Mise à jour : 07 juillet 2007

Discographie Bruckner
Septième symphonie

en mi majeur - A 109


C

Celibidache [1]

ø Concert, Liederhalle 8 juin 1971 - OS. Radio Stuttgart - CD : DG 10235/8 / DG 445 472-2 / DG 445 471-2 (coffret) / Sardana CDR 119 / Bells of St. Florian AB5 / AS Disc 2505 / Arkadia GI 763.1 (date 18 juin) / Artists FED 011 (date 26 octobre) / Andromeda ANR 2513 / Partita PC 8801
Durées : I. 21'05 - II. 23'48 - III. 9'45 - IV. 11'32 = 66'32

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Celibidache [2]

ø Concert 1985 - P. Munich - CD : Audior 2503/2504 / Meteor 039/040
Durées : I. 23'25 - II. 26'31 - III. 10'28 - IV. 13'46 = 74'30

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Celibidache [3]

ø Concert 22 septembre 1989 - P. Munich - LP : Audior HQ AUD 605/606 - CD : Audior AUD 7009/7010 / GNP 53 / Great Artists GA 4 23
Durées : I. 24'20 - II. 27'39 - III. 11'23 - IV. 13'57 = 77'00

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Celibidache [4]

ø Concert Tokyo, Suntory Hall, 18 octobre 1990 - P. Munich - CD : FBC FBCA 012 / Sony 48316-6 [VHS] / Sony SLV 48316 [Laser Disc] [Réalisation Nobuko Uchida]
Durées : I. 24'01 - II. 27'45 - III. 12'08 - IV. 13'50 = 78'33
9/9 Rép. n° 57 (vidéo)

« Ttout d'abord sur le plan visuel, le produit est techniquement parfait : tournage en haute définition, cadrages et éclairages tes que les bandes noires dues à la différence de format ne fassent pas obstacle à l'agrément, prises de vues intelligentes (le spectacle se concentre très majoritèrement sur le personnage de Celibidache), pressage de référence (pas un seul point blanc) [CDV]. A cela s'ajoute une optique sonore certes déconcertante, mais judicieuse. Comme nous voyons pour la plupart du temps le chef de face ou de trois-quart, nous entendons l'orchestre comme si nous étions placé ainsi dans la salle (avec les violons à droite). De plus, la recherche sonore est telle (le détail sur les cordes justement) qu'elle nous permet de mieux percevoir le travail polyphonique du chef. Sur le plan interprétatif, l'émotion que l'on ressent est indicible. Ces tempos, ralentis à la limite de la désarticulation, ouvent un véritable univers à la lisibilité des détail d'orchestration. Ils sont également le support d'une vision mystique de la musique de Bruckner, d'une portée à peine envisageable a priori (voir les Adagios [7e et 8e]). Le Bruckner de Celibidache se différencie de celui de Karajan par deux aspects : malgré la lenteur, Celibidache privilégie toujours la phrase aux effets de superpositions harmonique, et sa vision intérieure se refuse à tout effet de masse (les accents traditionnells sont parfois volontairement gommés - ex. le Finale de la 7e). » (Christophe Huss, Répertoire n° 57 p. 90 - avril 1993)

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Celibidache [5]

ø Concert 31 mars/1er avril 1992 - BPO - CD : Dumka DCD 30 03/04 / GNP CD 110-111 / Re!Discover RED 133 / Sony SHV 48352 [VHS] / Sony SLV 48352 [Laser Disc]
Durées : I. 27'42 - II. 30'26 - III. 12'16 - IV. 15'47 = 86'15

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Celibidache, 1994 (Emi 5566952)

Celibidache [6]

ø Concert 10 septembre 1994 - P. Munich - CD : Emi CDC 5 56695 2 (+ Te Deum) / 07243 5 5668820 (coffret 12 CD) / Emi/Toshiba TOCE 9806-7
Durées : I. 24'17 - II. 28'47 - III. 11'35 - IV. 14'31 = 79'10

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Chailly [1]

ø juin 1984 - OS. Radio Berlin - LP : Decca 414 290-1 - CD : Decca 466 574-2 / 448 710-2 / 414 290-2
Durées : I. 22'46 - II. 22'48 - III. 9'58 - IV. 13'21 = 69'08

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Chailly [2]

ø Concert janvier 2001 - O. Concertgebouw - CD : Treasure of the Earth TOE 2051
Durées : I. 22'22 - II. 22'14 - III. 9'48 - IV. 14'47 = 69'15

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