Mise à jour : 12 janvier 2004
ø Londres, 4 avril 1939 - Emi / Pearl
/ Arleccino "vol. 5" ARL 168 [Parlophone R 20476 / Odeon - 78t -
Matrix : XE 9735 / RLS 7712 (p 1982) - LP]
Durée : 4'54
4Y Diap. n° 283
[1] ø New York, 3-5/29-30 mars 1949 - Dante
HPC 141 / Arleccino "vol. 5" ARL 168 [Columbia 72886-88D - 78t -
MM 872 / CBS 79 354 (p 1983) - LP]
Durée : 12'19
4Y Diap. n° 286
« [Les Estampes], trentes ans à l'avance, égalent les lectures tardives d'Arrau et doivent être placées dans leur contexte de 1949, moment de la vogue Gieseking, où leur sévérité et leur puissance sonore, leur délicatesse de clair-obscur aussi, ont quelque chose de prophétique ! » (André Tubeuf, Diapason n° 286 p. 70 - septembre 1983)
[2] ø La Chaux-de-Fonds, Suisse, avril 1980
- Philips 432 304-2 / 420 393-2 [9500 965 - LP]
Durées : Pagodes : 5'04 - Soirée dans Grenade : 5'41 - Jardin
sous la pluie : 4'06 = 14'51
9 Rép. n° 1 & 40 / Diap. d'or n° 334
extrait Estampes n° 3 : « Jardin sous la pluie »
ø Londres, 4 avril 1939 - Emi / Pearl GEMM 9928 / Arleccino "vol.
5" ARL 168 [Parlophone R 20476 - 78t - Matrix : XE 9736 / RLS 7712 (p
1982) - LP]
Durée : 3'35
4Y Diap. n° 283
[1] ø New York, 16 août 1949 - Dante
HPC141 [Columbia MM 971 / ML 4786 - LP]
Durée : 14'53
[2] ø La Chaux-de-Fonds, Suisse, mars 1979
- Philips 432 330 -2 (+ Préludes, Estampes) [9500 965 (p 1981) - LP]
Durées : Livre I. - Reflets dans l'eau
: 5'23 - Hommage à Rameau : 7'31 - Mouvement : 3'24 - Livre
II. - Cloches... : 5'23 - Et la lune descend... : 6'10 - Poissons d'or
: 4'31 = 16'18
9 Rép. n° 1 & 40 / Diap. d'or n° 266 & 334
« Au sens absolu du terme, le Debussy de Claudio Arrau est incomparable. On avait déja pu le constater à propos des Préludes : cette gravité, cette lenteur qui, au-delà des images fugitives semblent rechercher une communication avec ce qu'il y a de plus profond, de plus obscur dans l'univers debussyste, tout cela désoriente les admirateurs de Gieseking et de Michelangeli mais leur impose un nouvel angle d'écoute. » (Jean Roy, Diapason n° 266 p. 54 - décembre 1981)
extrait Images livre I : « Reflets dans l'eau »
ø Concert New York, Avery Fischer Hall,
6 février 1983 - Philips [Vidéo + Appassionata, Waldstein...]
Durée : 4'40
Il s'agit du récital des 80 ans.
ø Concert, Santiago, Chili, mai 1984 - Vidéo
ø La Chaux-de-Fonds, Suisse, mlars 1991 - Philips "Final Sessions"
434 626-2
Durée : 6'21
[1] ø New York, 29 mars 1949 - Dante HPC
141 / Arleccino ARL 168 [Columbia MM 872 / CBS 79354 - LP]
Rép. n° 125 / Diap. d'or n° 458
[2] ø Concert
Ascona, 9 septembre 1959 - Ermitage ERM 149 ou Aura 157-2 [Origine : Radio
Suisse Italienne, Rete 2]
Durées : Prélude, 4'01 - Sarabande, 4'56 - Toccata, 3'47 = 12'44
[3] ø La Chaux-de-Fonds, Suisse, janvier 1991 - Philips
extrait Pour le Piano, n° 2 « Sarabande »
ø La Chaux-de-Fonds, Suisse, janvier 1991 - Philips "Final Sessions" 434 626-2
ø La Chaux-de-Fonds, Suisse, mars 1979 / sept. 1979 - Philips 432
304-2 (+ Images, Estampes) / 420 393-2 (livre I) [9500 676 (Livre I) / 9500
747 (Livre II) - LP]
Diap. d'or n° 374 (& 4Y 334)
« On mettra du temps à s'habituer. Nos oreilles françaises voient [sic] leur Debussy clair : et personne ne le joue avec une liquidité aussi sombre, pâteuse même, qu'Arrau, lui déniant tous les effets d'irisation et de transparence auxquels la tradition depuis Gieseking, et la légende semble l'obliger. Et indéniablement le début même des Préludes, des Danseuses de Delphes, dépaysera. Laissez-vous dépayser ! Battant parfois des records de lenteur, et osons le mot, de lourdeur (une comparaison avec Gieseking en secondes, et, si c'était possible en grammes laisserait pantois), Arrau ne nous lâche plus, et c'est finalement toute autre version, si brillante et aboutie qu'elle soit, qui passera pour flirter avec le futile, le pittoresque ou le simplement gracieux. Un voyage initiatique, assurément, et seulement pur ceux qui ne prennent pas plus au sérieux que Debussy les indications pittoresques faussement suggérées par ces titres, - ces leurres. Mais ceux-là seront réconpensés au centuple, par une vérité de la conduite sonore sans exemple [...].» (André Tubeuf, Diapason n° 334 p. 112 - janvier 1988)
« Parus dix ans plus tôt, ces Debussy aurait suscité, en France au moins, une levée de boucliers - austères, de sonorité opaque, de texture sombres, ennemis jurés de toute pittoresque et de toute fantaisie, obstinés et même monotones, le contraire même du Debussy fluide, translucide et giesekingien que M. Gavoty prônait [...]. Eh bien ! le Debussy d'Arrau n'est pas, mais pas du tout, nôtre ; son imaginaire ostensible, où nous croyons nous retrouver, est volatilisé ; aucun repère ; un rythme sourcilleux et exact ; rien qui encourage à rêver, même quand il est question de fées, ou denseuses, ou clair de lune ; mais une perpétuelle leçon d'ascèse sonore, de ligne tenue, de conduite, et d'harmonie en acte. Ce qui était paradoxe et rebrousse poil est devenu modèle. Chapeau ! » (André Tubeuf, Diapason n° 374 p. 148 - septembre 1991)
extrait : Préludes, livre II n° 3 « La puerta del vino »
ø 30 juin 1951 - Emi RLS 7712 / Arleccino "vol. 5" ARL 168
[Columbia LX 1550 / Desmar - 78t]
Durée : 3'14
ø La Chaux-De-Fonds, Suisse, janvier 1991 - Philips 434 626-2
ø La Chaux-de-Fonds, Suisse, mars 1991 - Philips 434 626-2
Durée : 4'56
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