Mise à jour : 12 mars 2018
en si mineur, S. 178
S
ø 2009
* CD : Carnegie Concerts
Durée : 32'15
ø 1995
* CD : BSO
Durée : 31'39
ø Marseille, Centre Guillaume Farel, 10-13 juin 2003
* SACD : Lyrinx LYR2228 (p 2004 + Vallée d'Obermann, Rêve d'amour, Saint-François de Paule marchant sur les flots)
Durée : 31'09
9 Répertoire / 5Y Diapason
ø 27 février 1947
* 78t : Columbia M-786
* LP : Columbia ML-4084 / LCX 8031/3 / Columbia Special Products CSP P14138 (+ Funerailles, Etude de concert n° 2, Liebestraum n° 3, Marche de Rakoczy)
Durée : 25'10
Autre enregistrement inédit des 7 et 9 mars 1945
ø 1983
* LP : Pavane ADW 7134
ø 2001
* CD : Teldec 8573 87009-2 (+ 1er Concerto Tchaikovski)
Durées : I. Lento assai (11'58) - II. Andante sostenuto (6'41) - III. Fugato (10'16) = 29'09
4 Répertoire n° 152 / 4Y Diapason n° 487
ø 2012
* CD : Centaur Records CRC 3207
Durée : 32'22
ø 19 février 1959
* LP : Club français du disque 233 / Musidisc RC 641
ø Hambourg, Friedrich-Ebert-Halle, 16-18 septembre 1999
* CD : Bayer Records BR 100 293 / Berlin Records 100 293
Durée : 30'49
ø c. 1997
* CD : Gallo CD-937
Durée : 25'42
ø 2007
* CD : Christopher Schindler
Durée : 29'08
ø 1987
* CD : Emi CDC 7 49732-2
Durée : 28'13
ø Stellenbosch University (Afrique du Sud), 18-21 décembre 2010
* CD : TwoPianists Records TP2039091
Durée : 33'18
ø 1957
* CD : Erato 4509-98476-2
ø Burgenland (Autriche), 17-18 avril 2012
* CD : Gramola Vienna GRAM 98952
Durées : I. Lento assai - Allegro energico (12'26) - II. Andante sostenuto (7'30) - III. Allegro energico (10'53) = 30'51
ø c. 1967
* LP : Melodiya D 16553/4
ø octobre 2000
* CD : Naïve/Auvidis V 4873 (+ pièces tardives)
Durée : 30'03
8 Rép. n° 144 / 5Y Diap. n° 478 / 5 Classica n° 30, 32
Instrument : Kawai concert piano EX
« Hüseyin Sermet sait admirablement organiser la dynamique, creuser des crescendos, animer le discours, sans jamais écraser le son. Les plus amples fortissimos restent à taille humaine et dans de nombreux passages comme le joli thème marqué «cantando espressivo» [ms. 154] ou le début de l'«andante sostenuto» [ms. 331], le style est d'une exquise poésie. A noter également, un «allegro energico» fugué [ms. 460] particulièrement original dans sa vivacité et son caractère fugace. Au total, cette version met en valeur l'inventivité fantasque de Liszt, sa poésie intimiste également. » (Ch. Huss, Répertoire n° 144)
« Sa Sonate de Liszt est à la fois libre dans le mouvement et néanmoins maîtrisée dans le détail, construite mais non sofistiquée, ample sans débordement - Grandioso, Recitativo -, fougeuse juste ce qu'il faut - fugue, Prestissimo -, à défaut d'être novatrice dans le ton (mais est-ce encore possible ?), toujours personnelle et habitée. » (Etienne Moreau, Diapason n° 478)
« Avec un usage particulier de la pédale, l'exposition semble sortir de la brume : cette entrée [...] quasi impressionniste révèle peu à peu des couleurs variées, éblouissantes. Sermet propose une vision [... d'] organiste, qui déroule ses plans sonores dans un sens profond du recueillement. [...] Beethovenien par la construction, debussyste par ses atmosphères, Sermet reste fluctuant et vivant. [...] C'est un Liszt religieux et poète qui sourd de ces pages. On pourra regretter une main gauche trop discrète, entrainant un manque d'assise dans les basses, et un soin attentif à la sonorité qui pourrait sembler maniéré par endroit. La fugue est mordante mais devient vite brouillonne, dénonçant une prise de risque pas totalement assurée. » Classica n° 32)
ø février 1980
* LP : Solstice SOL 11
* CD : Solstice SOCD 268 / SOL 11
Durée : 31'09
ø 28-30 juillet 1994
* CD : Ambitus AMB 97902
