Mise à jour : 12 janvier 2004
« On se souvient du choc produit par les Nocturnes, Diapason, d'Or absolu de l'année 1979 : Arrau y révolutionnait notre idée de Chopin par le modelé, la forme. On oubliait le choc, autrement profond et révolutionnaire, mais moins signalé à l'époque, d'abord produit par les préludes qui bouleversaient nos habitudes de sonorité, notre idée de la texture. Un chopin qui n'est pas une main droite qui va et brode, avec son illustre (et légitime) rubato, un Chopin qui procède de ses propres basses, un Chopin architecturé, concerté, sévère, implacable même parfois. La leçon d'Arrau peu à peu s'est fait entendre. Avec le temps c'est à son aune qu'on mesure les autres. Le Chopin d'Arrau n'est pas pour l'écoute facile. Il provoque, attire l'attention sur la structure, il oblige à écouter. Le son que Philips a su donner à arrau est de bout en bout, sur ces dix ans et plus d'exploration de Chopin, exemplaire. » (Diapason HS 14)
ø Londres, Abbey Road, studio n° 3, 20 juin 1956 - Testament
SBT 1233 / Arlecchino ARL 136 [Columbia CX 1443 (+ op. 10) / PTC 2012 - LP]
Durée : 12'28
ø New York, 1953 - Arlecchino ARL 100 (p 1995) [Decca DX 130 (+ Scherzo
& Ballades...) - LP]
Durées : I. 9'19 - II. 8'46 - III. 8'01 - IV. 12'29
8/4 Rép. n° 81
« Il est intéressant de comparer le récital Chopin d'Arrau enregistré en 1953 au [Etats-Unis] et peu connu en France, avec les versions Philips des même oeuvres. Contrairement à une idée reçue, Arrau ne s'est pas ralenti avec l'âge : les Ballades de 1953 sont un peu plus lentes que celles de 1977. La conception d'ensemble a évolué. Le son est toujours posé, mais avec l'âge il est devenu plus sculpural et grandiose. Ce mûrissement est déjà en germe dans le premier enregistrement avec un son plus léger. Quant à la lenteur de certains passages (début de la Deuxième Ballade) elle est, quoique réelle, tellement habité que l'on ne songe pas à s'en plaindre. Dans les années cinquante, le style d'Arrau était assez inouït. A l'époque, les critères dominants de l'interprétation chopinienne étaient encore la virtuosité sentimentale venu d'Europe centrale. En France, on n'avait pas oublié l'expressionnisme de Cortot, mais qui d'autre pouvait conférer à Chopin une telle concentration (progression en crescendo de la Troisème Ballade) et une telle unité de conception ? Une conception évidemment personnelle que l'on peut trouver parfois trop sérieuse. » (Jacques Bonnaure, Répertoire n° 81 p. 34 - juin 1995)
ø Amsterdam, avril 1977 - Philips 468 391-2 / 432 303-2 [9500 393
(+ Fantaisie op. 49) - LP]
Durées : I. 9'02 - II. 7'56 - III. 7'30 - IV. 11'50
10 Rép. n° 8 & 152
Versions isolées
ø Concert Stuttgart, 31 mai 1939 - Music
& Arts CD-1060 / Piano Library PL 287 [Origine : Deutsches Rundfunkarchiv]
Durée : 8'24
Rép. n° 159 / 5 Classica n° 50
ø Londres, 4 avril 1939 - Dante HPC 001 (p 1990)/ Cantus Classics CACD 5.00174 / History 20.3165 [Parlophone R 20443 / Odeon
O 9114 - 78t - matrix : XE9737-8]
