Mise à jour : 19 mai 2003

Discographie Bruckner
Huitième symphonie

en ut mineur - Wab 108



T

Tennstedt [1] Concert Boston, Symphoy hall, 20 décembre 1974 OS. Boston - Navikiese Enterprise NAV 4004/4005
Durées : I. 13'59 - II. 13'16 - III. 24'38 - IV. 20'07

Tennstedt [2], ø Concert Hambourg, 24 septembre 1979 ? OS. NDR - Halloo HAL 21/22
Durées : I. 14'46 - II. 13'45 - III. 26'08 IV. 21'11

Tennstedt [3], ø Concert Berlin, 21 novembre 1981 Orchestre Philharmonique de Berlin - Sardana Records SACD-156/7
Durées : I. 14'43 - II. 13'30 - III. 25'57 IV. 21'37

Tennstedt [4], ø Concert Chicago, 3 décembre 1981 OS. de Chicago - Navikiese Enterprise NAV 4012/4013
Durées : I. 14'42 - II. 14'43 - III. 25'56 - IV. 21'11

Tennstedt, 1982 (Emi 64849)

Tennstedt [5], ø Londres, Abbey Road Studio, 24-26 septembre 1982 London Philharmonic - Emi "Studio plus" CDM 7 64849-2 / TOCE-7573 [C 157-43 434/35 / SLS 5290 - LP]
Durées : I. 14'16 - II. 14'01 - III. 26'02 - IV. 21'03 = 1 h 15'33 [Vers. 1890, révision de Josef Schalk Ed. Nowak, 1955]
6/7 Rép. n° 65 / 2Y Diap. n° 285 & 404

« L'interprétation est plate et conventionnelle. Rien, vraiment rien de saillant tout au long [des quatre plages] où l'on se demande si le chef se sent réellement concerné par ce qu'il joue. La meilleurs serait peut-être le Scherzo, assez animé ; mais le trio retombe dans la grissaille d'où l'on ne sortira plus jusqu'au terme de l'ouvrage. En bref, de l' « honnète » travail d'artisant laborieux ; mais où est le drame, où est le cataclysme qui doit submerger, l'auditeur à chaque page de ce chef-d'œuvre ? » (Paul-Gilbert Langevin, Diapason n° 285 p. 41 - juillet 1983)

« Interprète mahlérien universellement reconnu et admiré Klaus Tennstedt n'a pas réussit à démontrer la même maîtrise dans le reste du répertoire qu'il a dirigé et gravé, sauf aux dire de la critique londonienne [...]. Fraîchement accueillie à sa parution [cette Huitième] ne s'impose pas dans une discographie très fournie. Si les deux premiers mouvements témoignent d'une progression dynamique et d'un équilibre des tempos satisfaisant, en revanche l'Adagio est terriblement statique et étale, tandis que le Finale souffre d'accents d'une loiurdeur exagérée. » (Jean-Claude Hulot, Diapason n° 404 p. 116 - mai 1994)

Tennstedt [6], ø Concert Philadelphie, Academy of Music, 5 janvier 1989 O. Philadelphia Orch - Classics TH 016
Durées : I. 15'54 - II. 14'42 - III. 27'49 - IV. 22'10

Tintner [1], ø 31 août 1982 Nat'l Youth Orch Canada - [Jubal 5003-4 - LP]
Durées : I. 16'25 II. 14'11 - III. 31'15 - IV. 22'56 = 1 h 24'47 [Vers. originale 1887  Ed. Nowak, 1977]

Tintner, 1996 (Naxos 8 554 215/6)

Tintner [2], ø 23-25 septembre 1996 O. National d'Irlande - Naxos 8.554215-16
Durées : I. 17'41 - II. 15'14 - III. 31'10 - IV. 25'10 = 1 h 29'28 [Vers. originale 1887  Ed. Nowak, 1977]
7 Rép. n° 119

« La première version (1887) de la Symphonie n° 8, presque toujours négligée au profit de la seconde (1890) nous laisse entrevoir un Bruckner moins massif, plus véloce. Les différences entre les deux jets de l'oeuvre sont nombreuses et importantes : l'orchestration fut retouchée sur des pans entiers, mais les développement thématiques ont également été révisés. Entre 1887 et 1890, Bruckner a tenté de simplifier, d'écourter son discours. Seul l'Adagio reste à peu près intact dans ses grandes lignes. La pâte sonore que Georg Tintner obtient de l'Orchestre national d'Irlande est flateuse, homogène et colorée. Son geste se veut répide, jamais appuyé, jamais brutal. » (L. Campellone, Répertoire n° 119 p. 91 - décembre 1998)

Tsutsumi, ø Concert 16 septembre 1995 OS. Shunyukai - Shunyukai 19950916
Durées : I. 15'03 - II. 13'12 - III. 26'15 - IV. 23'57 = 78'38


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