Durée : 30'58
ø 1997
* CD : Cembal d'amour CD 102
Durée : 30'30
ø avril 1973
* LP : CFP
* CD : CFP CD-CFP 4745
ø 27-30 juin 1987
* CD : Pro-Arte CDD 380
Durée : 29'36
3 Répertoire n° 9 / 2d Compact n° 37
« L'éclairage que donne de la Sonate en si mineur Russel Sherman est dramatique, dès l'abord, par une espèce de projection de teintes sombres, mais bientôt --hélas ! --englouties dans un déploiement technique qui, s'il est du point de vue « pianistique » ahurissant, n'est rien d'autre, et prouve que Sherman joue du piano et de ses muances, mais qu'il ignore l'architecture accomplie d'un tel sommet, et la musique que renferme l'ouvrage. Peu de tendresse donc, ou plutôt d'inspiration ici. Certes, fougueux est l'ensemble : c'est un torrent mais qu'aucune pierre ne vient freiner. [...] Il ne se passe presque rien ! » (Michel Louvet, Compact n° 37)
ø 1982
* LP : CBS 38DC 29
ø 2002
* SACD : Triton/Exton EXCL-00070 (p 2011)
Durée : 29'28
ø [mono] 1959
* LP : Pye CCL-30137 [mono] / "Golden Guinea Collector Series MONO" GGC 4098
ø 1993
* CD : Stereophile STPH 008-2
ø 2010
* CD : Anima Records ANM 70200001
Durée : 28'02
ø 1971
* LP : Melodiya / Chant du Monde LDX 78 537 / Columbia M 33119 S (+ Rhapsodie hongroise n° 6)
Durée : 30'00
Diap. n° 181
ø 23 octobre 1970
* LP : Unicorn UNS 238
ø 1997
* CD : Appian Publications and Recordings APR 5557
ø 1999
* CD : Musicians Showcase
Durée : 28'57
ø Concert Moscou, Grande Salle Conservatoire, 5 janvier 1948
* CD : Vista Vera VVCD 00204 "Sofronitski vol. 17" (p 2009 + Schubert-Liszt et Scriabine)
Durée : 28'34
ø Concert 14 octobre 1960
* LP : Melodiya
* CD : Classound 001-022 (p 2001 + Schubert Sonate D960, Schubert-Liszt) / Arlecchino "Vladimir Sofronitzki Concert Recordings, vol. 4" ARL 28 (p 1995)
Durée : 28'43
10/4 Rép. n° 76
« Disons-le d'emblé [... voilà] une des références absolues de la Sonate en si mineur, aux côtés de deux autres interprétations de génie, celle d'Horowitz [...] et de Simon Barère. Horowitz c'est la fougue, le travail du son, l'imagination colorée et nul mieux que lui ne sait faire ricaner le piano et dégager l'aspect méphistophélique de la musique, Barère, c'est la folie virtuose, le délire digital, l'urgence, la course à l'abîme. Sofronitski, c'est avant tout la tension dramatique (mais sans lourdeur), le romantisme morbide des passages expressifs. Le son est moins sec que chez Horowitz, mais aussi maîtrisé et orchestral. Il parvient comme personne à registrer le piano, à éclairer le discours touffu [...]. La prise de son ne l'avantage pas vraiment mais le message est bien perceptible. » (Jacques Bonnaure, Répertoire n° 76)
ø Vienne, ORF Funkhaus, 22 août 1996
* CD : ORF CD 156 (+ Réminiscences de Lucia di Lammermoor, Csárdás obstiné, Rhapsodie Hongroise n° 9, Sposalizio, Rhapsodie Espagnole)
Durée : 30'52
ø ?
* CD : Cassiopée Disques "Les grands récitals" 969 341 (p 2002)
ø c. 1960
* LP : RCA ML 20201 (It.)
ø ?
* CD : Gega New 241 (+ Fantaisie op. 17, Schumann)
Durée : 26'55
ø 1973
* LP : Panton
ø ?
* CD : IRC SA 1
ø Bremen, studio de la Radio, 13 mars 1998
* CD : Thorophon CTH 2489 (p 2007)
Durée : 28'57
ø 2010
* CD : IMC Music
Durée : 32'14
ø New York, Mannes College, 22 juillet 2008
* CD : Music and Arts CD-1234
Durée : 33'11
ø Tokyo, Metropolitan Art Space, 4 mars 1999
* CD : [Vidéo]
ø Deventer (Pays-Bas), Doopsgezinde Remonstrante, 16-17 septembre 2008
* CD : Brilliant Classics 93787
Durée : 30'44
ø 28-30 octobre 1970
* LP : Muza SX 0690 / DG 2531 128
Durée : 31'30
ø ? - [Origine : enregistrement canadien]
ø 1972
* LP : Coronet 1818
Durée : 30'25
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