Mise à jour : 30 juillet 2009

Discographie Debussy
Prélude à « L'après-midi d'un Faune »

(prelude to the afternoon of a faun)




L

Lehel, ø ? OS. Budapest - Hungaroton Echo HRC 1014 (+ La Mer, Images n° 2, Petite Suite)

Leibowitz, (Chesky CD 57)

Leibowitz, ø 1963 London Festival O. - Chesky "A Portrait of France" CD 57 (+ Pièces françaises) / Menuet 160027-2 (+ Franck, Ravel/Prêtre)
2Y Diap. n° 340

« Leibowitz dirige le prélude à l'après-midi d'un faune avec précision et clarté mais au détriment d'une certaine sensualité. » (Diapason n° 340)

Leinsdorf, 1964 (Sheffield Lab CD-24)

Leinsdorf, ø MGM Stage One, Los Angeles, 3 juillet 1964 (ou 7 mars ?) P. Los Angeles - Sheffield Lab "The Sheffield/Leinsdorf Sessions vol. 1" CD-24 (+ Prokofiev, Wagner) [LAB 24 (+ Stravinsky, Oiseau de feu) - LP]
Durée : 9'57
2Y Diap. n° 324

« Sur le plan artistique, il faut bien avouer notre déception. Erich Leinsdorf, que nous avons connu au pupitre du Boston Symphonie de 1962 à 1969, n'est guère à son aise dans la magnificence sonore du premier Stravinsky, ainsi que dans le climat sensuel et poétique du Faune mallarméen. L'orchestre lui-même, ses vents tout particulièrement, ne brille guère par sa subtilité, la finesse sonore et le sens du phrasé allusif. » (Pierre-E. Barbier, Diapason n° 324 - février 1987)

Lenärd, Ondrej, ø ? Radio Bratislava SO. - Prestige Classics
Durée : 10'13

List, Karl, ø entre 1951 & 1957 OS. Berlin + Boléro - [Allegro Royale 1313 - LP 12"]

Lombard, ø 1974 OP. Strasbourg, - Erato (+ La Mer, Nocturnes) [70 889 - LP]
Durée : 10'25
Flûte : Philippe Jolivet
4/7 Rép. n° 8, 65 & 140 / Rép. n° 198 / 3d Compact n° 37

« Dans Debussy, [Alain Lombard] fait plus penser à Maazel qu'à Ingelbrecht, Ansermet ou Munch. Il n'a pas le sens du mystère, de la couleur du second, ni l'ivresse solaire du troisième. Il retrouve, [en revanche], l'analyse presque chorégraphique du premir, les effleurements sensuels, l'évocation de la vie passionnée, mais bien peu de langueur, d'enchantement fantastique. La flûte de Philips Jolivet, plus sensuelle qu'extasiée, est néanmois plus poétique que les cors qui l'accompagnent. » (Pierre-E. Barbier, Diapason n° 198 - juin 1975)

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