Mise à jour : 14 octobre 2013
P
ø 1992 - OS Budapest
* CD : Valois 4691 (+ Bartok 2e)
5Y Diapason n° 394 / 3* Monde n° 167
« Dans le Concerto d'Alban Berg, le jeu de Pasquier est teinté d'une mélancolie plus charnel que méditative. La partie d'orchestre n'a pas la lisibilité totale de la version récente de Franck-Peter Zimmermann, car ses plans sont moins finement définis, mais le ton du soliste captive néanmoins par la franchise et le pittoresque de son éloquence. Pasquier ne cherche pas la pureté trop cérébrale du discours, mais en extrait au contraire une énergie faite de chair et de sang qui en exprime à la fois la violence et la passion avec un dramatisme qui prend ici une dimension formidablement humaine. » (J-M. Molkhou, Diapason n° 394 p. 100)
« Régis Pasquier, aujourd'hui au sommet de sa maturité technique et musicale, est impresionnant dans le Concerto de Berg. Sur le plan de la pureté de style, son jeu engagé, personnel mais remarquablement sobre élimine tout ce qu'une certaine objectivité pourrait avoir d'extérieur [...]. L'accompagnement d'Eric Berger et d'un (pâle) Orchestre symphonique de Budapest n'est malheureusement pas tout à fait à la hauteur, tout en demeurant correct. » (Patrick Szersnovicz, Monde de la Musique n° 167 p. 84)
ø Concert Cardiff, St David's Hall, 1995 - BBC National Orchestra of Wales - [Inédit ]
ø [Stéréo] Concert Londres, Royal Festival Hall, 18 février 1976 - OS. BBC
* CD : BBC Legends BBCL 42152 (p 2007 + Concerto double orchestre à cordes/Tippett, Sinfonietta/Janacek)
Durées : I. 11'43 - II. 16'46
ø Boston, 27-28 novembre 1978 - OS. Boston
* LP : DG 2531 110 (p 1980)
* CD : DG "Originals" 447 445-2 (p 1996 + Concerto Stravinski) / 413 725-2
Durées : I. 11'00 - II. 14'45 = 25'45
Son : Klaus Hiemann
9/8 Répertoire n° 91 / Diapason d'or n° 249, 429 / Grammy 1981
« Sonorités violonistiques superbes, imbrications exceptionnelle des timbres, poésie raffinée, espace sonore infini [...]. Il n'y a guère de concurrents [...]. » (Ch. Huss, Répertoire n° 91 p. 82))
« Itzhak Perlman et Seiji Ozawa (dans un ouvrage comme celui-ci on ne peut dissocier le chef et le soliste) nous comblent par la beauté des sonorités, par la clarté de la conception, par le charme profond qui se dégage de l'interprétation. On est très loin de l'expressionnisme. Le visage de la douleur conserve ici une beauté qui, pour être tragique, ne va pas jusqu'à la convulsion. L'oeuvre d'Alban Berg atteindrait-elle son âge « classique » ? Une telle interprétation, dont on ne peut nier l'intelligence et la sensibilité, tendrait à le démontrer. » (Jean Roy, Diapason n° 249 - avril 1980)
ø Concert ? - OP. Los Angeles - [Inédit ]
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