazaban, Monde de la Musique n° 167 p. 105 - juin 1993)
Ida Haendel, violon [1] - Ronald Turini, piano
ø Concert 1972 - [Origine : Bande Radio BBC]
Ida Haendel, violon [2] - Ronald Turini, piano
ø [mono] Concert Toronto, 28 février 1980 - CD :
Doremi DHR 7756 (+ Sonate op. 78, Brahms ; Air Russe et Rondo, Weber ; Andante et Presto, Tartini) - [Origine : Bande Radio CBC]
Durée : 25'09
Ida Haendel, violon [3] - Vladimir Ashkenazy, piano
ø Winterthur, Stadthaus, Konzertsaal, 20-21 août 1996 - CD : Decca 455 488-2 (p 2000) (+ Mythes, Szymanowski ; Danses populaires roumaines, Bartok)
Durées : I. 8'35 - II. 8'13 - III. 8'21 = 25'09
Diap. d'or n° 470 / 4 Classica n° 24
Un article en anglais de Colin Anderson
« Elève de Carl Flesch puis d'Enesco, [Ida Haendel] eut l'occasion de travailler avec le compositeur de la Sonate n° 3. Depuis la disparitio de Yehudi Menuhin, elle reste d'ailleurs aujourd'hui, avec Ivry Gitlis et Uto Ughi, l'un des seuls témoins vivants de l'enseignement du grand maître roumain. On comprend alors pourquoi sa vision de la Sonate op. 25 a une telle saveur, une telle spontanéité et une telle authenticité. Son duo avec Vladimir Ashkenazy palpite, vibre, respire, et leur bonheur de jouer s'entend ici comme rarement. Le pianiste particulièrement inspiré, se fait tour à tour pitillant, subtil, fugitif ou bondissant, mais c'est dans son imitation des sonorité du cymbalum (Finale) qu'il devient magique. Des timbres étranges, éclatants ou mystérieux créen une atmosphère presque irréelle, que l'on croyait difficilement possible chez musiciens « classique ». Ida Haendel est si convaincante qu'elle semble s'être séparée ici de tous ses principes techniques traditionnels pour épouser les manières tziganes autodidactes. Sonorités, attaques, vibratos, glissades, articulation, tout est magnifiquement réalisé [...]. » (Jean-Michel Molkhou, Diapason n° 470 p. 110 - mai 2000)
« Ida Haendel ne m'a pas paru à la hauteur de la tâche. L'archet trop relâché, le vibrato trop large, la sonorité manquant à la fois de rondeur et de puissance, l'intonation imprécise font que j'ai éprouvé un sentiment de gêne, de confusion. Quelle différence entre l'interprétation des Danses populaires roumaines de Bartok et de la Troisième sonate d'Enesco par Laurent Korcia et celle de Ida Haendel, qui ne parvenait plus en 1996, à surmontrer les redoutables difficultés des partitions ! Pourtant, l'âme du violon - je ne parle pasde la petite pièce de bois qui relie la table d'harmonie au fond - est toujours présente, la conviction et la musicalité toujours intactes. Mais quand la maîtrise instrumentale faitdéfaut, le discours perd obligatoirementde sa sérénité. Et malheureusmeent cette nervosité influence le jeu de Vladimir Ashkenazy, dont le toucher paraît dur, fébrile, sans finesse. » (Xavier Rey, Classica n° 24 p. 69 - juillet 2000)
Annie Jodry, violon - Einar Steen-Nokleberg, piano
ø 1993 - CD : REM 311195 (+ Janácek, Roussel)
Laurent Korcia, violon - Georges Pludermacher, piano
ø Compiègne, Théâtre Impérial, juin 1999 - CD : RCA 74321 690862 (p 2000) (+ Bartok, Bloch, Ravel, Janacek)
Durée : I. 8'28 - II. 8'57 - III. 8'13 = 25'38
6 Rép. n° 135 / 5Y Diap. n° 469
