Mise à jour : 08 octobre 2017
G
ø Amsterdam, RAI Building, 17 juin 1978 - O. Concertgebouw
* CD : Philips "Collector Limited Edition, vol. 14" 438 282-2 (p 1993 + Ravel) - [Origine : Archive Radio Néerlandaise NOS]
9/8 Rép. n° 60 / 3Y Diap. n° 395
Mstislav Rostropovitch (1927-2007), violoncelle
ø 1952 ? - O. des Jeunes de Moscou
* CD : DG "Rostropovitch : Early Recordings" 477 6505 (p 2007)
Durée : 4'37
Sviatoslav Richter (1915-1997), piano
ø Moscou, 14 décembre 1952 - O. des Jeunes de Moscou
* 78t : Melodiya 023037
* LP : Melodiya 04683/84 / Chant du Monde LDXP 8225 (+ 1er Rachmaninov/Sanderling) / LDA 8135 (25cm) / Ariola-Eurodisc "Richter interprète concertos russes" 89831 XGK / 89828 XK / Colosseum CRLP 210 / CRLS 210 / Gramophone 20218 / Saga XID 5314
* CD : Melodiya "Richter Edition vol. 8" 74321 29468-2 / Chant du Monde LDC 278 950 / Great Hall GH185 (p 2007) / Urania SP 4218 (p 2004 + Scriabine 6e Sonate, Moussogsky, Tableaux)
Durées : I. (Allegro moderato, Tema) 12'05 - (Andantino tranquillo) 1'26 - Variations : I. 1'24 - II. 0'53 - III. 1'01 - IV. 2'26 - V. 0'43 - VI. 2'01 - VII. 1'16 - VIII. 1'26 - IX. 3'30 = 28'17
« Une oeuvre très difficile. « Pourquoi jouez-vous ce concerto ? » me demande-t-on souvent. D'abord, évidemment, parce qu'il me plaît, et ensuite, parce qu'il est très glazounovien, d'un seul tenant, et qu'il possède un style bien à lui (quelque peu « Anna Karéninien », dans le 1er mouvement, et avec une atmosphère de ballet, dans le 2e). Il est magnifiquement contruit (à l'inverse de celui pour violon, que je n'aime pas), voilà pour l'éclectisme. Malheureusement, Kondrachine ne joue pas le thème du 2e mouvement de façon suffisamment pénétrante, mais, somme toute, il s'agit d'un enregistrement plaisant. » (Sviatoslav Richter, Ecrits, conversations. Van de Velde/Actes Sud, 1998 p. 324)
[1] David Oistrakh (1908-1974), violon
ø Moscou, 1 janvier 1947 - OS. État URSS - [Origine : Archive Gostelradiofund]
* LP : Melodiya D 03 / D 012939/40 / Chant du Monde LDA 8041 (25cm) / Supraphon LMP 7 MM9 / Vanguard VRS 6005 / 6027 / Monitor MCS 2136 / Design DLP 134 (+ Mendelssohn) / Pickwick PR 112 (id) / Westminster Gold WGM 8224
* CD : DG "David Oistrakh, Concertos et encores" 477 7479 [3CD] / Brilliant Classics 92609 "Historic Russian Archives, David Oistrakh, violin concertos" [10CD] / Melodiya SUCD 10 00239 / Monitor MCD 72073 / Omega Classics OCD 1025 / Lys LYS 331-334 / Vanguard OCD 1025
Durées : I. Moderato (4'38) - II. Andante sostenuto - Tempo I (10'51) - III. Allegro (5'34) = 21'42
[2] David Oistrakh (1908-1974), violon
ø Concert Prague, 2 mai 1949 - Orchestre Symphonique Radio de Prague
* CD : Praga PR 256 009
[3] Julian Sitkovetski (1925-1958), violon
ø 1952 - O. des Jeunes de Moscou
* CD : Russian Disc RD CD-15009 (+ Concerto, Khatchaturian/Niyazi-1954)
Diap. d'or n° 410
« [La discographie de Julian Sitkovetski] est modeste et totalement introuvable, ce qui donne à ce document une valeur inestinable. Son interprétation du Concerto de Glazounov donne le frisson tant la pureté de la diction, la plénitude de la sonorité et la maîtrise absolue de la virtuosité l'élèvent au niveau de celles des plus grands interprètes de ce siècle. Un fougue et une rigueur métrique digne d'Heifetz, une poésie d'une subtilité rappelant celle de Milstein, une éloquence d'une majesté évoquant David Oïstrakh, telle sont les composantes d'un jeu d'une dimension absolument unique. » (Jean-Michel Molkhou, Diapason n° 410 p. 139 - décembre 1994)
