Discographie Bruckner
Septième symphonie

d'Avalos

ø (p) 1988 - O. Philharmonia - CD : ASV CDQS 6154 / ASV CDDCA 625
Durées : I. 19'30 - II. 22'17 - III. 7'55 - IV. 11'54 = 61'40

Andrew Davis

ø Concert 5 septembre 1999 - OS. BBC - CD : BBC Transcription CM 0063
Durées : I. 18'52 - II. 20'11 - III. 9'05 - IV. 11'25 = 59'45

Colin Davis [1]

ø Concert mai 1984 - OS. Radio Bavaroise - CD : Sardana SACD-289
Durées : I. 21'47 - II. 24'04 - III. 10'18 - IV. 12'07 = 68'30

Colin Davis [2]

ø Concert 1er mai 1987 - OS. Radio Bavaroise - CD : Orfeo C 208891 A
Durées : I. 21'18 - II. 23'59 - III. 10'23 - IV. 12'15 = 67'55

Delogu

ø 11-12 juin 19996 - OS. Prague - CD : Supraphon SU 3268-2
Durées : I. 22'09 - II. 23'46 - III. 10'43 - IV. 12'44 = 69'37

Dohnányi

ø Cleveland, août 1990 - O. Cleveland - CD : Decca 466 336-2 / 430 841-2 (p 1992)
Durées : I. 20'58 - II. 21'43 - III. 9'18 - IV. 11'53 = 64'05
5/7 Rép. n° 52

« Certes l'Orchestre de Cleveland est une bien belle formation et son chef possède un métier et une intégrité au-dessus de tout soupçon, mais la grande forme brucknérienne lui semble étrangère. A force de refuser le pathos et chercher le respect absolu du texte, Dohnányi vide son interprétation de toute substance et devient prosaïque. Le premier mouvement n'est plus qu'une démonstration d'une grande beauté formelle mais n'exprime pas la tension mystique que l'on attend. Le célèbre Adagio qui fait suite manque de sensualité tragique et reste extérieur. Quant aux deux derniers mouvements, dans lesquels bien des chefs illustres ont échoué à maintenir la tension après le suffoquant Adagio, Dohnányi lui non plus ne parvient pas à soutenir la concentration de l'auditeur. » (Philippe de Souza, Répertoire n° 52 p. 40 - novembre 1992)