Durée : 6'45
7/2 Rép. n° 47 (Pearl)
ø Concert, Santiago, Chili, mai 1984 -
Vidéo
Durée : 7'00
ø Concert Ascona, 17 septembre 1971 -
Aura AUR 182-2 [Origine : Radio Suisse Italienne, Rete 2]
Durée : 12'20
ø New York, 1953 - Arlecchino ARL 100 / PTC 2012 [Decca DX 130 - LP]
Durée : 9'19
8/4 Rép. n° 81
ø Londres, septembre 1979 - Philips 468 391-2 / 432 303-2 [9500 963
- LP]
10 Rép. n° 8 & 152
ø Londres, juin 1956 - Emi "Références" CDH 7 61016-2 [Columbia CX1443/44 (+ op. 46) - LP]
Versions isolées
ø 23 janvier 1929 - [Parlophone / HMV-Electrola EH386 / Desmar - 78t
- Matrix : CLR4942]
Durée : 4'18
ø 27 février 1928 - Marston
"The Early Years" / Piano Library PL 287 /Dante HPC 001 (p 1990
) / Pearl / History 20.3165 [HMV-Electrola EH 386 / EG 1500 - 78t - Matrix
: CL 3912]
Durée : 1'51
ø Concert Ascona, 9 juillet 1959 - Ermitage
ERM 149 [Origine : Radio Suisse Italienne, Rete 2]
Durée : 1'59
ø 1938 - Pearl [Parlophone R 2588 / Odeon 0-11855 / Desmar - 78t -
Matrix : BE 7627]
Durée : 2'18
ø 27 février 1928 - [Parlophone R2588 / HMV-Electrola EH386
- 78t- Matrix : CL3912]
Durée : 2'07
ø 23 janvier 1929 - Marston
"The Early Years" / Dante HPC 001 (p 1990
) [Parlophone / HMV-Electrola EG 1500 - 78t - Matrix BLR 4939]
Durée : 2'26
ø 23 janvier 1929 - Marston
"The Early Years" / Dante HPC 001 (p 1990
) [Parlophone / HMV-Electrola EG 1500 - 78t - Matrix BLR 4938]
Durée : 1'28
ø 23 janvier 1929 - History 20.3165 [Parlophone / HMV-Electrola]
ø 23 janvier 1929 - History 20.3165 [Parlophone / HMV-Electrola]
ø Londres, 19-21 juin 1956 - Emi "Références"
CDH 7 61016 [Columbia 33CX1443-44 - LP / PTC 2012 - 78t]
Durées : I. 2'01 - II. 2'23 - III. 2'00 = 6'24
ø New York, 1953 - Arlecchino ARL 100 [Decca DX 130 (+ Ballades &
Scherzos) / Brunswick / PTC 2012 - LP]
Durées : I. 4'35 - II. 6'24 - III. 6'14 - IV. 5'45
8/4 Rép. n° 81
ø Londres, septembre 1979
- Philips 432 303-2 [9500 963 - LP]
Durée : I. 4'41 - II. 6'03 - III. 6'19 - IV.
ø Londres, Studio 3, Abbey Road, 21 juin 1960 - Emi [Columbia SAX
2401 / SAFX 977 - LP]
Durée : 13'13
3Y Diap. n° 376
ø Amsterdam, Concertgebouw, avril 1977 - Philips 468 391-2 / 432 303-2
[9500 393 (+ Ballades) -LP]
10 Rép. n° 8 & 152
ø Amsterdam, Concertgebouw, sept. 1977-mars 78 - Philips 468 391-2
/ 464 694-2 (op. 9, 15, 27, 32) / "Duo" 456 336-2 / 432 303-2 /
416 440-2 [6747 485 / 412 102-1 - LP]
10 Rép. n° 8 & 152 / Référence Compact n°
10 & 66
« Obtenant de son piano des sonorités remarquables de profondeur et de chaleur, Claudio Arrau a réalisé de ces Nocturnes aussi célèbres que, paradoxalement, peu aisés d'accès, une interprétation qui atteint au sublime. Retenant son souffle, se refusant à briller, jouant comme pour lui-même, il semble s'adresser à son âme, en un dialogue imprégné de tendresse et d'amour qui fait oublier le côté « musique de salon » parfois donné à ces oeuvres. » (Compact n° 66 p. 10 - juillet 1991)
ø Concert Ascona, 17 septembre 1971 -
Aura AUR 182-2 [Origine : Radio Suisse Italienne, Rete 2]
