Mise à jour : 12 mars 2018
en si mineur, S. 178
G
ø Concert 1961
* LP : Qualiton / DGG LPEM 19292
ø 2001
* CD : Mapleshade Fazzioli
Durée : 28'59
ø 2006
* CD :
Durée : 26'53
ø 1977
* LP : Emi C 069-16 360
* CD : Emi "Rouge et Noir" CZS 7 62637-2 (+ Sonate n° 23 Beethoven ; n° 2 Chopin ; n° 3 Brahms...)
Durée : 30'39
5 Rép. n° 30 / 2Y Diap. n°249, 4Y n° 351
« Loin de rechercher l'unité de l'oeuvre, Gelber, au contraire, se plaît à accuser la diversité des climats et des contrastes. Il adopte des tempos résolument trop rapide ou trop lents faisant éclater l'oeuvre en morceaux épars, bousculent lento assai - allegro energico - recitativo - quasi adagio... Gelber a pour lui les facilités d'une technique à tout épreuve. Mais aujourd'hui cela n'étonne plus et dans le cas de cette sonate, reste tout à fait insuffisant. La Sonate en si mineur n'est pas une des Etudes d'exécution transcendante. » (Jean-Yves Bras, Diapason n° 249 - avril 1980)
ø Concert Festival Salzbourg, 1983 - [Inédit ]
ø Concert Saint Petersbourg, février 2011
* CD : [Vidéo]
ø Neumarkt, mai 2010
* CD : Myrios classics MYR005 (+ Schumann, Humoreske op. 20, Knussen, Ophelia's last dance)
Durée : 29'31
ø 1959
* LP : Emi ALP 1708 / Angel HC 1053
Gramophone - juillet 1959
ø 1999
* CD : Cyprès CYP 9607 [3CD] Queen Elizabeth Competition
ø novembre 1981
* LP : Chandos ABRD 1042
Durée : 25'
ø Lugano, Église St. Rocco, 22 juin 2007
* CD : Cascavelle VEL 3101
Durée : 28'02
ø 19-20 février 1988
* CD : Centaur CRC 2054 (+ un mauvais 1er Concerto)
Durée : 32'54
6 Rép. n° 30 / 2Y Diap. n° 348
Alexis Golovin est né en 1945. Il vit à genève.
ø 1984
* CD : Intersound Records 3539
Durée : 29'08
ø Concert 1997
* CD : Esperia P004
ø septembre 2010
* CD : DG 477 8766 (+ Mozart, Sonate n° 8 Kv. 310 ; Berg, Sonate op. 1 ; Bartok)
Durée : 30'13
« C'est finalement dans la Sonate en si mineur du romantique Liszt que cette esthétique du désordre assumé des sentiments est paradoxalement la moins convaincante : trop souvent, dans les passages les plus denses, on ne perçoit simplement plus le détail des notes, et celles-ci à l'exact inverse de ce que pouvait en faire Claudio Arrau, ne chantent guère au-delà de leur percussion initiale. » (Éric Taver, Classica n° 128 p. 112 - décembre 2010)
ø 1952
* LP : Melodiya 2374/5
Durée : 26'06
ø 1995
* CD : René Gailly CD 87115
ø 22 décembre 2004
* SACD : Avie Records AV 2097
Durée : 26'06
ø 29-30 avril 1942
* 78t : Odeon O-8772/75
ø 29 mars-1er avril 1986
* CD : Ottavo OTRC C 38611
Durée : 31'50
6 Répertoire n° 30
ø 2013
* CD : Orchid Classics ORC 100031
Durée : 31'32
ø Moscou, novembre 1949
* CD : Brilliant Classics 92615 [10CD] / 8713/13 ("Russian Legends, Legendary Russian Soloists of the 20th Century")
Durée : 29'08
ø Concert Moscou, 10 octobre 1961
* LP : Melodiya 11277/80
* CD : Istituto Discografico Italiano IDIS 6617 (p 2011) / Melodiya "The great arts of Emil Gilels, vol. 2" 10 00718 (p 2005) / Theorema TH 121.126 / Chant du Monde LDC 278 977 (p 1990 + 2e de Chopin)
Durée : 28'58
8/5 Répertoire n° 27
« Dans son enregistrement public de 1961, il choisit la plus extrème sobriété. Alors que Brendel recherchait une objectivité classique, Guilels se montre, sans trahir le texte, très subjectif et intériorisé. On rencontrera rarement une version aussi dépressive. [...] La Sonate en si mineur de Guilels est noire, dure, dépressive. Mais il est certain que l'interprète y laisse plus de place à l'émotion (fin de la section « grandioso » avant le récitatif) [que Pollini]. [...] Cette version s'impose d'emblée comme une référence avec laquelle il faudra compter. Si Horowitz représente le versant fantasque et Pollini le versant lumineux, Guilels, mieux encore que Leonskaja, en montre l'aspect inquiet et austère. » (Jacques Bonnaure, Répertoire n° 27 et 30)
ø Studio New York, Town Hall, 24 décembre 1964
* LP : RCA AGL1-1337 / FTC-2200 [Reel tape]
* CD : Sony/RCA 88697858242 / RCA 09 026 61614-2 (+ Schubert Sonate D. 850)