David Oistrakh (1908-1974), violon
ø 1948 - OS. État Russie
* LP : Melodiya D 026211/2
* CD : Melodiya SUCD 10-002420 / Yedang Classics / Omega Classics OCD 1025 / Lys LYS 491-494 / Vanguard OCD 1025
Durée : 4'43
ø Concert Tokyo, Bunka Kaikan, 4 avril 1967 - OP. de Moscou
* CD : Altus "Kondrashin in Japan vol. 2" ALT 019 (p 2001)
Durée : 7'54
[6] ø Concert Paris, 18 juin 1974 - O. National de l'ORTF - [Origine : Archive Radio]
Ivan Petrov, baryton-basse (Ruslan) - Vera Firsova, soprano (Ludmila) - Georgy Nelepp (1904-1957), ténor (Finn) - Vladimir Gavryushov, basse (Svetozar) - Evgenia Verbitskaya, contralto (Ratmir) - Sergei Lemeshev, ténor (Bayan) - Alexei Krivchenia, basse (Farlaf) - Nina Pokrovskaia, soprano (Gorislava) - Elena Korneyeva, mezzo-soprano (Naina) - Choeur
ø Moscou, 1952 - O. Théâtre Bolchoi
* LP : Melodiya "Akkord" ND 02452-61 [GOST 5289-56] / Mezydnarodnaya Kniga ND 02452-61 / Parlophone / Chant du Monde LDXS 8067 / Westminster OPW 1401
* CD : Naxos / Melodiya 6800 / Preiser 90663 (3CD) / Dante
David Oistrakh (1908-1974), violon
13 décembre 1948 - OS. État URSS
* LP : Melodiya D 26211
* CD : Yedang Classics YCC-0109 (p 2002) / Melodiya SUCD 10 00219 / Russian Revelation RV 10015 / Lys LYS 491-494
Durée : 3'18
[1] van Cliburn (1934-2013), piano
ø Concert Moscou, 1962 - OS. État URSS - [Origine : ?]
[2] Sviatoslav Richter (1915-1997), piano
ø Concert Moscou, 23 mars 1964 - OS. État de Moscou
* CD : Revelation RV 10057 (+ 1er Concerto Tchaikovski) / Praga PR 250048 (date 2 mai 1972 + Sonate pour violon n° 2 op. 13, Grieg...) / 256001 (date 29 août 1977 + Dvorak/Smetacek)
Durée : 26'42
2Y Diap. n° 405 / Choc Monde n° 179
« Après le lancement déséquilibré du Concerto (roulement de timbale excessivement bref et très lente introduction du piano), le doute pointe quant aux affinités de sinterprètes avec Grieg. Le décalage d'intention entre le chef et le soliste, perceptible dès les premières mesures, se confirme hélas rapidement pour le malheur d'une lecture contrastée plus que de raison. Richter impose alors à une Philharmonie moscovite bien terne (lorsque les cuivres ne sont pas de la partie) une totale soumission à ses humeur fluctuantes. Kondrachine a-t-il quitté l'estrade ? Le pianiste semble en tout cas conduire seul des débats de plus en plus tumultueux et très incertains sur le plan esthétique. » (Pierre Gervasoni, Diapason n° 4055 p. 132 - juin 1994)
« [Ces enregistements] n'ont pas pris une ride. Le Concerto pour piano de Grieg, sous la direction vigoureuse et nerveuse de Kondrashin, montre Richter capté en public, au meilleur de sa forme. Son interprétation corrosive, aux contrastes accentués mais aussi d'une délicatesse inouïe et d'un lyrisme coloré (« Adagio »), l'emporte aisément sur sa version en studio, assez pâle, chez Emi [en 1974 avec Matatic]. L'alacrité de l'ensemble contribue à passer au scalpel une oeuvre qui chez d'autres s'enlise dans un legato mielleux ou une virtuosité purement décorative. » (Michel le Naour, Monde de la Musique n° 179 p. 80 - juillet 1994)
ø Concert 29 août 1980 - O. Concertgebouw
* CD : "0""0""0" Classics TH 056
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