Mise à jour : 23 mai 2003

Discographie Dvorák 
Neuvième symphonie

« Du Nouveau Monde » - « From the New World » opus 95 / B. 178



S

De Sabata, 1950 (Idis 336)

De Sabata, ø Concert New York, 1950 P. New York - Idis 336 (+ Symphonie, Franck) / Arkadia CDGI 735.1 (+ Concerto violon Brahms avec Milstein)
Durée : 38'34

Sawallisch [1], ø 1958 O. Philharmonia - Emi [MFP 2M 055 00650 - LP]
2Y Diap. n° 240

Sawallisch, 1988 (Emi 49114)

Sawallisch [2], ø 1988 O. Philadelphie - Emi 49114 (+ Scherzo capriccioso op. 66)
Durées : I. 12'08 - II. 12'37 - III. 7'46 - IV. 10'33 = 43'04
5/8 Rép. n° 103 / 2d Compact n° 39

« L'impression que nous tirons de cette version est mitigée. Les sonorités pleines et rondes du premier mouvement, dont les éléments thématiques sont présentés par petites touches, évoqueraient le travail d'une peintre, un paysage prenant corps sur le toile puis la danse pénètre la scène, tandis que le cor et la  flûte s'enivrent de nature. Après cet excellent début, le largo est très intériorisé, le trait finement dessiné, mais les rythmes dansants du scherzo ne sont pas assez anguleux. Bien que très ample à son début le final perd son caractère impétueux et s'empâte rapidement. » (Pierre Vidal, Compact n° 39)

Silvestri, ø avant 1957 ? O. Nat. ORTF - Emi / VSM [ALP 459 - LP]

Simon, ø 1986 LSO - Cala 102
Durée : 39'57

Sinaisky, Vassily, ø ? Chetham's SO. - ?

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Slatkin, 1980 (Telarc 82007)

Slatkin [1], ø 1980 - Telarc 82007
Durée : 43'51
4/6 Rép. n° 69

« La 9e de Dvorák par Slarkin fut l'une des premières disponible en CD. [...] Cette réédition est aujourd'hui inutile [...]. L'abord stylistique à l'occidentale est assez lâche, manquant de ductilité et paraît en tout cas très épais. Cette impression de massivité est renforcée par une prise de son dite «de démonstration» mais parfaitement anti-musicale, qui boursoufle les graves.» (Répertoire n° 69)

Slatkin [2], ø 198? American Soviet Youth O. - RCA 09026 60594-2

Smetacek, 1974 (Praga 250016)

Smetacek, ø 1974 SO. Radio Prague - Praga 250016 (+ Concerto piano op. 33/Richter-1966)
Durées : I. 9'13 - II. 12'19 - III. 8'00 - IV. 11'02 = 40'39
10/6 Rép. n° 54 / 5Y Diap. n° 392

« [C'est une] immense surprise que nous procure cette Nouveau Monde d'anthologie. Certes d'autres (Talich, Ancerl, Kertesz, Fricsay : le quatuor majeur) en ont marqué la discographie à tout jamais, sans doute avec plus de finesse, et il n'est aucunement question de les oublier. Aux esprits chagrins nous concéderons que Smetacek ne lésine pas sur les moyens (percussifs et cuivrés entre autres) pour nous emporter dans sa bourrasque. Mais aux amateurs de sensations fortes et de vie, nous avouerons que jamais notre rythme cardiaque ne s'était élevé ainsi à l'écoute d'une Nouveau Monde. Avec Smetacek la 9e n'est pas la grande oeuvre « américaine » de Dvorák, mais sa plus grande oeuvre tchèque. En mettant en évidence une culture sonore qui n'est pas sans contenir les prémices de l'univers qu'un Janacek développera plus tard (couleurs des tutti), Smetacek aborde la 9e avec une énergie farouche, comme pour se mettre dans la peau d'un Dvorák habité par une furieuse soif du retour au pays. Le résultat est fulgurant (cf. la coda du mouvement initial !).
 A la question «comment peut-on encore attribuer un 10 à une 9e de Dvorák ? », les réponses sont ici sans limites et touchent autant à l'accentuation (dès la première intervention de timbale, où dans le fpp des violons lançant l'Allegro molto), aux équilibres (les cuivres dans les tutti, e cor avant la mélodie des cordes dans le Largo), aux contre-chants I (la bouleversante marche en trémolando des violoncelles dans le Largo à 7'10, 14 mesures après C), aux couleurs (la beauté du cor anglais et des trombones, toujours dans le Largo), au vibrato nostalgique des cordes, qu'à la puissance hymnique ou à la justesse et à l'impact rythmique. Quelle que soit la richesse de votre discographie en ce domaine, la version Smetacek vous mènera vers de nouveaux rivages. » (Christophe Huss, Répertoire n° 54)» (Ch. Huss, Répertoire n° 51)

