Mise à jour : 12 mars 2018
en si mineur, S. 178
C
ø c. 1975
* LP : Italia ITL 70006
Durée : 25'33
ø 1976-81
* CD : Shaoline Music SHLCD 048 (p 2004)
ø 1989
* CD : Enteleky Classics ETKY-294
Durée : 30'42
ø Concert 26 septembre 1981
* LP : Hungaroton SLPX 12425
Durée : 31'20
ø Temple de Fenin (Suisse), 29-30 mai 1991
* CD : Euterpe 92102
Durée : 34'53
ø Prague, Rudolfinum, Dvoráksaal, 22 mars 2008
* CD : Supraphon SU 4021-2 (p 2010 + Méphisto-valse n° 1, Brahms, Sonate n° 3)
Durée : 29'08
ø 2007
* CD : Nocturne / Sergent Major Company Serg 084 (p 2008)
Durée : 28'26
ø Concert 2012
* CD : Tune Core
Durée : 31'56
ø Londres, Abbey Road Studio n° 3, 25 septembre 1951
* Matrix : 2EA 15937-15943
* LP : Emi/HMV ALP 1154
Gramophone - octobre 1954
ø Wyastone, Leys Monmouth, 11 juin 1985
* CD : Nimbus Records NI 1793 (coffret) / NI 1733 [6CD] (p 2003) / NI 5045 / NI 7701
Durée : 28'14
4Y Diapason n° 377
ø Concert Birmingham, 27 septembre 1985
* CD : Decca "Live, vol. 5" 433 656-2 (+ 4 Rhapsodies hongroises...) - [Origine : Archive BBC]
Durée : 28'52
7/7 Rép. n° 75 / 5Y Diap. n° 411 / Choc Monde
« Cherkassky l'a enregistrée un peu tard et les doigts assurent mal certains grands déluges pianistiques. Cela dit cette version atypique est à connaître, pour la légèreté et la transparence de la sonorité et la vision générale, qui ne recherche pas les sonorités symphoniques, ne brutalise jamais le piano et se montre idéalement poétique dans les passages fluides. » (Jacques Bonnaure, Répertoire n° 75)
ø 2012
* CD : Cambria "Visions of Liszt" CD 1206
Durée : 31'19
ø Budapest, mars 1992
* CD : Lydian 18121 (p 1994) / Amadis 7121 (p 1995)
Durée : 30'54
ø Concert juin 1960
* LP : Melodiya 06841/2
* CD : Melodiya MEL CD 10 01627 [5CD] (p 2010)
Durée : 32'52
ø 1975
* LP : RCA ARL1-1173 (+ Consolation n° 3, Brahms, Schumann, Ravel, Rachmaninov)
* CD : RCA BVCC 40014 "van Cliburn, A Romantic Collection" (p 2009, Japon) / RCA Victor "van Cliburn Collection" RG 60414-2 (p 1990)
Durée : 29'21
ø 1974
* LP : Vega "Intégrale piano vol. VII" 8029/32
* CD : Decca "Oeuvres pour piano vol. 11" 476 4035 [14CD] (p 2011)
Diapason n° 193
« [France Clidat] empoigne la partition pour en faire sentir l'exaltation [« romantique »]. Très à l'aise lorsqu'il s'agit de conduire le mouvement d'une arabesque, elle l'est beaucoup moins lorsqu'il faut déclencher toutes les puissances du piano. Ses tempi sont haletants, sans donner l'impression de brio ou d'un grand souffle. » (Max Pinchard, Diapason n° 193 - janvier 1975)
ø décembre 2011
* CD : Odradek ODR 303
ø Hackney, Église St. Jean de Jerusalem, 29-31 juillet 1989
* CD : Piano Classics PCL0014 (p 2011) / IMP Classics PCD 963 / Carlton 30367-0133-2
Durée : 30'33
ø 2003
* CD : Bis CD-1253 (p 2004 + Funérailles, Rhapsodie espagnole, Vallée d'Oberman)
Durée : 31'46
8 Rép. n° 69
ø Toronto, Centre for the Arts, 2002
* CD : Decca 2894724642 "Reflections" (p 2003 + Ravel et Bartok)
Durée : 28'01
ø 2008
* CD : Ward Brace Colignon 2573
Durée : 30'47
ø 2010
* CD : Claudio Colombo CC
Durée : 26'44
ø Paris, Salle Wagram, 25-27 novembre 1991
* CD : Emi 095157 2 / 7 54468 2 (+ Après une lecture du Dante, Sonnets de Pétrarque)
Durée : 33'39
8/9 Répertoire n° 54 / 5Y Diapason n° 389
« Cela fait longtemps que Jean-Philippe Collard porte en lui la Sonate en si mineur [...]. Son interprétation est assez personnelle et se caractérise d'abord par une très grande précision. Techniquement les trais sont d'une netteté obsolue et la structure du discours reste claire, même dans les passages les plus touffus. Mais au contraire de ce qui se passe dans de nombreuses version de l'oeuvre, cette clarté ne débouche par sur une joliesse un peu futile. Mieux, Collard est pratiquement inégalé pour traduire certains aspects de l'oeuvre, les « harmonies célestes » de l'Andante sostenuto par exemple, ou tous les cantando espressivo, dolce con gracioso, dolcissimo... Mais il manque aussi tout de même d'engagement pour en traduire d'autres éléments dramatiques. Dans les grands déferlements de la stretta ou du Presto qui la suit, on attend en vain le grain de folie. Mais qui, hormis quelques grands anciens comme Horowitz ou Barère, a correctement senti ces passages-là ? Une lecture sensible, sobre, extrèmement cohérente, ample sans brutalité, qui se tient fort bien dans la discographie de l'oeuvre [...]. Il faut cependant admettre qu'à ce niveau de qualité et de pensée, comparaison n'est plus raison. » (Jacques Bonnaure, Répertoire n° 54 p. 49 - janvier 1993)
