Mise à jour : 12 mars 2018
en si mineur, S. 178
L
ø 1957
* Matrix : XPARTX 45.893-894
* LP : Club National du Disque CND 17
Durée : 32'18
ø Boston, décembre 1993
* CD : Analekta AN 23030
Durée : 33'04
7/7 Rép. n° 99 / Prix Félix (ADISQ), disque classique de l'année (catégorie soliste), 1995
ø juin 1975
* LP : Decca SLX 6756
Durée : 30'54
ø Snape, The Maltings, 15-18 mai 2006
* CD : Linn Records CKD 282
Durée : 33'36
ø 2000
* CD : Eroica Classical Recordings 3047
Durée : 29'12
ø 2010
* CD : Classique et Jazz France
Durée : 33'48
ø Heidelberg, Clara Wieck Auditorium, juillet 2008
* CD : Gallo 1260
Durée : 33'29
ø 1983
* LP : Phonic 1982 016 / Reader's Digest
ø Berlin, Teldec-Studio, janvier 1990
* CD : Teldec 8573-89321-2 "Liszt, Basic Edition vol. 40" (p 2001) / 4509-97481-2 (p 1996) / 2292-44948-2 (+ Sonnets 104 et 123, Après une lecture de Dante) / Liebermann 52007
Durée : 32'53
7/6 Répertoire n° 25, 124
« Version solide, logique et carrée, très instrumentale, presque froide. » (Ch. Huss, Répertoire n° 124)
ø Saint-Truiden, Academiezaal (Belgique), 22-24 février 2006
* CD : Avanti Classic 5414706 10272
Durée : 26'29
ø 1996
* CD : Audiofon Records 72070
ø 2003
* CD : Terre Sommerse / Audio Bee
Durée : 31'02
ø [mono] Kresge Auditorium, 1956
* CD : Marston Records "Ernst Levy, Forgotten Genius" 52007-2 (2CD + Beethoven, op. 106 et 111) / Unicorn UNLP 1035
Durée : I . Lento assai - Allegro energico (12'00) - II. Andante sostenuto (7'03) - III. Allegro energico (11'12) = 30'10
Son : Peter Bartók
ø Berlin, décembre 2003
* CD : Harmonia Mundi HMC 901845 / HMX "Initiales" 2908456.57 (p 2011)
Durées : I. Lento assai (12'03) - II. Andante sostenuto (7'22) - III. Allegro energico (10'52) = 30'10
Diapason - septembre 2004
ø c. 1960
* LP : Artia ALP 125
ø Berlin, Teldex-Studio, octobre 2002
* CD : DG 471 585-2 (p 2003)
Durée : 29'57
8 Répertoire n° 169 / 2Y Diapason n° 503
« Yundi Li donne de la Sonate une interprétation ramassée et constamment soutenue, traversé d'une sève juvénile, toujours puissante mais sans dureté. On y apprécie notamment la constante beauté sonore, le superbe galbe des amples respirations, autant que l'apparition soudaine des plus étourdissants traits de virtuosité. » (Gérard Honoré, Répertoire n° 169 p. 80 - juin 2003)
« Les idées sont du dernier académisme, la construction est (comme le son) sans grâce, la respiration uniforme, l'expression un peu clinquante, tout semble appris et régularisé sans avoir été le moins du monde transcendé. » (Etienne Moreau, Diapason n° 503 p. 95 - mai 2003)
ø Baden-Baden, Festspielhaus, 31 mai 2004
* CD : DG 00440 073 4079 [Vidéo]
Durée : 30'54
ø Sendenhorst, Église Saint-Martin, 3-5 mai 2010
* CD : Ambiente ACD 1047
Durée : 30'30
ø 2009
* CD : Van Cliburn Foundation
Durée : 33'12
ø 15-16 janvier 1996
* CD : Sunrise 8543 [Taiwan]
Durée : 29'05
ø 1997
* CD : Audiofon CD 72070 [2CD]
Durée : 27'39
ø 2007
* CD : Musical Artist Records
Durée : 31'55
ø 1996
* CD : L'Art 47
Durée : 35'40
ø c. 1963
* LP : Véga 30MT-10259
Diapason - février 1964
ø 10-12 novembre 1986
* CD : Chandos CHAN 8548
Durée : 30'06
6 Répertoire n° 30 / 2Y Diapason n° 328
« [Louis Lortie ne se montre pas] aussi juvénilement inspiré [que dans dans son précédent disque Chopin]. Tout y est désespérément propre et sans aucun apport personnel. Ce qui frappe surtout dans la Sonate [...] c'est l'absence de vision symphonique du jeune virtuose québéquois. Pianistiquement, quelques remarques aussi s'imposent : les contours manquent de précision, les accords (donc l'harmonie) ne sont pas nets, les basses sont étrangement peu « parlantes », la pédale n'est pas perceptible (la prise de son n'est pas pour peu dans cette impression d'opacité crémeuse). Bref survol des faiblesses de lecture principales : des recitativo appassionatos qui le sont bien peu, des energicos en caramel mou, des crescendos, qui vont rarement à leur terme (que c'est frustrant !), des trilles fff et des triples ppp demandés par Liszt qui ne sont pas accordés, un écho très gênant dans l'allegro energico, un presto scolaire [...], un andante sostenuto sans mystère, ordinaire et un banal lento assai qui s'évanouit dans l'atmosphère glauque plus haut déplorée. [...] Bref une lecture qui ne va jamais au-delà des notes. » (Yves Petit de Voize, Diapason n° 328 p. 126 - juin 1987))
ø 1982
* LP : Fonit Cetra LMA 3019
ø Paris, Salle Wagram, 11, 13-14 octobre 1983
* LP : Emi 14-3680-1 / Angel DS-38099
* CD : Emi CDC 7 49063 2
Durée : 30'48
3Y Diapason n° 300
« Pour jouer Liszt, il faut des poignets d'acier, le sens de l'élégie et un grain de folie. Andrea Lucchesini, jeune élève de Maria Tipo, né en 1965, possède surtout la deuxième de ces indispensables qualités, qui font les grands lisztiens [...]. Ses capacités techniques [...] sont respectables, mais point tout à fait transcendantes. La Sonate en si mineur souffre un peu de ces limites, qui reculeront peut-être avec l'àge. Pour l'instant, Lucchesini n'est pas encore en mesure de lancer les gammes en octaves avec la fougue de Martha Argerich, de griffer le clavier avec l'ardeur diabolique d'Horowitz, ou de marteler les thèmes avec la formidable puissance d'Arrau. Il en résulte une interprétation pleine de bonnes intentions, à mon avis plus juste de ton et plus inspirée que bien des version récentes, mais encore très en retrait par rapport aux versions de références. » (M. Saint-Pulgent, Diapason n° 300 - décembre 1984)
ø 2003
* CD : RCA Red Seal 82876 64561 2 (+ Scriabine, Sonate n°9 "Messe noire", Chopin, Sonate op.58)
Durée : 34'27
ø Concert, Van Cliburn Competition 1983
* LP : Varese Sarabande VX 81114 S
Toutes suggestions, corrections ou informations
supplémentaires sont bienvenues !
http://patachonf.free.fr/musique