Mise à jour : 12 mars 2018

Discographie Franz Liszt
Sonate pour piano

en si mineur, S. 178



Z

Zawadzki

ø 1996
* CD : Selene
Durée : 30'21

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Zellan-Smith

ø ?
* LP : Peerless ORPS 62

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Zhang, 2010 (Hanssler CD 98.625)

Zhang

ø Berlin, 22 juillet 2010
* CD : Hänssler Classic CD 98.625
Durées : I. Lento assai (12'44) - II. Adante sostenuto (7'48) - III. Allegro Energico (11'24) = 30'56

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Zimerman, 1990 (Dg 431 780-2)Zimerman, 1990 (Dg 477 9697)

Zimerman

ø Copenhague, Tivoli, Konzertsaal, février-mars 1990
* CD : DG "The Liszt recordings" 477 9697 [2CD] (p 2011 + Concertos) / 431 780-2
Durée : 30'37
10/8 Répertoire n° 41 / Recommandé Classica n° 32 / 3d Compact n° 70

« Voilà la version moderne de la Sonate en si mineur que j'attendais. Celle qui saurait conjuguer la sobriété du « pianisme » d'aujourd'hui et la flamme des grands anciens. [... Krystian Zimerman] a tout pour lui. La force dramatique, l'intensité noire et plombée. Dès le Lento assai, très lent, on comprend où il veut nous mener. Cette lenteur, c'est la concentration et celui qui va « monter en puissance ». Et ça ne manque pas : les trois pages qui précède le « Grandioso » sont superbes de dramatisme, avec leur progressive accélération et l'augmentation graduelle de la tension et de l'intensité. La qualité principale de Zimerman est là : il parvient à tendre de grands arcs pathétiques, à imposer la tension dans la durée. Avec cela, les épisodes « féminins » de l'oeuvre se signalent par une immence tendresse que sous-tend toujours cependant (voyez autour de la septième minute) la tension de l'ensemble ; les épisodes « grinçants», notamment la fugue « Allegro energico » ne sont pas, pour la première fois depuis longtemps, énoncés avec un froid académisme. La technique parfaite, aujourd'hui indispensable, ne court-circuite pas l'expression, la force intérieure, l'impact poétique. » (Stéphane Haïk, Répertoire n° 41)

« Zimmerman est conscient des obstacles de cette partition au discours grave où se mêlent quantité de sentiments divers. Son investissement est cependant total ; plus que ces mains, c'est tout son corps qui joue, toute sa chair, tout son être. Son jeu caressant, subtil et nerveux, tente par tous les moyens d'entrouvrir les portes que Liszt s'entête à vérouiller. Le pianiste a beau faire, toute l'énergie qu'il déploie pour parvenir à la lumière se trouve brouillée et à force de se heurter à ces murs, il nous fait perdre le fil de son analyse. [...] Une sonate pas très convaincante. » (François Lesueur, Compact n° 70)

« Dès les premières mesures Zimerman impose un contrôle absolu sur le son - qui pourrait parfois sembler un peu dur [...]. [Il y a] de curieuses hésitations sur les levées de temps --en cela, Zimerman est l'antithèse d'Horowitz. » Classica n° 32 p. 88)

Extrait sonore du lento assai initial ainsi que, plus bas, quelques commentaires (en anglais)

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Zuo

ø 2009
* CD : Van Cliburn Foundation
Durée : 27'33

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