Dominico Scarlatti

discographie (très) sélective

Wanda Landowska

Wanda Landowska (Emi 'Références' CDH 7 64934 2)

• 24 sonates : K 8 — K 20 — K 32 — K 107 — K 109 — K 124 — K 141 — K 159 — K 234 — K 247 — K 256 — K 259 — K 328 — K 380 — K 397 — K 423 — K 430 — K 440 — K 447 — K 481 — K 490 — K 492 — K 515 — K 519.

ø Paris, 1934-39-40 - Emi 'Références' CDH 7 64934 2
7/4 Rép. n° 64 / Diap. d'or n° 400 / 4* Monde n° 172

« L'authenticité historique est bien loin de cette trituration des registrations qu'offrait ce dinauaure à pédales qu'était le clavecin Pleyel. On entend ainsi des sonates complètemnt réorchestrée comme la K 256 sur fond de bruit de DCA (l'aviation n'était pas inactive en 1940). Ceci dit, il reste que Landowska reste une remarquable musicienne, pleine d'invention et de dynamisme, ce qui transcende complètement ce récital où l'on entend des perles (K 380). La sensibilité de la grande dame dans les évocations de scènes sous la canicules ibérique (K 109) n'est pas sans charme. » (Michel Laizé, Répertoire n° 64 p. 83 - décembre 1993)

« Oh ! pour ferrailler, ça ferraille ! Ca ne manque ni de licence (les inutiles reprises ajoutées aux cadences des Sonates K 141 et 247) ni d'exotisme dans l'utilisation des registres et du « jeu de luth » de ce bon gros Pleyel de 1912. Mais pour l'étourdissement, pour la roude effrénés de la Sonate en fa mineur K 519, la valse brillante en fa majeur K 107, l'aisance, l'instinct, l'esprit et ce drive initerrompu qui rend aux pièces méditatives comme aux morceaux de bravoure leur tnesion primitive, c'est ici qu'il convient, encore et toujours, de puiser. Comme dans les fables de jadis : sous les rides trompeuses circule de tous les sangs le plus vif et le plus chaud. A conaître sans faute. » (Ivan A. Alexandre, Diapason n° 400 p. 144 - janvier 1994)

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