Mise à jour : 12 mars 2018
en si mineur, S. 178
H
ø juillet 1993
* CD : Fermate 20009
Durée : 29'51
ø Londres, Henry Wood Hall, 27 août 2010
* CD : Hyperion CDA67760 (+ Fantaisie et fugue sur le nom B-A-C-H, Bénédiction de Dieu dans la solitude, Venezia e Napoli S.162)
Durée : 31'06
ø juillet 2002
* CD :
Durée : 35'12
ø Concert ?
* CD : Hungaroton HC 31870 (+ Schumann op. 13)
Durée : 28'33
ø 1966
* LP : Charlin SCL 29
ø 1980
* LP : Metropole 25 99017
ø 1996
* CD : Rap CD 190 547-2
ø Concert Milan, octobre 2008
* CD : Berlin Classics
Durée : 30'15
ø 2006
* CD : Divine Art DDA 25064
Durée : 31'11
ø Munich, Église de l'Ascension, 18-21 avril 2006
* CD : Ambronay AMY008
Durée : 32'45
ø 1979
* LP : Europa Klassik
ø Würzburg, juin 1986
* CD : Signum SIG X36-00 (p 1992 + Chopin, Sonate op. 58)
Durée : 30'18
ø 2004
* CD : Caprice Records
Durée : 27'44
ø 1999
* CD : Move Records MD 3215
Durée : 28'33
ø Studio Londres, Studio n° 3 Abbey Road, 12 novembre 1932
* 78t : HMV DB 1855/57 / Victor M 380
* LP : Voix de son Maître FJLP 5047
* CD : Naxos 8.110606 / Appian Publications and Records APR 6004 [2CD] (p 2007) / Emi 4 76857 2 "Great artists of the century" (p 2005) / Caprice CAP 21448 / Philips 456 844-2 / Andante AND 2980 / Appian Publications and Recordings APR 5516 / Emi CHS 7 63538-2 3CD (+ Schumann, Rachmaninov...)
Durée : 26'30
10 Répertoire / Diapason d'or n° 499
La sonate occupait 6 faces de 78t.
ø Concert New York, Carnegie Hall, 4 mars 1946
* CD : Sony/RCA "The Private Collection" 88697-53885-2 (p 2013)
ø Concert New York, Carnegie Hall, 21 mars 1949
* CD : Sony/RCA "At Carnegie Hall, The Private Collection" 88697538852 (p 2009)
Durée : 27'25
ø Concert Cleveland, Severance Hall, 31 octobre 1976
ø Concert Saint Louis, Powell Hall, 21 novembre 1976
* LP : RCA "Red Line" RL 12548 / ARL 12548
* CD : Sony/RCA 88697839852 [4CD] (p 2011) / RCA "Red Seal" 090026 61415-2 (+ Ballade n° 2, Funérailles, Mephisto-Valse n° 1)
Durée : 30'00
Diapason d'or n° 227 / Référence Compact n° 48 p. 13 / Recommandé par Classica n° 32
« Voici que quarante-cinq ans après, Horowitz reprend la Sonate en si mineur pour nous en donner une vision renouvelée. L'apport du progrès technique nous vaut une dynamique beaucoup plus étendue, un piano plus coloré, une sonorité infiniment plus présente. Mais le virtuose, qui était au premier plan dans l'enregistrement de 1932, s'efface aujourd'hui derrière le musicien. Le piano d'Horowitz fait corps avec la musique de Liszt ; il va jusqu'au bout de ses contradictions : il la provoque, la défie, la force à proclamer un romantisme qui est au-delà de toute mesure. Seul le génie peut se permettre de telles outrances qui exaltent la vérité d'une oeuvre. Et c'est pourquoi je n'hésite pas à parler, ici, du génie d'Horowitz. » (Jean Roy, Diapason n° 227 - avril 1978)
« La grande Sonate en si mineur qu' [Horowitz] n'a cessé d'interroger [...] apparaît en 1977 moins virtuose, plus « pensée » [qu'en 1932] (légèrement plus lente aussi [...]). Sur le soir de sa vie, Horowitz en fait un immence poème de l'âme auquel il s'identifie, dont il devient le démiurge, où il allie virtuosité et méditation, pianisme et couleur, flamme et raison c'est tout simplement exceptionnel ! » (Jean Gallois, Compact n° 48)
