Mise à jour : 12 mars 2018
en si mineur, S. 178
F
ø 2005
* CD : Diskant DK 00852
Durée : 28'07
ø Ungarn, Phoenix-Studio, 5-8 juillet 2008
* CD : Warner Classics "An evening with Liszt" 2564-69284-7
Durée : 31'12
ø c. 1953
* LP : Westminster WL 5266 / Nixa
American Record Guide - mars 1954
ø 1988
* CD : Sony MK 44 925 (p 1989 + Trois sonnets de Petrarque, St-François d'Assise prêchant aux oiseaux)
Durées : I. Lento assai - Allegro energico (12'06) - II. Andante sostenuto (7'20) - III. Allegro energico (11'26) = 30'52
7/8 Répertoire n° 21 (6 comparatif) / 4Y Diapason n° 357 / 4d Compact n° 51
« Jamais sans doute Sonate de Liszt n'aura paru aussi pleine de petites notes, au point de parfois simplement être écrite avec elles. L'extrême clarté et fluidité qui en résultent pourraient passer pour une futilisation de l'oeuvre même, d'autant que plus d'une fois un arpège sera roulé en tombour ou un gruppetto boulé, comme pour accentuer encore un ton désinvolte. Pourtant la rhétorique de la Sonate s'accommode fort bien de cette approche, aussi loin que possible du Liszt essentiel, nécessairement sérieux, d'un Arrau. » (André Tubeuf, Diapason n° 357 p. 122 - février 1990)
« La technique flamboyante de Vladimir Felsman offre à la Sonate de Liszt une saisissante digitalité. Les notes ruissellent jaillissantes et pleines, avec une clarté, une limpidité prodigieuses. Chacune d'entre elles se détache dans une perspective aux reliefs changeants. [...] La Sonate de Liszt par Vladimir Felstman est un véritable feu d'artifice, jouée avec une précision phénoménale, restituée avec un éclat d'une grande pureté. Sa virtuosité semble si naturelle que l'on décèle aucune surcharge, aucun artifice. D'autant que le pianiste soviétique sait préserver l'unité de cette somptueuse partition, chantant avec subtilité sa tendre poésie. Cette Sonate en si mineur pourra, sans doute, toucher un public plus vaste que dans des interprétations plus douloureuse et introverties ([...] la version de Mikhaïl Rudy [par exemple]). » (Bruno Serrou, Compact n° 51)
ø 1991
* CD : BNL 112797
6/7 Répertoire n° 46
ø 1973
* LP : RCA FRL 1 0142
Durée : 30'59
2Y Diapason n° 216
« Janina Fiakovska ne manque pas d'audace pour un premier disque. [...] Cette expression mobile, ce sens de la couleur sonore et du toucher varié et nuancé avec humour - a défaut des pleins-jeux du grand piano romantique - sont d'une musicienne authentique et pleine d'imagination. Le seul problème, c'est que la vision trop brillante, trop instable, en un mot, trop extérieure de la jeune pianiste canadienne ne cadre pas précisément avec le contenu prophétique de cette titanesque sonate. Fiakovska fait surtout, fait seulement ici du « joli piano », aux humeurs contrastées, pour ne pas dire contradictoires (et que penser de la fluctuation excessive des tempi, rubatos, retards et tous les petits tics de la tradition, ou plutôt de l'anecdote romantique, à l'appui ?), mais de sa conception trop fragmentaire ne naît pas ce que l'on peut appeler une interprétation. [...] Le gros défaut de Janina Fiakovska est de ne paraître jamais conscience de la partie formidable - un drame qui engagera en tout l'avenir du piano moderne (ainsi Bartók) - qui se joue ici, avec les notes, entre les notes. En outre, nulle continuité, nul fil conducteur ne vient cimenter avec elle, les éléments quelque peu arbitraires d'une approche dépourvue de tout pouvoir de synthèse et qui, malheureusement, n'est jamais métaphysique, ni monumentale... [...] - Pourquoi enregistrer cette sonate quand on n'est pas poussé par une nécessité intérieure ? » (Roger Tellard, Diapason n° 216 - avril 1977)
ø 1974
* CD : Arthur Rubinstein International Music Society
Durée : 28'42
ø Berlin, Konzertsaal Siemensvilla, 18-19 octobre 1997
* CD : Piano Classics "Fiorentino Edition, vol. 2: The Complete Liszt Recordings" PCLM 0041 / "The Berlin Recordings" PCLM 0033 [10CD] / Appian Publications and Recordings APR 5562 (p 2004 + Ballades, Funérailles, La Leggierezza, Waldesrauchen)
Durée : 30'24
ø 1953
* CD : Hungaroton HCD 31 494 (p 1995 + Sonate D. 960, Schubert-1968)
Son : Judit Likács
Durée : 31'36
8/4 Répertoire n° 95 / 4Y Diapason n° 381
« Si regettable que ce soit, il faut bien le dire : la Sonate de Liszt, datant de 1953, est si mal rendue dans sa sonorité, dénaturant si profondément une interprétation d'une continuité, d'une tenue et d'une grandeur pareillement exemplaires que le fischérien le plus convaincu (nous en sommes) ne peut se défendre d'un vrai malaise. C'est une occasion perdue. » (André Tubeuf, Diapason n° 381 p. 150 - avril 1992)
ø 1960 ?