« Laurent Korcia joue [...] désormais un splendide instrument de Stradivarius, « Le Zahn » de 1719, autrefois dans les mains de Shlomo Mintz [...], qui lui offre une puissance nouvelle et une plus large palette de timbres. [...] Leurent Korcia et Georges Pludermacher en livrent ici l'essence avec un méticuleux respect des annotation posrtées sur la partition, sans perdre pour autant le sens profond de son esthétique populaire. Ils trouvent ainsi une subtile atmosphère de mélancolie, d'étrange ou de merveilleux, et malgré une élaboration évidente, leur dialogue garde une intense force de concentration et une inventivité qui procurent une sensation permanente d'improvisation. Le violon comme le piano travaillent les couleurs sonores pour évoquer celles des instruments rustiques, Korcia étant en cela plus convaincant que son partenaire dont le jeu a quelque mal à se départir d'une approche plus classique du toucher come de l'attaque. » (Jean-Michel Molkhou, Diapason n° 469 p. 113 - avril 2000)
Laurent Korcia, violon - Claire-Marie Le Guay, piano
ø Concert Paris, Théâtre du Châtelet, 2 mars 2003 - CD : - [Origine : Archive Radio France]
Hana Kotková, violon - Simon Mulligan, piano
ø Lugano, Auditorium Stelio Molo , 7-8 août 1997 - CD : Forlane 16806 (p 2000) (+ Impression d'enfance op. 25 ; Sonate pour violon, Janácek)
Durées : I. 10'23 - II. 9'11 - III. 8'05 = 27'39
3Y Diap. n° 476
« Dans ce programme bien construit, la violoniste tchèque Hana Kotková révèle une grande sensibilité, quoiqu'un cruel manque d'ardeur. Tout en nuances subtiles et en demi-teinte, son propos dans la 3e Sonate d'Enesco n'atteint ni la profondeur d'Ida Haendel, ni la ferveur de Laurent Korcia. » (Jean-Michel Molkhou, Diapason n° 476 p. 120 - décembre 2000)
Sherban Lupu, violon [1] - Claude Cymerman, piano
ø 1985 - LP : Altarus AIR 29012
Sherban Lupu, violon [2] - Valentin Gheorghiu, piano
ø ? 1999 - CD : Electrecord EDC 324/325 (p 1999)
Durées : I. 7'57 - II. 7'49 - III. 7'49 = 23'35
Mihaela Martin, violin - Roland Pöntinen, piano
ø Stockholm, Academie de Musique, novembre/decembre 2000 - CD : Bis CD-1216 (+ Impressions d'enfance op. 28, Sonate n° 2 op. 6)
Durées : I. 9'08 - II. 8'45 - III. 7'51 = 25'58
10 Rép. n° 157
Yehudi Menuhin, violon - Hephzibah Menuhin, piano [1]
ø Paris, Studio Albert, 6 janvier 1936 - CD : Emi "Références" 5 65962 2 (+ Szymanowski, Prokofiev, Ravel) / Biddulph LAB 066 / Lys LYS-434/437 / Recital 600457-3 / La Collection 816 (+ Szymanowski ; Concerto pour violon/Fricsay, Tchaïkovsky) - LP : "Références" 2908621 (p 1986 + Sonate, Lekeu) - 78t : HMV G DB 2739/41
Durées : I. 8'01 - II. 8'27 - III. 7'22 = 23'50
9/4 Rép. n° 91 / Diap d'or n° 389, 4Y n° 316 / Choc Monde
« La Sonate d'Enesco représente une expérience que je n'oublierai jamais. J'ai toujours eu, comment dites-vous, l'âme tzigane. Enesco m'a donné la partition à peine sa sonate achevée. Il n'y a pas d'oeuvre au monde qui soit le mieux annotée. C'est une sonate au sens classique du terme, solidement bâtie, mais l'élément, la chair en est tzigane. Pour peu qu'ils suivent les indications données, n'importe quels violoniste et pianiste peuvent la jouer comme s'ils étaient tziganes. Qui pourrait écouter un tzigane et noter noir sur blanc ce qui se passe ? Personne, et pourtant Enesco l'a fait. Il a réussi à analyser l'esprit tzigane comme un ordinateur, mais avec une imagination et une netteté incroyable. [...] Avec Hephzibah, nous avons travaillé cette oeuvre en cachette, puis nous l'avons joué à Enesco, comme une surprise. Depuis, nous l'avons toujours jouée comme une offrande personnelle à Enesco et à nous-même, une sorte d'expression de notre âme, un retour à l'authenticité. » (Yehudi Menuhin, in Diapason n° 316 p. 36 - mai 1986)
Yehudi Menuhin, violon - Hephzibah Menuhin, piano [2]
ø janvier 1959 - CD : Emi
Yehudi Menuhin, violon - Hephzibah Menuhin, piano [9]
ø Paris, Studio Albert, 1966 - CD : BGO Records BGOCD 445 (+ West meets East 1, avec Ravi Shankar) - LP : Hor Zu Shze 230
Durées : I. 8'20 - II. 8'15 - III. 7'25 = 24'00