« Délirante, électrique, sardonique, constamment au bord de l'abîme, cette version est inconstestablement la plus faustienne de bout en bout. Méphistophélès habite cette lecture comme nulle autre, avec ses cris et ses à-côtés, sa prise de risque totalement assumée, son ironie sarcastique. L'excès menace à chaque forte, dépassé par l'expressivité, avec une telle sûreté que l'on reste confondu devant tant d'audace et de maîtrise. [...] Horowitz utilise [...], un Steinway spécialement préparé pour donner des basses métaliques et profondes à la fois, lui conférant rapidité et résonnance. » Classica n° 32)
ø Concert Ann Arbor, Université du Michigan, Hill Auditorium, 9 octobre 1977
ø Concert San Francisco, Opera House, 12 février 1978
ø Concert New York, Carnegie Hall, 12 mars 1978
ø Concert New York, Carnegie Hall, 19 mars 1978
* CD : Sony/RCA "The Private Collection" (p 2013)
ø Bristol, St. George Brandon Hill, 7-9 novembre 1999
* CD : Hyperion CDA 67085 (+ Ballades et Polonaises)
Son : Tony Faulkner
Durée : 31'15
7 Répertoire n° 144 / 4Y Diapason n° 478
« Le grand mérite de Stephen Hought est de ne jamais se servir de la musique de Liszt comme prétexte à exhibition de prouesses digitales. Mais ici, force est de reconnaître que l'auditeur s'attend à plus de fougue et de démeusure. Et si les coups de griffes ne manquent pas, l'ensemble laisse un sentiment de sagesse peu propice à des oeuvres comme [...] cette Sonate, qui ne sait ici choisir entre un élan libertaire (les rythmes dans les passages de transition !) et la rigeur à la Pogorelich. Cette [interprétation] regorge de beautés, comme ce maestoso initial, d'une plénitude sereine et grandiose à la fois, ou bien surtout, un peu avant le dernier éclat final, toute la section mezzo forte (et pour une fois la nuance est réellement respectée), d'une douceur, d'une tendresse unique. Mais l'audition souffre de ce que la pianiste semble chercher l'unité de son discours sans jamais la trouver vraiment. » (J-J. Groleau, Diapason n° 478)
ø janvier 1996
* CD : Trust Records MMT 2008
Durée : 30'00
ø 23-28 avril 1990
* CD : Hyperion CDS44501/98 [99CD] (p 2011) / Hyperion "Intégrale vol. 9" CDA 66429 (+ Élégies, Consolations, Totentanz...)
Son : Trygg Tryggvason
Durée : 24'03
6/6 Répertoire n° 36
« Depuis le début [de l'intégrale], cet excellent pianiste a fait preuve de plus de savoir-faire que de vraie personnalité. C'est encore une fois l'impression qu'on aura ici. En jouant la Sonate en si mineur en moins de 25 minutes, il doit être aujourd'hui le plus rapide et dépasse même le temps de Cortot. Mais ce ne serait pas un problème si l'on sentait une personnalité devant le clavier et derrière les notes. Ce n'est pas le cas. C'est bien joué, mais sans guère de fièvre ni de fantaisie. Adieu visions faustiennes, tout cela est bien placide. La maîtrise technique de Leslie Howard lui permet de jouer avecaisance, mais sans engagement. » (Jacques Bonnaure, Répertoire n° 36)
ø 2005
* CD : Van Cliburn Foundation
Durée : 28'56
ø 2012
* CD : Apjic (p 2013)
Durée : 32'21
ø c. 1973
* LP : BASF 202 1869-4 (+ Funérailles et 5e Sonate op. 53 de Scriabine) / Top Classic TP-9009
Durée : 25'56
« Très rude » (Peter)
ø c. 1958
* LP : DUB Ersta 1010
High Fidelity - octobre 1959
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