Durée : 7'34
ø avril 1984 - Philips 468 391-2 / 432 303-2 [412 610-1 - LP]
10 Rép. n° 8 & 152
[1] ø 1950 - [Columbia ML 4420 / LPC 35047 (chili) - LP]
[2] ø Concert
Prague, 1960 - APR 5632
Recommandé Rép. 151 / Diapason d'or n° 486 / Recommandé
Classica
« Le même éditeur publie simultanément deux versions des Préludes de Chopin. La première par Benno Moiseiwitsch en 1948 [...]. La seconde nous présente Claudio Arrau en concert à Prague en 1960 [...]. Si l'on voulait schématiser à l'extrême, on pourrait dire que les Préludes (et Ballades) de Moiseiwitsch sont ceux d'un admirable pianiste, alors que ceux d'Arrau sont les fascinants frémissements d'une âme - comme l'étaient ceux de Cortot. [...] Après l'écoute de cinq Préludes par Arrau, il ne reste plus grand-chose du souvenir de Moisewitsch, tant on est (comme avec Perlemuter et Cortot) entraîné dans une spirale de la destinée humaine. » (Ch. Huss, Répertoire n° 151 p. 92 - novembre 2001)
« La publication de ces bandes de concert inédites remet en cause ce bilan [discographique] car Arrau est supplanté par... Arrau lui-même ! Entre l'enregistrement de studio de 1973 et ce live capté treize ans plus tôt au Printemps de Prague, comment hésiter en effet. On tient ici l'une des plus grandes versions des Préludes qui soient ! Le miracle tient au contexte du concert et aux enchaînements entre les différents épisodes qu'Aurrau maîtrise avec un sens dramatique inouï - cela, hélas ! le studio ne le lui avait pas permi ; car l'Opus 28 est un cycle, non un alignement de miniatures. » (Alain Cochard, Diapason n° 486 p. 137 - novembre 2001)
[3] ø Amsterdam, avril 1973 - Philips 468
391-2 / "Silver Line" 426 634-2 / 432 303-2 [6500 622 / GBL 5503
- LP]
10 Rép. n° 8 & 152
« De tels disques doivent être maniés avec précaution, tant ce Chopin peut être différent de tout ce qui avait été entendu avant - sans compter ce qu'on a pu entendre après. Et ce ne sont pas ces Préludes si lourds (de conséquence, d'organisation, de poids) ni les eaux profondes de ces Impromptus, où tout vient des basses qui rallieront les réfractaires au Chopin d'Arrau. » (Diapason HS n° 15)
« Interprétation ? Méditation sur le sens d'une partition plutôt, comme toujours dans les disques tardifs de ce pianiste. On ne saurait demeurer tiède face à ces Préludes surprenants par leur lenteur et l'ampleur de la sonorité surtimbrée qui s'y déploie. [...] Avec Cortot, François et Argerich nul mieux qu'Arrau n'a sondé les abîmes des Préludes, nul n'a mieux saisi la valeur expressive de chaque parcelle d'un ouvrage quintessencié s'il en est et n'a mieux compris sa modernité. » (Alain Cochard, Diapason n° 463 p. 54 - octobre 1999)
ø 23 janvier 1929 - Marston
"The Early Years" / Pearl / Dante HPC 001 (p 1990
) / History 20.3165 (date 1934) [Electrola EG 1500 / Desmar - 78t - Matrix
BLR 4939]
Durée : 0'52
ø avril 1973 - Philips 432 303-2 [6500 622 - LP]
ø avril 1973 - Philips 432 303-2 [6500 622 - LP]
[1] ø New York, 1953 - Arlecchino "vol.