Lydia Mordkovitch, violon - Hamish Milne, piano
ø Concert Birmingham, Studio 1, Pebble Mill, 5 mars 1993 - [Origine : Bande Radio]
Adelina Oprean, violon - Justin Oprean, piano [1]
ø 1981 - CD : Aulos - LP : FSM 53565 (+ Sonate FAE, Schumann-Brahms)
3Y Diap. n° 271
« L'interprétation est vivante, vécue, engagée, chaleureuse, privilégiant volontairement les racines populaires de la partition, mais jouant avec un art consommé sur les sonorités, les ambiguités rythmiques, la souplesse mélodique offrant ainsi de cette page superbe - et fort difficile - une traduction achevée, très en place [...]. » (Jean Gallois, Diapason n° 271 p. 59 - avril 1982)
Adelina Oprean, violon - Justin Oprean, piano [2]
ø 11/13 février 1991 - CD : Hyperion "Helios" CDH 55103 / CDA 66484 (+ Sonate n° 2, Sonate "Torso")
Durées : I. 8'17 - II. 8'32 - III. 8'00 = 25'08
3Y Diap. n° 384
« Adelina et Justin Opean nous en offrent une lecture complice jusque dans les moindres détails. La jeune violoniste roumaine, qui fut élève de Yehidi Menuhin et de Sandor Vegh, possède une sonorité peu puissante mais rafinée, un vibrato coloré et un jeu qui ne cède à aucune impatience. Si l'articulation manque un peu de vigueur et l'engagement de brio, son interprétation est néanmoins plus subtile et plus pénétrée des traditions populaires que celles de Maria Sirbu et le pianiste l'enrichit de timbres d'une exceptionnelle variété et d'une habile dynamique. Une vision sensible et intelligente qui manque simplement d'une personnalité plus contrastée. » (Jean-Michel Molkhou, Diapason n° 384 p. 118 - juillet 1992)
Livret du disque sur www.abeillemusique.com
Un article en anglais de Rob Barnett
Mariana Sirbu, violin - Mihail Sarbu, piano
ø juin 1987 - CD :
Dynamic CDS 041 (+ intégrale)
Durées : I. 7'33 - II. 8'08 - III. 7'52 = 23'33
3Y Diap. n° 347
« Mariana Sirbu, que l'on avait déjà appréciée à plusieurs reprises comme premier violon du Quatuor Academica, et Mihail Sardu sont indiscutablement imprégnés de la tradition musicale et culturelle nécessaire à l'expression du langage d'Enesco. On pouvait cependant attendre de ces deux interprètes très concernés une vision plus accomplie, et le jeu du violon ne parvient pas toujours à créer l'émotion. » (Jean-Michel Molkhou, Diapason n° 347 p. 128 - mars 1989)
Anne Solomon, violon - Dominic Saunders, piano
ø 1999 - CD : Olympia OCD 690 (p 2000) (+ Impression d'Enfance op. 28, Sonate "Torso")
Durée : 25'03
Susanne Stanzeleit, violon - Julian Jacobson, piano
ø c. 2001 - CD : Meridian Records CDE 84469 (p 2002) (+ Sonate n° 2 op. 6, Rhapsodie op. 11 n° 1 (transcription violon et piano))
Durées : I. 9'03 - II. 9'22 - III. 8'24 = 26'50
4Y Diap. n° 506 / 4 Classica n° 55
Un article en anglais de Rob Barnett
Isaac Stern, violon - Alexander Zakin, piano
ø New York, 30th Street Studios, 11 janvier 1967 - CD : Sony "Stern, A Life in Music vol. 27" SMK 64 532 (p 1996 + Franck, Debussy) - LP : CBS Masterworks 74 118 (p 1984)
Durées : I. 8'14 - II. 8'50 - III. 7'29 = 24'33
Pascal Schmidt, violon - Anne van Den Bossche, piano
ø Liège, Conservatoire,, 1-2 et 8 septembre 1995 - CD : Cypres CYP 2617 (+ Sonate-poème, Tournemire, 2e sonate, Roussel, Honegger)
Durées : I. 8'36 - II. 8'44 - III. 7'49 = 25'09
Vilmos Szabadi, violon - Marta Gulyas, piano
ø 1998 - CD : Hungaroton HDC 31778
Vita Wallace, violin - Ishmael Wallace, piano
ø Toronto, 1998 - CD : Marquis Classics MAR 239 (p 1999) (+ Sonate "Torso", Impressions d'enfance opus 28...)
Durée : 27'01
Weilerstein, violin - Weilerstein, piano
ø 1991 - CD : Arabesque 6634 (+ Dohnányi, Janacek)
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