Mise à jour : 30 juillet 2009
(prelude to the afternoon of a faun)
M
Maazel [1], ø
? O. Philharmonia - Emi (+ Moussorgsky) [Columbia SAX 2484 / SAXF 968 - LP]
Durée : 9'26
Maazel [2], ø Concert Lucerne, Kunsthaus, 5 septembre 1991 Philharmonique de Vienne - ?
Maazel [3], ø Concert ? Munich, OS. Radio Bavaroise - ?
Durée : 11' 00
www.abc.net.au/classic/feb99/4.htm
Markevitch, ø 3 juin 1954 O. Philharmonia
- Testament "Homage to Diaghilev" SBT 1105
4Y Diap. n° 444 p. 104
Marriner, ø ? O. Philharmonia - Philips
Martinon [1],
ø c.1960 ? O. Concerts Lamoureux - Philips [« Minigroove »
S 06 011 R (+ Apprenti Sorcier) - LP]
Durée : 9'38
Martinon [2], ø 1974 O. National de l'ORTF -
Emi "Forte" 7243 5 72667 2 7 (+ intégrale orchestre) / "La
Voix de son Maître" CDM 253 660-2 (p 1991) [Emi C 165-12 791/6
- LP]
Durée : 10'36
Flûte : Alain Marion
9/8 Rép. n° 41 & Recommandé 117 / 3Y Diap. n° 348 / 4d Compact n° 41
www.classical.net/music/recs/reviews/e/emi72667a.html
Masur, ø Concert 1996 OP. New York + Ravel - Teldec/Warner 13133
Durée : 11'29
flûte : Jeanne Baxtresser
4/8 Rép. n° 102 / 5Y Diap. n° 437
Mengelberg,
ø Amsterdam, 30 novembre 1938 O. Concertgebouw - Biddulph
WHL 023 (p 1994 + Symphonie, Franck, Berlioz) / Archiv Documents "Mengelberg
Ed. vol 1" ADCD 107 [Telefunken - 78t]
Durée : 8'18
7 Rép. n° 79 & 76 / 4* Monde n° 185 (Biddulph)
Maerkl, Jun, ø Suntry Hall, 23 juin 1997 OS. NHK - Altus ALT 006-007 (+ Strauss, Mozart...)
Monteux [1], ø Concert Amsterdam, 12 octobre 1950 O. Concertgebouw - Audiophile 101.559 (+ Brahms, Concerto Violon/Milstein, Beethoven)
Monteux [2], ø Londres, Kingsway Hall, 11-13
décembre 1961 LSO - Decca [Decca SXL 2312 / Decca UK LXT
5677 / London CM 9317/CS 6248 / STS 15356]
Durée : 9'15
Flûte: Claude Monteux
Son : Kenneth E. Wilkinson
« Pour marquer officiellement cette prise de fonction [chef principal du LSO], un disque est enregistré par Decca dans la Kinsway Hall entre le 11 et le 13 décembre 1961. C'est une fois encore Kenneth Wilkinson qui assure la technique de prise de son et, avec une humilité remarquable, il restitue superbement ce qu'il entend, c'est-à-dire les timbres d'une rare originalité produits par les musiciens du London Symphony Orchestra lorsqu'ils étaient placés sous la direction de l'illustre maestro. Grâce à lui nous avons dans les meilleures conditions techniques possibles à cette époque les seules gravures que Pierre Monteux ait jamais faites de la Pavane pour une infante défunte de Maurice Ravel, et, ce qui est plus surprenant, du Prélude à l'Après-midi d'un faune de Claude Debussy, une œuvre ô ! combien emblématique dans sa carrière, puisqu'il avait conduit la création chorégraphique dansée par Vaslav Nijinski dans le Théâtre du Chatelet le 29 mai 1912. » (Jean-Philippe Mousnier, Pierre Monteux. L'Harmattan, 1999, p. 153.)
NB : Un certain flottement règne encore en ce qui concerne les interprétations de Charles Munch, c'est pourquoi elles ne sont pas numérotées.
Voyez la discographie complète de Pierre Monteux.
Munch, ø 1952 OS. Boston - RCA Victor 83179
Munch, ø 1962 OS.
Boston - RCA "Papillon" GD 86719 (+ Nocturnes, La Mer)
Durée : 9'00
9/7 Rép. n° 108 / Compact n° 29
Munch, ø c. Paris 1966 O. National ORTF + La Mer, Nocturnes - [Turnebout Vox TV-S 34637]
Durée : 9'45
« Le strasbourgeois avait alors soixante-quinze ans. [... Munch aborde l'œuvre] avec une décontraction aussi affirmée que celle dépeinte par Stéphane Malarmé dans certain poème. A cet égard, l'exécution de l'Orchestre National de l'ORTF suscite l'émergence de commentaires descriptifs. Comme dans les explications de textes qu'on pratiquait jadis, notre Kaperllmeister respecte la chaleur, la langueur et les lumières, la lascivité, l'érotisme et la sensualité exacerbées. Celles de l'auteur de fameux sonnets symbolistes, comme du compositeur d'Estampes.
Au point de vue des critères objectifs, une telle interprétation du prélude relève du festin instrumental. A tour de rôle, la flûte, la harpe, le cor et la clarinette interviennent avec une qualité de timbre tendant à prouver, une fois encore, la générosité de Munch. En effet, l'œuvre est écrite de manière que le chef ne soit que le coordinateur suprême de soli redoutables. La concision et le sens de la petite forme dont il fait montre ici détruisent également la légende d'un homme accaparé par les architectures colossales de Berlioz ou de Brahms. A l'opposé, nous découvrons un miniaturiste aussi habile que lorsqu'il dirige, avec suavité, la Pavane pour une infante défunte de Ravel. » (Philippe Olivier, Charles Munch, une biographie par le disque. Belfond, 1987 p. 143.)
Munch, ø Concert radio, 1967 P. New York - NYP ?
www.classicalcdreview.com/NYP4.html
Munch, ø Paris, Maison de la radio, 1968 ON ORTF + La Mer, Iberia, Nocturnes - Via Classics "fnac Music" 642303 [Guilde du Disque ?]
Durée : 10'03
9/7 Rép. n° 64 & 14 / 5Y Diap. n° 400
Mravinski, ø Concert Grande salle du Conservatoire de Moscou 28 février 1965 OP. Leningrad + Bartok & Stravinski - Melodiya/BMG "Ed. Mravinski vol. 8"[Melodiya SM 02864 - LP]
Durée : 9'38
Flûte : Dmitri Beda
Son : D. Gaklin
9/8 Rép. n° 81 / Choc Monde n° 189
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