Mise à jour : 10 juillet 2014
M
Dietrich Fischer-Dieskau
1957 - Orchestre Philharmonique de Berlin
* CD : Emi "Great Recordings of the Century" 5 67556 2 (+ Lieder
Fischer-Dieskau/Furtwängler/Barenboim)
ø [mono] studio Londres, studio BBC, 22 mai 1965 - OS. BBC
* CD : BBC "Legends" BBCL 4022-2
3 Rép. n° 131
Sheila Armstrong, soprano ; Anna Reynolds,
soprano ; New Philharmonia Chorus.
ø [stéréo] Concert Londres, Royal Albert Hall, 10 septembre 1972 - OS. Munich
* CD : BBC "Legends" BBCL 4022-2
3 Rép. n° 131
« Il manque à la Titan le mystère, les atmosphère créées par Walter et Ancerl en studio. En fait il manque surtout (nous sommes en 1965) la culture de ce répertoire, les repères (I), la bonne articulation (II) et les équilibre (III). On attnedait tellement plus du magicien des dosages orchestraux qu'est Kempe. Sans doute ne pouvait-il pas faire plus. Mais si on osera le verdict « banal » pour cette 1ère qui se cherche, il faut bien reconnaître que la 2e frôle le « catastrophique ». Non seulement l'interprétation est atone, mais rarement je n'ai entendu dans cette oeuvre un orchestre aussi mal à l'aise, souvent faux et décalé. Inutile d'épiloguer [...]. » (Ch. Huss, Répertoire n° 131 p. 71 - janvier 2000)
ø Concert 3 novembre 1948 - OS. Radio Leipzig
* CD : Archipel ARPCD0519 (p 2011)
extrait acte III : intermezzo
ø Vienne, Musikverein, 11-18 décembre 1961 - Philharmonique de Vienne
* LP : Emi ASD 525
* CD : Testament SBT 1127
Son : F. Dillnutt
9/7 Rép. n° 113
ø Vienne, Musikverein, 1958 - Philharmonique de Vienne
* CD : Testament SBT 1276
* LP : Emi ASD 330
7 Rép. n° 164 / 4 Classica n° 50
Ouverture, op. 21 - Nocturne, op. 61 n° 7 - Scherzo, op. 61 n° 1 - Marche nuptiale, op. 61 n° 9
ø Londres, Abbey Road, studio n° 1, 1961 - RPO
* CD : Testament SBT 1278
9 Rép. n° 164
ø Concert 1er juillet 1950 - Staatskapelle Dresde
* CD : Tahra "Hommage à Rudolf Kempe" TAH 370-71 (+ 9e Schubert, Prélude de Lohengrin Wagner, Euryanthe ; Obéron Weber)
, piano
ø Concert 1951-57 -
* CD : Archipel ARPCD0330 (p 2007)
Friedrich Gulda, piano
ø Concert Düsseldorf, 29 novembre 1972 - OP. Munich
* CD : Scribendum SC 004
Durées : I. 14'09 - II. 6'57 - III. 9'27
Arthur Grumiaux, violon
? - OS. de la Radio Bavaroise
* CD : Archipel ARPCD0530 (p 2011) / Melodram GM 40048
Durées : I. 14'09 - II. 6'57 - III. 9'27
ø Londres, Abbey Road, studio n° 1, 1955 - O. Philharmonia
* CD : Testament SBT 1273
7 Rép. n° 164
ø Londres, Abbey Road, studio n° 1, 1955 - O. Philharmonia
* CD : Testament SBT 1273
7 Rép. n° 164
ø Londres, Abbey Road, studio n° 1, 1955 - O. Philharmonia
* CD : Testament SBT 1273
7 Rép. n° 164
ø Londres, Abbey Road, studio n° 1, 1955 - O. Philharmonia
* CD : Testament SBT 1273
7 Rép. n° 164
ø Dresde, ? - Staatskapelle Dresde
* CD : Tahra "Tribute to the Staatskapelle" TAH 324-327 (avec
Fritz Busch, Karl Böhm, Karl Elmendorff, Joseph Keilberth, Franz
Konwitschny)
[1] ø Londres, Abbey Road, studio n° 1, 1955 - O. Philharmonia
* CD : Testament SBT 1273
7 Rép. n° 164
[2] ø 1963 - OS. Bamberg
* CD : RCA "In Memoriam R. Kempe" 74321 32771-2
Son : Horst Lindner
9 Rép. n° 94 / 3Y Diap. n° 432
Concert 17 avril 1955 - RIAS
* CD : Archipel ARPCD0400 (p 2008)
ø ?