« L'image que [Smetacek] donne de lui-même par cette sidérante interprétation de la Symphonie « du Nouveau Monde » [...] ne correspond guère à ce que l'on attend - par simple habitude - d'un chef tchèque. Conformément aux exemples laissés par Talich et Ancerl (entre autres) on imagine en effet une approche lyrique, entourée d'un halo de nostalgie slave, portée par une tension et un souffle romantiques. Or la présente 9e de Dvorák est d'une violence inouïe, avec un rôle inhabituellement dramatique dévolu aux timbales (très en avant) et une rigueur proche de l'austérité (le jeu des cordes rappelle celui du Philharmonique de Leningrad plus que du Philharmonique Tchèque)... Seule la tension, poussée au paroxysme, évoque en partie le souvenir de Karel Ancerl... Par-delà une certaine sécheresse (un reproche assez souvent formulé à l'encontre de ses gravures), Smetacek nous révèle une dimension tragique insoupçonnable ; les premier et troisième mouvements retrouvent une singulière force sauvage (Dvorák apparaissant ainsi comme le précurseur direct de Janacek) et le Finale se fait plus menaçant qu'apaisant... Cette conception culmine lors du Largo ; sa lumière crue et l'extrême précision des cordes donnent l'impression d'écouter de la musique de chambre.  [...] Une conception marginale et captivante de l'ultime Symphonie de Dvorák ; un chef [...] à redécouvrir... » (Francis Drésel, Diapason n° 392)

Solti, 1983 (Decca 410 116-2)

Solti, ø 1983 OS. Chicago - Decca 410 116-2
Durées : I. 11'58 - II. 14'03 - III. 8'06 - IV. 11'08 = 45'23
7 Rép. / 4Y Diap. n° 293 / 2d Compact n° 46 p. 33

« Voila une image du Nouveau Monde, qui rapelle plus la Vienne impériale et l'impeccable ordonnance de la symphonie selon Brahms, que l'humour tour à tour nostalgique ou fière d'un Tchèque à New York ! La lecture de Solti est d'une perfection hallucinante et risque de dérouter. Solti suit l'édition critique (Burghauser), sans tenir compte des traditions qui ont censuré quelques mesures et reprises et imposé une démarche rythmique qui n'est pas forcément celle qui est écrite ! Ceci est immédiatement décelable dans le célèbre Largo. Solti, hormis le Finale, prend des tempos particulièrement lents, ce qui lui permet de faire entendre nombre d'agrégats sonores qui n'avaient jamais été identifiés et isolés de cette manière. » (Pierre-E. Barbier, Diapason n° 293 - avril 1984)

Stokowski [1], ø 1925 - ?