4" ARL 160 / [Decca DX 130 (+ Ballades & impromptus) / Brunswick
AXTL1044 - LP]
Durées : I. 10'46 - II. 10'29 - III. 8'06 - IV. 12'47
[2] ø Munich, avril 1984 - Philips 468 391-2
/ 462 303-2 / 442 407-2 / 412 610-2 [412 610-1 - LP]
Durées : I. 11'19 - II. 10'29 - III. 7'59 - IV. 12'05
10 Rép. n° 8 & 152
interprétations partielles
[1] ø Concert
Ascona, 17 septembre 1971 - Aura AUR 182-2 [Origine : Radio Suisse Italienne,
Rete 2]
Durée : 10'23
[2] ø Concert
New York, Avery Fisher Hall, 6 février 1983 - Kultur 1194
[Vidéo]
Durée : 10'45
[3] ø Concert
Munich, 29 mars 1983 - Philips [411 053-1 (+ Appassionata, Beethoven ; Ballade
n° 2, Liszt) - LP]
Durée : 10'58
3Y Diap. n° 287
« L'artiste retrouve, dans le Premier Scherzo, la personnalité d'exception qui est la sienne, et qui nous vaut ici un ton fantastique, haletant, que l'on aurait plutôt attendu dans Gaspard de la Nuit, mais qui renouvelle néanmoins l'interprétation classique de ce Scherzo si peu dans la manière traditionnele de Chopin. » (M. de Saint-Pulgent, Diapason n° 287 p. 78 - octobre 1983)
ø Londres, 4 avril 1939 - Pearl GEMM 9928 [Parlophone R 20469 - 78t
- Matrix : XE 9739-40]
Durée : 7'28
ø novembre 1950 - Emi [Columbia LX 8792/93 - 78t]
Durée : 11'48
ø Londres, Studio 3, Abbey Road, 14 juin 1960 - Emi "Gret Recordings
of the Century" / Références" CDH 7 64025 2 (+ Fantaisie,
Tarentelle, Chopin et Carnaval, Schumann) (p 1991) [Columbia SAX 2401 / SAFX
977 - LP]
Durées : I. 14'44 - II. 2'41 - III. 10'36 - IV. 5'49
8/5 Rép. n° 41 / 3Y Diap. n° 376 / Monde n° 151
« Dans la Sonate en si mineur et la Fantaisie en fa mineur de Chopin (1960), l'Arrau marmoréen, l'éternel, se met en place. Le son s'appesantit, le tempo ralentit, les effets son supprimés (dans le Presto non tanto final de la Sonate, il insiste plutôt sur le « non tanto »). Les cinq premières notes de l'Allegro maestoso initial sonnent avec majesté. Voici un Chopin qui par une rude ascèse, conjure toute tentation de romantisme extérieur pour atteindre à un classicisme intemporel. Ce Chopin, c'est le plus authetique. Et cette seule sonate vaut que l'on écoute ce disque puisque l'oeuvre ne figurait pas dans la grande anthologie Philips. » (Jacques Bonnaure, Répertoire n° 41 p. 38 - novembre 1991)
« Le constat le plus terrible sera dû à la réédition de cette 3e Sonate de Chopin, un « introuvable » d'Arrau certes, mais dont la bande aurait très bien pu rester au placard... Un maestro où le pianiste paraît aussi embarrassé de lui-même qu'encombré par le texte, un mouvement lent compliqué, tortillé dans tous les sens, un Scherzo et un finale plus vivant mais tournant un peu à vide, dans une sonorité cartonneuse, ne sont pas les meilleurs avocats d'une oeuvre où les échecs sont déja légion. » (Etienne Moreau, Diapason n° 376 p. 202 - novembre 1991)
« Presque vingt ans plus tôt Arrau enregistrait pour Emi, pour Walter Legge en fait, qui le tenait en haute estime. Il est surprenant de constater qu'hier comme avant-hier, la « manière » d'Arrau ait aussi peu changé. Pianisme impeccable, souci de la sonorité juste et belle nous valent une Troisième Sonate et une Fantaisie admirable. » (Gregory Thomas, Monde de la Musique n°151 p. 110)