Durée : 29'48
5Y Diapason n° 399 / 4* Monde de la Musique n° 173
« Indéniablement le travail de studio live [Salzbourg, août 1970] éclipse le travail de studio, de même proportion et esprit, mais perceptiblement moins habité (et même comblé) par le flux et le feu intérieurs, le démonisme d'un pianiste en furie, déchaîné, à l'ahurissante maîtrise pourtant. » (André Tubeuf, Diapason n° 399 p. 178)
« La Sonate en si mineur enregistrée en studio à New York [...] est le triomphe de la force tranquille. Moins impatient que Brendel ou Argerich, Gilels organise une architecture complexe, sans rien laisser au silence même quand les notes sont aux frontières de l'imperceptible. D'accès moins immédiat que le live de Salzbourg [1970], cette interprétation savamment élaborée, audacieuse, fascine par un ton soutenu, un élan intérieur sans faille, qui cimente avec une densité fondroyante les éclats et les expressions les plus diverses. » (Patrick Szersnovicz, Monde la Musique n° 173 p. 99)
ø Concert Moscou, mars 1965
* CD : Brillant Classics 8713/13 ("Russian Legends, Legendary Russian Soloists of the 20th Century")
Durée : 27'30
ø Concert Aix-en-Provence, 20 juillet 1966
* CD : Music and Arts CD-759 (p 1993 + Sonates op. 53 et 101 de Beethoven) / AS Discs / Rodolphe RPC 32491 (p 1987) - [Origine : Archive INA]
Durée : 28'30
9/4 Répertoire n° 60
« Dans la Sonate de Liszt, [Emil Guilels] est moins demeusuré que Richter, plus distant, un rien aristocratique. Il prend soin de modeler le son avec minutie. C'est aussi le plus rapide (moins de 28 minutes), et cette hâte relative donne à sa lecture beaucoup de mordant, d'élan et de force. De ce point de vue, il faut remarquer l'exceptionnelle réussite du fugato, très vivant, et de tout le passage qui suit (jusqu'au retour du choral). Là, Guilels nous envoie dans les étoiles. » (Jacques Bonnaure, Répertoire n° 60)
ø [mono] Concert Salzbourg, Mozarteum, 18 août 1970
* CD : Orfeo C 332 931 B (p 1993 + Sonate D. 784 et moments musicaux op. 94 de Schubert)
Durée : 29'12
Diapason d'or n° 399 / 3* Monde de la Musique n° 173
« Sans effets ni comportement rhétorique ostensible, avec en vérité une sorte de sérénité objective mais une conduite du son et un contrôle de la sonorité (belle, somptueuse, chatoyante, miraculeuse de docilité et d'impressionnabilité) et jusqu'à une sorte d'esprit/elfe, comme un feu follet dansant dans les traits les plus ahurissants, avec le clin d'oeil que tout autre, assez occupé de ses doigts, ou de son sérieux, aurait peur d'y mettre. » (André Tubeuf, Diapason n° 399 p. 178)
« Emil Gilels cisèle en pur pianiste et nese laisse entraîner que rarement dans l'élan dionysiaque. Gilels joue le chef d'oeuvre de Liszt comme une grande page de musique pure et ne songe guère, à l'opposé d'un Brendel ou d'un Arrau, à un programme (Faust, Méphisto, Marguerite) laissant l'imagination se déployer. » (Patrick Szersnovicz, Monde la Musique n° 173 p. 99)
ø Concert La Roque d'Anthéron, 2002
* CD : Naive "La Roque d'Anthéron - Les pianos de la nuit" DR 2106 [Vidéo]
Durée : 29'49
ø La Chaux-de-Fonds, 8-11 novembre 2010
* CD : Zig-Zag Territoires ZZT110301 (2CD + Harmonies poétiques et religieuses I, S.154)
Durée : 31'12
ø 1979
* LP : Emi 063 03463 / Angel SZ-37477
Durée : 28'58
4Y Diap. n° 244
« Sans crier à la révélation inoubliable, nous n'avons pas été déçu par l'écoute de ce premier enregistrement. Incontestablement nous tenons là un nouveau talent de qualité, aussi virtuose que sensible, aussi brillant qu'inspiré. Certes, nous avons entendu au disque des interprétations de la Sonate en si mineur plus dominée, traversées d'un lyrisme plus passionné [...], mais il y a ici, par moments des traits d'une subtilité, d'une délicatesse qui ravissent, un envoûtement poétique qui enchante. » (Maurice Roy, Diapason n° 244 - novembre 1979)
ø Schiedam (Pays-Bas), 16-19 février 2011
* CD : Orchid Classics ORC100017
Durée : 29'46
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