Stokowski, 1927 (Biddulph 3000 356-2)

Stokowski [2], ø 1927 O. Philadelphie - Biddulph 3000 356-2 (+ Liszt, Borodine...)
Durée : 38'52
7/3 Rép. n° 90 / 4Y Diap. n° 436

« Stokowski gravait déjà, en 1927, sa seconde version de la Symphonie « du Nouveau Monde ». En l'achetant, les mélomanes américains avaient également droit à un petit disque reproduit sur cette réédition, où Stokowski expliquait, exemples musicaux à l'appui, les origines américaines des principaux thèmes : le chef y évoque les grands espaces de l'Arizona, les chants de guerre indiens et le jazz des Noirs. Cette conception aujourd'hui dépassée (Dvorák lui-même insistait sur le caractère tchèque de son oeuvre) est pleinement défendue dans cette interprétation spectaculaire : grandeur épique dans le premier mouvement, vastes méditations pour le Largo, pulsations nerveuses dans le Scherzo, larges élans mélodiques du Finale. Comme à son habitude, Stokowski n'hésite pas devant les changements de tempo intempestifs, jusqu'à donner parfois à cette fresque l'aspect d'un immense récitatif ou d'une musique de film qui « suivrait » l'action. L'Orchestre de Philadelphie répond avec une cohésion miraculeuse à toutes les intentions du chef. Le son est profond, souple et homogène, les phrasés restent d'une évidente clarté. Au-delà de la magnificence de la formation, c'est aussi la baguette de Stokowski qu'on admire. Chaque détail est minutieusement soigné, et tout l'orchestre semble suspendu à la moindre inflexion exigée: étonnant alliage d'une discipline d'ensemble toute moderne au service d'une liberté de ton qui n'est plus de notre temps. » (Eric Taver, Diapason n° 436)

A propos du son : « Documents en magnifique état (1927 !), très bien reportés dans l'ensemble. » (Ch. Huss, Répertoire n° 90 p. 76)

NB : Il faut le souligner, ce disque comporte une partie où Stokowski expose les thèmes de la symphonie - pendant un peu moins de quatre minutes.

Stokowski, 1934 (Sirio 530027)Stokowski, 1934 (Andante 2986/89 - coffret 4 CD)

Stokowski [3], ø 22 octobre 1934 O. Philadelphie - Andante 2986/89 / JLSSA 25 / Sirio 530027 [Gramophone DB 2543/2547]
Durées : I. 8'58 - II. 12'36 - III. 7'52 - IV. 11'38 = 41'20

Très mauvais reports publiés jusqu'alors : « raccords de faces 78 tours déplorables », etc. L'éditeur Andante qui a bonne réputation offrira, j'espère, de bonnes surprises...

Stokowski, 1934 (Music & Arts CD 4841)

Stokowski [4], ø 26 juin 1940  All-American Youth O. - Music & Arts CD 4841  (+ 7e Sibelius, Boléro Ravel)
Durée : 41'32

Stokowski [5], ø 1947 Stokowski SO. - [Victor]

Stokowski, 1973 (RCA)

Stokowski [6], ø Londres, 2 & 4 juin 1973 New Philharmonia O. - RCA
Durée : 43'28

La Leopold Stokowski Society of America - L.S.S.A en anglais - propose une discographie de Stokovsky impressionnante, mais hélàs, sans dates précises, ni indications particulières.

Stupka [1], ø janvier 1959 - [Inédit]

Stupka [2], ø janvier 1964 OP. Tchèque - Panton [LP]

Suitner, 1978 (Berlin CLassics 9395)

Suitner, ø Berlin, 29-31 mars 1978 Staatskapelle Berlin - Berlin Classics BC 2135-2 [Deutsche Schallplatten - LP]
Durées : I. 11'47 - II. 11'26 - III. 7'54 - IV. 10'49 = 42'00
Recommandé Rép. HS 11 / 4Y Diap. n° 422 / 4 Classica n° 16