* LP : Emi
ø 2007
* CD : Ivory Classics 79002
Durée : 26'30
ø octobre 1959
* LP : Epic LC 3675 / CBS 61776
* CD : Sony/BMG / Philips "Grands Pianistes XXe siècle, vol. 27" 456 778-2 (p 1998)
Durées : I. Lento assai - Allegro energico (10'56) - II. Andante sostenuto (7'16) - III. Allegro energico - Andante sostenuto (9'38) = 27'43
ø [novembre ?] 1951
* LP : DG 72137-38 / DG LP-16088 / Heliodor PV. 72137/8
ø 1994
* CD : Cantus 800 102
ø Boebingen, Église Saint-Joseph, 28-30 juillet 1999
* CD : Organum OGM 200011
Durée : 30'21
ø 2001
* CD : Integral Classic INT 221.1678 / MRL/XCP 7000 (p 2003 + Gaspard de la Nuit, Ravel)
Durée : 25'32
Recommandé Rép. n° 170 / Diap. d'or
Marylin Frascone est né en 1975 en France. Elle a suivit des études à l'Ecole normale « Alfred Cortot » avant de suivre son perfectionnement au conservatoire Tchaikovski de Moscou. Outre Liszt elle semble avoir une affinité particulière avec Chopin (Concours Chopin, participation à intégrale en concert) et Ravel dont elle joue souvent Gaspard de la Nuit, qui complète ce disque trop court.
« Quel tempérament ! [Marylin Frascone] prend la Sonate en si de Liszt à bras-le-corps, dans des tempi au moins aussi enlevés que ceux d'Argerich, avec une furia comparable, mais un travail sur les sonorité nettement plus approfondi, restituant magnifiquement les aspects les plus originaux de l'écriture lisztienne [...]. Tout est constamment habité, d'une engagement de chaque instant, en un discours parfaitement construit. [...] Si Marylin Frascone joue toujours avec autant de flamme, ses concerts doivent être des moments inoubliables ! » (Philippe van den Bosch, Rép. n° 170 p. 104 - juillet 2003)
« La Sonate de Liszt réussit le prodige d'être comme improvisée, arrachée du clavier, tout en étant construite de façon infaillible ; les rapports de tempos sont toujours aussi justes que les antagonismes qui se font jour dans cette oeuvre où Cortot lisait une mise en musique de Faust. Ils sont habités de l'intérieur et rendus avec une aisance fulgurante. » (Alain Lompech, Diapason n° 503 - mai 2003)
ø Salle François-Bernier, Domaine Forget St-Irénée (Québec), 7-9 février 2005
* CD : Atma ACD2 2360 (+ Lieder, Wanderer-Fantasie, Schubert
ø 1979
* LP : Orion Master Recordings ORS 79334
Durée : 34'23
ø 1972
* LP : Columbia M 31128 (p 1972) / CBS S72829
* CD : Sony
ø Université du Maryland, 1982
* CD : [Vidéo]
ø 1954
* LP : Vox PL 8800
ø 2005
* CD : Yarlung Records 52069 (p 2005)
Durée : 28'33
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