« Après une belle introduction où les thèmes entrent en scène de façon très progressive, le premier développement (sempre forte e agitato) amène une vitalité, une chaleur, une fringance et une clarté qui se communique à l'oeuvre tout entière. Chaque pilier de la Sonate qu'il soit Grandioso, Recitativo ou Andante sostenuto, disparaît dans un ensemble lisse et ruisselant où la fugue elle-même, pourtant si embarrassante, est à peine un accident, plutôt un élément actif de la construction qui nous dirige fermement et définitivement vers la lumière sans trop subir les affres des ténèbres ; une orientation parfaitement plausible compte tenu de la psychologie listienne, et qui renouvelle notablement l'approche de l'oeuvre [...]. » (Etienne Moreau, Diapason n° 389 p. 124 - janvier 1993)
ø Tihange (Belgique), Récital Studio B, octobre 2011
* CD : Azur Classical AZC 095
Durée : 27'18
ø Londres, mars 1929
* 78t : HMV DB 1307/09
* CD : Emi "The Anniversary Edition" 70490725 (p 2012 - 40CD) / Emi "Icon" 17304 / Emi 5 72248 2 (p 1997 + Debussy, Ravel) / Pearl GEMMCD 9396 (p 1990) / Music and Arts CD-662 (p 1991 + Rhapsodie hongroise n° 11, La leggierezza, Weber, Sonate n°2 op. 39)
Durée : 25'15
9/2 Répertoire n° 31 et 107
« A comparer sa Sonate en si mineur avec celles de Simon Barère ou même Horowitz qui viennent d'un autre univers culturel, on constate que, si Cortot est a priori moins fou, il est tout aussi imaginatif. Il est puissant sans cesser d'être élégant, rapide (plus même qu'Horowitz dans son célèbre enregistrement de 1930), sans paraître précipité. Et la dramaturgie de la Sonate reste toujours présente. » (Jacques Bonnaure, Répertoire n°31)
ø Concert Festival d'Edinbourg, Leith Town Hall, 5 septembre 1961
* CD : BBC "Legends" BBCL 4078-2 (p 2001 + Sonnet 104, Berceuse, Valse oubliée n° 1 ; Haydn, Schubert)
Durée : 25'23
7 Répertoire n° 153 / Choc du Monde n° 261
« Si Cortot était surnommé « le roi de la fausse note », Curzon, en Concert, pourrait bien en être le Grand Dauphin. Probablement ému par le climat écossait, il tape régulièrement à côté pendant toute le début de la Sonate - après ça s'arrange en partie. Ce devrait être insupportable. Ca l'est un peu et pourtant, on a l'impression d'assister à un authentique moment de création musicale, d'autant plus que l'imagination sonore du pianiste, son sens très « impresionniste » des timbres suggestifs rendent fort originale cette lecture cursive (25 minutes seulement !) et pasionnée. » (Jacques Bonnaure, Répertoire n° 153 p. 90 - janvier 2002)
« On a rarement entendu une telle maîtrise de construction alliée à une telle spontanéité dans la Sonate en si mineur. Tout se tient parfaitement, et pourtant Curzon paraît improviser ce qu'il joue. La qualité minérale des basses, lamplitude dynamique de la beauté des pianissimos, le phrasé toujours original et profondément juste rendent ces quatre pièces de Liszt totalement fascinantes. » (Olivier Bellamy, Monde de la Musique n° 361 p. 104 - janvier 2002)
ø Vienne, Sofiensaal, septembre 1963
* LP : Decca SXL 6076 / RD 180 - London CS 6371
* CD : Decca 478 4389 [32CD] (p 2012) / "Original Master vol. 3" 475 6786 [6CD] (p 2005) / "Classic Sound" 452 306-2 / London POCL-4514
Durée : 29'20
Son : John Culshaw / Gordon Parry
8/7 Répertoire n° 99 / Diapason d'or n° 434
« Sa Sonate de Liszt est, simplement, téméraire : une plastique sonore aussi svelte, une linéarité aussi résolue interdisent tout effet, toute diversion dans le grand spectacle ou l'emphase. le paysage est plus près de Senancourt (le romancier d'Oberman) que de Dante ou Goethe. Personne sans doute n'a mis une si franciscaine économie - et même pauvreté absolue - de moyen à ce monument. [...] Une vue de Liszt, singulière, saisissante, irremplaçable dans sa pureté et son économie souveraine. » (André Tubeuf, Diapason n° 434)
« Si le pianiste britanique manque un peu de puissance et de flamme digitale dans les premières sections de l'oeuvre, il nous éblouit dès l'« Andante sostenuto » et ce jusqu'au crépuscule poétique des ultimes mesure par l'élégance patricienne des phrasés et la somptueuse beauté du toucher. » (Gérard Belvire, Diapason n° 99 p. 82)
ø c. 1962
* LP : [Cziffra] MCP-203 / SCP-2003
Diapason - décembre 1965
ø Paris, Studio Barclay-Hoche, 30 janvier 1968
* LP : Emi C 065-10459 (p 1972 + Après une lecture de Dante)
* CD : Emi 50999 648351 2 [5CD] / "Enregistrements Studio, 1956-1986" 13251 [40CD] / 7243 5 74512-2 [5CD] (p 2001 + Rhapsodies, Etudes, Ballades, Mephisto-valse...) / CDM 5 65250 2 (p 1994)
Durée : 29'15
6 Rép. n° 73, 153 (coffret) / Monde n° 181
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