« On ne s'étonnera pas de la battue souple d'Otmar Suitner dès les premières mesures de la Symphonie du « Nouveau Monde », si l'on se rappelle que ce chef autrichien a été l'élève de Clemens Krauss. Comme chez ce dernier, les phrasés sont légèrement étirés, même quand le tempo devient rapide ; la mélodie chante sans effort et n'est guère troublée par les puissants accords de l'Allegro molto, joués avec de légers décalages entre les instruments qui en atténuent la violence. On se laisserait paisiblement enivrer par cette longue courbe mélodique, ces cordes aux vibratos sensibles et ces couleurs boisées, si ne survenait un développement dramatique à l'extrême, où les violons n'ont pas peur d'accrocher les cordes graves : la Staatskapelle de Berlin est avant tout un orchestre d'opéra (celui de Berlin-Est à l'époque), et cela s'entend. Le Largo est pris fort lentement, mais avec une pulsation toujours fluctuante qui lui donne de la vie. Le bel ensemble des cordes, à la polyphonie claire et allégée, souligne l'écriture de Dvorák, proche de la musique de chambre et pleine d'une tendre mélancolie. Avec le Scherzo, on retrouve cette rare souplesse de Suitner, qui lui permet de diriger rapidement cette page, en évitant toute raideur, et en laissant la possibilité à ses musiciens d'être engagés et expressifs. Les épisodes de danse ont une vraie saveur d'Europe centrale et alternent naturellement avec les épisodes rythmiques grâce à des transitions fait de liberté et de précision tout a la fois : des détails qui révèlent le savoir-faire et le métier d'Otmar Suitner. Le Finale atteint ensuite un lyrisme qu'on ne lui connaît guère. Même les accords répétés qui accompagnent la fameuse sonnerie de trompettes sont véritablement « chantés » par tout l'orchestre. On savourera ici et là un sautillé des violons aussi moelleux que précis, des archets comme tenus par un même poignet très souple, ou la plénitude des harmoniques des cuivres. La beauté sonore est ici faite de mille perfections artisanales et sait rester humble. [...] (Eric Taver, Diapason n° 422)

« On oubliera les timbales mal accordées et une petite harmonie sans grande personnalité pour admirer le sens du mouvement et la précision de la rythmique. Cela n'a rien de tchèque dans les couleurs comme dans l'esprit, mais ceux qui aiment cette grandiose rigidité, parfaitement servie par la prise de son, seront comblés. » (Stéphane Friédérich, Classica n° 16)

Szathmáry, 2000 (Bis 1168)

Szathmáry, ø ? 2000 O. - Bis 1168
Durée : 43'07

Szell, 1937 (Dutton CDEA 5002)Szell, 1937 (Dutton CDBP 9709)

Szell [1], ø Londres, Abbey Road, 30 octobre 1937 OP. Tchèque - Dutton CDEA 5002 / CDBP 9709 (+ cto Violoncelle/Casals) / History 204565 [HMV C 2949-53]
Durées : I. 8'28 - II. 11'28 - III. 7'46 - IV. 10'24
Recommandé, Rép. n° 147 / Diap. Historique n° 429

« Alors que la gravure du Concerto avec Casals demeure une référence : fréquemment rééditée, celle de la Symphonie « du Nouveau Monde » trouve aujourd'hui une rare et excellente restitution. [...] George Szell, jeune chef hongrois tout juste quadragénaire, était déjà réputé pour ses concerts de musique contemporaine au pupitre de cet orchestre ainsi que pour ses productions lyriques au Théâtre allemand de Prague (1919/21) puis à l'Opéra de Berlin (1924/29) où il était le protégé de Richard Strauss. Menant la manière de Talich à ses limites instrumentales, il obtient une lisibilité de la ligne mélodique d'une perfection toute classique, allégeant et rendant plus mozartien l'héroïsme parfois postwagnérien que Talich conférait aux deux Allegros. Quelques modes d'accentuation aux cordes « datent » cette interprétation beaucoup plus rigoureuse que ses contemporaines, souvent habitées par la tradition slave de l'époque. » (Pierre E. Barbier, Diapason n° 429)

