Mise à jour : 14 octobre 2013

Discographie Alban Berg
Concerto pour violon



F

Faust/Abbado, 2010 (Harmonia Mundi HMC 902105)

Faust - Abbado

ø Studio Bologne, Auditorio Manzoni, novembre 2010 - Orchestra Mozart
* CD : Harmonia Mundi HMC 902105 (p 2012 + Beethoven)
Durées : I. 11'51 - II. 16'07

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Ferras/Ansermet, 1957 (Claves 50 2516)

Ferras [1] - Ansermet

ø Concert Genève, Victoria hall, 3 avril 1957 - O. de la Suisse Romande
* CD : Claves 50 2516 (p 2005 + Stravinsky/1966)
Durée : 11'02 - II. 14'37

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Ferras/Keilberth, 1960 (Orfeo C 838112 B)Ferras/Keilberth, 1960 (Testament SBT 21472)

Ferras [2] - Keilberth

ø Concert Salzbourg, 17 août 1960 - BPO
* CD : Testament SBT 21472 (p 2012) / Orfeo C 838112 B (p 2011 + 9e Bruckner)
Durées : I. 10'43 - II. 15'06

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Ferras [3] - Kubelik

ø Concert Besançon, 9 septembre 1960 - OP. RTF - [Origine : Archive Radio]

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Ferras/Pretre, 1962 (Angel Angel 36171 - LP)Ferras/Pretre, 1962 (Emi 4 83604-2)

Ferras [4] - Prêtre

ø Paris, janvier 1962 - Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire Paris
* LP : Emi/Angel 36171 (p 1964)
* CD : Emi "Les Introuvables de Christian Ferras" 574872 (p 2007) / 4 83604-2 (+ Kammerkonzert)
Durées : I. 11'06 - II. 14'11 = 25'17
7/5 Répertoire n° 96 - Diapason historique n° 432

« Malgré un prise de son peu différenciée sur l'orchestre, Christian Ferras réussit dès les premières notes du « Concerto à la mémoire d'un ange » à nous envouter par sa sonorité chaude, prenante d'une intensité de braise (superbe médium). Sculptant soigneusement ses phrasés et laissant respirer l'émotion dans la diversité des tempos pris avec une spontanéité juvénile, il conduit le discours avec une rayonnante autorité, en s'imposant même comme un véritable chef de l'ensemble. Loin de certains détachements contemplatifs, Ferras est là réellement déchirant dans son engagement (début du deuxième mouvement pris avec une rage pyrotechnique haletante). Prêtre suit assez bien cette étoile filante en dramatisant les nervures rythmiques, mais l'intelligibilité de l'orchestre et le travail sur les timbres restent insuffisants, partiellement sans doute à cause de la prise de son un peu analytique, et même assez lointaine sur les tutti. On a donc constamment l'impression d'entendre un sublime « violon accompagné », plus qu'un concerto. [...] La lecture brûlante de Ferras est une expérience passionnante. » (Jean-Marie Brohm, Répertoire n° 96)

« Dans sa vision du Concerto « A la mémoire d'un ange », sans doute l'une des plus vicérales jamais gravées [...] le violoniste laisse libre cours à son formidable instinct. Et jouant sur chaque ligne comme s'il vivait son propre destin, il habite l'oeuvre d'un dramatisme passionnel. La clarté de son jeu, l'intensité de son vibrato et de son engagement émotionnel, sa sonorité charnelle et la parfaite cohésion entre orchestre, chef et soliste donnent à cette lecture un pathétisme rare et totalement envoûtant. » (J-M Molkhou, Diapason n° 432)

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Ferras/Freccia, 1964 (Audite 95.590)

Ferras [5] - Freccia

ø Concert Berlin, 1964 - OS. Radio Berlin
* CD : Audite 95.590 (p 2011 + Beethoven)
Durées : I. 10'55 - II. 14'09

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Francescatti - Mitropoulos

ø Concert ? - OS. NBC
* CD : Intaglio 706 (+ Brahms)

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