* CD : Testament SBT 1092
ø ?
* CD : Testament SBT 1092
ø ?
* CD : Testament SBT 1092
Elisabeth Grümmer, soprano - Marga Höffgen,
contralto - Helmut Krebs, ténor - Gottlob Frick, basse - Choeur
de la Cathédrale Sainte Hedwige (St. Hedwigs-Kathedrale), Berlin.
ø [mono] Berlin-Wilmersdorf, Lindekirche, 10-14 octobre 1955 - Orchestre Philharmonique de Berlin
* CD : Emi "Références" CDH 5 65202-2 (+ Te Deum Bruckner/K. Forster-1956
- p 1994)
Durée : 57'35
Son : Horst Lindner
9/5 Rép. n° 71 / Choc Monde n° 178
« Elisabeth Grümmer était en ce même temps une Eva et une Elsa pour Bayreuth, une Agathe et une Anna pour Salzbourg ; Gottlob Frick assurément fut par les moyens simplement physiques et la profondeur, la noirceur naturelle de sa voix, le seul successeur authentique que l'après-guerre ait connu à Kipnis avec ses moyens gigantesques [...]. Quant à Rudolf Kempe, les parfaites efficience et modestie d'une carrière vouée au labeur, au détail propre, au service, seules ont longtemps caché aux yeux du grand public son rang vrai [...]. Helmut Krebs et Agnes Giebel furent essentiellement chanteurs d'oratorio, celle-ci protagoniste d'innombrable Messe et Passions, celui-là Evangéliste de la première Saint-Matthieu diffusée de Berlin après la guerre (qui révélait en Christ un Fischer-Dieskau débutant [...]). » (André Tubeuf, Plaquette du disque Emi)
« Avec ce Requiem de Mozart, trop longtemps soustrait à nos oreille et à nos sens, il nous rappelle de quelle manière [Rudolf Kempe] savait combiner une ferveur intérieur sublimant le Sacré, avec une ampleur lyrique d'une humanité chaleureuse. Car c'est bien là que résude le miracle Kempe : obtenir une telle hauteur spirituelle sans jamais se couper d'une sensibilité terrienne qui parle à la fois au coeur et au corps. [...] Cette religiosité s'appuie sur l'expressivité émotionnelle du Choeur de la Cathédrale Sainte Hedwige jamais superficiellement opératique. Miracle encore que cette immersion de chanteur solistes qui intervienne dans le respect absolu d'une vision d'ensemble. De la diaphane Elisabeth Grümmer au profond Gottlob Frick, en passant par la recueillie Marga Höffgen et le sensible Helmut Krebs, on assiste à une leçon de savoir faire. [...] Si l'on a fait différent depuis, on n'a certainement pas fait mieux. » (Philippe de Souza, Répertoire n° 71 p. 58 - juillet 1994)
« Kempe offre un bouleversant concert spirituel à la courbe très unitaire, où l'équilibre constant du tempo et des nuances dynamiques établit une atmosphère rigoureuse et épanouie, et où les choeurs, sompteux tout comme les voix solites, sont admirablement mis en valeur. » (Patrick Szersnovicz, Monde de la Musique n° 178 p. 104 - juin 1994)
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