« On est frappé par la plénitude sonore pour l'époque, le mordant des cuivres, la hargne générale, le sens de la graduation à l'intérieur des mouvements. Cette version manque de timbales et, très peu, de définition [...]. » (Ch. Huss, Répertoire n° 147 p. 82)

Szell [2], ø 1952 O. Cleveland - Sony 

Szell, 1959 (Sony "Heritage"  MH2K 63 151)Szell, 1959 (Sony "Heritage"  MH2K 63 151)

Szell [3], ø 1959 O. Cleveland - Sony "Heritage" MH2K 63 151 (+ 7 & 8) / 89413 (SACD + 8e)
Durées : I. 8'40 - II. 12'10 - III. 7'51 - IV. 10'54 = 39'00
7 Rép. n° 116 / 5Y Diap. n° 452 / 4d Compact n° 46 p. 34

« Le Chef Hongrois George Szell, qui travailla de longues années à Prague où il fut l'assistant de Zemlinsky au Théâtre Allemand (1919-21) avant d'occuper les fonctions de Directeur général de la musique (1930-36), comprend l'univers de Dvorák avec force. La vision fougueuse, impérieuse de I emporte l'ensemble avec une puissance et un sens de la grandeur soulevant le coeur et l'âme [...].  Cleveland est un maître-orchestre ! Somptueux, coloré, vif, ample, frémissant, chaque pupitre est un régal pour les sens. L'ensemble américain, virtuose, chante à la perfection : profond, incandescent. [...] La maîtrise instrumentale quasi miraculeuse, fait de cet enregistrement l'un des plus étourdissants de la discographie [...]. Qui disait que la Nouveau Monde de Szell était froide ? » (Compact n° 46) 

« Evidemment les admirateurs de George Szell (nous en sommes) jubileront : voilà un impressionnant travail de dompteur d'orchestre, avec une conscience innée du « bon geste » au bon moment et des moments d'ivresse totale. Ces inoubliables et phénoménales éruptions font la valeur du coffret: la 8e Symphonie en son entier (avec un 4e mouvement grandiose), les ouvertures Carnaval et la Fiancée vendue sont à placer aux sommets. Ceux qui cherchent dans l'interprétation dvorakienne une sorte de ferveur nostalgique en seront pour leurs frais : l'approche de Szell, pas plus que celle de Dorati (Mercury) ou de Reiner (RCA, 9e seulement) n'est à mettre entre leur mains. [...] Mais l'absence, si clairement revendiquée, de frémissements émotionnels, gêne quelque peu dans la 9e (ce « Largo » n'offre pas forcément le même substrat qu'antérieurement dans I'oeuvre de Dvorák). [...] Bref, ce coffret impressionnant [...], qui s'adresse évidemment aux amateurs de grande direction d'orchestre, mettra peut-être de l'eau au moulin de ceux qui trouvent George Szell à l'image des hivers du grand Nord canadien : un peu trop rigoureux. » (Christophe Huss, répertoire n° 116) 

« Pour George Szell, Hongrois formé à Vienne et à Prague, la nécessité de la mise en valeur du patrimoine bohème découlait de sa parfaite connaissance de l'orchestre romantique allemand. Il rendait ainsi aux trois dernières symphonies de Dvorák leur communauté d'écriture avec celles de Schumann et de Brahms. C'est dans le même esprit d'analyse, de méticulosité, de respect absolu des structures formelles qu'il les interprète. L'exubérance rythmique dvorakienne ressort alors dans toute sa complexité, ainsi que l'invention mélodique strictement encadrée, magnifiée par la splendeur et la pureté de style des vents du Cleveland Orchestra. Une telle approche réussit tout particulièrement à la plus ressassée d'entre elles, la Symphonie « du Nouveau Monde », ennoblie par tant de perfection dans la mise en place architecturale, et dont le lyrisme est comme affiné par la netteté de trait des bois solos. » Pierre E. Barbier, Diapason n° 452)


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