Mise à jour : 13 septembre 2009
E
Eschenbach, ø
Houston, 1993 OS. Houston - Virgin 7243 561 360-2 (Intégrale)
3/8 Rép. n° 101 / 2Y Diap. n° 436
« Il n'y a [...] pas d'encre à gaspiller pour l'intégrale [Christoph] Eschenbach, où seule la Première fait illusion. Par ailleurs, dans un climat atone, d'une récurrente mièvrerie, Eschenbach cherche à nous montrer qu'il a bien lu les partitions et que les partie de vents sont magnifiques. Cela nous vaut de coquette mignardises (au point d'oublier la ligne principale) auto satisfaites. Les Troisième et Quatrième s'effondrent à la première occasion (dans la 4e le soufflet ne monte même pas !) » (Ch. Huss, Répertoire n° 101)
« [Christoph Eschenbach] dirige chacune des oeuvres avec la même molesse dans les épisodes lyriques, la même apathie dans les attaques... A vrai dire l'étonnement est totalement absent de cette lecture prévisible qui ne procède que par manie interprétatives. Les Andante sont soporifiques car l'orchestre n'avance pas. Quant aux mouvements plus dramatiques, il sont surarticulés, ce qui conduit inévitablement à une lourdeur hors de propos. Les interventions solistes ([...] celle de la flûte dans l'allegro energico de la 4e) sont interminables, languisantes et mièvres. » (Katia Choquer, Diapason n° 436)
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