Mise à jour : 30 avril 2003

Discographie Beethoven
Sonate opus 111



A

Angelich, ø Concert Paris, Théâtre du Chatelet, 13 mars 2000 - [Document vidéo - Réalisation Karl More (+ 12e)]

Arrau [1], ø [mono] Londres, Studio 3, Abbey Road, 21 mai 1957 - Emi (Concertos et Sonates n° 14, 18, 21, 22, 23, 26, 28, 31 et 32) [Columbia CX 1610 - LP]
7/4-6 Rép. n° 41

« On retrouve certains partis pris étranges comme cette manière d'attaquer la Waldstein sotto voce ou de jouer l'Arietta de l'opus 111 au limite du statisme. » (Jacques Bonnaure, Répertoire n° 41, novembre 1991, p. 23)

Arrau [2], ø Concert 1963 - Aura 113-2 (ex. Ermitage + version par Backhaus et Badura-Skoda)
8/7 Rép. n° 88 : un article très précis.

Arrau [3], ø Amsterdam, Salle Concertgebouw, 23-28 octobre 1965 - Philips 462 358-2 [6747 001 (Intégrale) / 6701 007 (+ Sonates n° 8, 14, 21, 23) - LP]
Durées : I. 9'12 - II. 19'37 = 28'49

Arrau [4], ø Paris, 1970 - Document vidéo réalisé par Denise Billon et conservé par l'Ina 
Durées : I. 8'55 - II. 18'30 = 28'25

Ce document a été diffusé dans le numéro 8 de « Classic Archive » sur la chaîne Mezzo ou la Cinquième et couplé à l'Appassionata par Solomon. La caméra de Denise Billon, très sobre, nous place très près d'Arrau et se concentre sur les mains, ce qui nous permet de voir d'où vient ce toucher rapidement reconnaissable. Magnifiques moments dans les trilles de l'Arietta.

Arrau, 1985 (Philips 420 154-2)

Arrau [5], ø juin 1985 - Philips 420 154-2
Durées : I . 9'07 - II. 19'51
9 Rép. n° 2

«Claudio Arrau enregistre pour la troisième fois son opus 111 ; à 85 ans [82 exactement, Arrau est né en 1903] , le poète nous livre à nouveau sa vision de 'la' sonate : clé de voûte de toute l'oeuvre beethovenienne. Contrairement à trop de pianistes qui se sont laissés halluciner par les déploiements de cette oeuvres dans des univers quasi-mystiques, Arrau affirme, maîtrise et y impose  un moule implacable. La compacité de son toucher, la sérennité de sa pulsation rythmique à la limite de l'extrème lenteur, renouvelle la perception que l'on peut avoir de la fameuse Ariette, décrite si souvent - et à juste titre -  comme la dissolution d'un corps simple : la cadence parfaite qui en est le thème, dans les variations infinie. Leçon de rigueur, leçon de retenue, intelligence tout court, Arrau s'impose, tout simplement.» (Olivier Bernager, Répertoire n° 2)

Voyez la discographie complète du pianiste.

Ashkenazy [1], ø [mono] 1957 (+ Sonate n° 21) - Berlin Classics 
6/4 Rép. n° 76 / 5Y Diap. n° 412 

Ashkenazy [2], ø 1977 (Intégrale) - Decca [591 220 - LP]
Pour l'intégrale : 8/6 Rép. n° 20 et 85 / 5Y Diap. n° 271, 421 et Diap. d'or n° 431 pour les Sonates 28 à 32 (Caractère)

Ashkenazy [3], ø 1991- Decca
9/8 Rép. n° 53



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