ø 1938 ? - Emi "Références" CDH 7 64025 2
/ RLS 7712 / Piano Library PL 287 / Dante HPC 001 (p 1990
) / History 20.3165 [Parlophone R 2588 / Decca (USA) / Odeon / Demar - 78t
- Matrix : BE 7626]
Durée : 2' 46
3Y Diap. n° 376
ø La Chaux-de-Fonds, Suisse, mars 1979 - Philips 468 391-2 / 432 303-2
[9500 739 (1-14) / 9500 936 (15-19) - LP]
10 Rép. n° 8 & 152
ø 1947 - [Capitol-Columbia LX 1267/68 / Columbia MX 307 - 78t]
Durée : 4'33
ø 1928 - Desmar GHP 4001/2
ø 27 février 1928 - Marston
"The Early Years" / Pearl GEMM 9928 [English Vocalion R-6010 / HMV-Electrola
EG 833 - 78t - Matrix : BL3909]
Durée : 2'14
Klemperer / OS. Radio Cologne [parfois O. WDR Hambourg]
[1] ø Concert
Cologne, 25 octobre 1954 - Music & Arts CD-625 / Arkadia/Hunt HP 511.1
(+ 2e, Chopin/Jochum) [Cetra LO 507 - LP]
Durée : 40'19
« Arrau lui-même a raconté cette rencontre avec son vieux complice Klemperer à qui il dut « apprendre Chopin » : résultat merveilleux. Rarement partenaire ont si librement respiré ensemble, à hauteur aussi magistrale, dans le dédain absolu (on s'en doute) des effusions habituelles. La beauté du timbre d'Arrau, la noblesse de sa phrase sont ici incomparables. » (André Tubeuf, Diapason n° 327 p. 118 - mai 1987)
Eliahu Inbal / O. Philharmonic Londres
[2] ø Londres, Brent Town Hall, octobre 1970
- Philips "Duo" 468 569-2 / 468 391-2 / 438 338-2 [6747 003 - LP]
Durées : I. 20'39 - II. 11'16 - III. 10'13 = 42' 28
Rép. n° 152 / 4Y Diap. n° 397
Un article en anglais sur www.classicstoday.com.
Fritz Busch / P. New York
ø Concert New York, Metropolitan Opera,
10 décembre 1950 - Urania URN 22145 (+ 1er Liszt 1935) [I Grandi Interpreti
(Discocorp, USA) 371 / Educational Records - LP]
Durées : I. 13'26 - II. 9'05 - III. 8'08 = 29'51
Un article en anglais sur www.classicstoday.com.
George Szell / O. ?
ø Concert 1954 - ?
Diap. d'or n° 327
Eugen Juchum / O. RIAS Berlin
ø Concert Berlin, 1954 - Arkadia/Hunt 511.1
(+ 1er, Chopin/Klemperer)
Durée : 36'06
L'attribution à E. Jochum de ce concert est suspecte ainsi que la date, Arkadia n'ayant rien de fiable...
Eliahu Inbal / O. Philharmonic Londres
ø Londres, Wembley Town Hall, 17/18 & 20/22 octobre 1970 - Philips
"Duo" 468 569-2 / 468 391-2 / 438 338-2 [6500 309 (+ Krakowiak)
/ 6747 003 - LP]
Durées : I. 14'36 - II. 10'02 - III. 9'07 = 33'06
Rép. n° 152 /4Y Diap. n° 397
Un article en anglais sur www.classicstoday.com.
Thomas Scherman / Little Orchestra Society New
York
ø Concert New York, Town Hall, 8 novembre
1947 - Dante HPC 078 [Capitol-Columbia LX 1267/68 - 78t / CBS 79354 - LP]
Durée : 13'00
Eliahu Inbal / O. Philharmonic Londres
ø Londres, juin 1972 - Philips 438 338-2 [6500 422 / 6747 003 - LP]
Durée : 15'09
Eliahu Inbal / O. Philharmonic Londres
ø Londres, juin 1972 - Philips 438 338-2 [6500 422 / 6747 003 - LP]
Durée : 13'50
Eliahu Inbal / O. Philharmonic Londres
ø Londres, juin 1971 - Philips 438 338-2 [6500 309 (+ 2e Cto.) - LP]
Durée : 14'30
Eliahu Inbal / O. Philharmonic Londres
ø Londres, juin 1972 - Philips 438 338-2 / 434 145-2 [6500 422 / 6747
003 - LP]
Durée : 19'18
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