Mise à jour : 09 septembre 2016
N
ø Concert Londres, Barbican Centre, 28 septembre 1995 - LSO - [Inédit ]
ø Concert janvier 1998 - O. Concertgebouw - [Archive radio ]
Durées : I. 15'18 (reprises) - II. 6'09 - III. 15'47 - IV. 5'37 - V. 8'50
ø c. 1972 - O. Radio Ljubjana
* CD : Forum 506 2197-2 / Classica D'Oro 5020 (p 1994)
Durées : I. 15'09 - II. 6'06 - III. 16'58 - IV. 4'37 - V. 11'20 = 55'07
Comme à l'habitude, les bandes de ce chef ont été publiées sous divers pseudonymes totalement inventés par des éditeurs peu soucieux d'art... Voici quelques exemples de références données par Hugo Röling :
ø Hilversum, Studio MCO5, mars 2009 - O. Philharnonique Rotterdam
* CD : BIS SACD-1800 (p 2010 + La Mort de Cléopâtre avec la soprano Anna Caterina Antonacci)
Durée : 54'30
ø Londres, Abbey Road Studio, 1988 - London Classical Players
* CD : Virgin 3632862 / VM 561379-2 / Emi "Reflexe" CDC 7 49541-2
Durées : I. 14'18 - II. 5'55 - III. 14'33 - IV. 7'25 - V. 10'37 = 53'10
Son : Mike Clements
8 Rép. n° 12 / 4Y Diap. n° 439 / 2d Compact n° 40
Avec disposition de l'orchestre originale.
« Ce respect des intentions du temps et de Berlioz (par exemple quatre harpes ; martelés et «a punto d'arco» - de la pointe de l'archet - dans le premier mouvement ; trompettes sans pistons ; présence d'un ophicléide) sont éminemment louable. Mais il y a loin de la coupe aux lèvres et, pour l'avoir écoutée plusieurs fois, partition en main, je puis témoigner, sans gloriole ni joie, de ma déception. La Rêverie du premier mouvement, à la fois apathique et nerveuse, ressemblent davantage, par ses aspects abrupts, à un cauchemar - ce qui peut s'expliquer et pourrait être prémonitoire. Mais par la suite, de trop nombreuses notes bousculées, télescopées et un rythme très «agitato» tirent dangereusement la partition vers un expressionnisme hors de propos. Et lorsque «l'Idée fixe» s'élève, ni belle dans sa sonorité, ni sûre dans sa ligne mélodique, on se demande à quoi bon tant de mal pour retrouver une justesse et une beauté qui nous échappent... On pourrait en effet reprocher à Roger Norrington bien des choses. Déjà en ce qui concerne le respect de la partition dont il se targue tant, mais où l'on trouve en fait maintes entorses (par exemple : coups d'archets ; notes piquées dans les finales de phrases ; silences apparent de la flûte doublant les violons : par exemple dans les mesures 20-30 de III ; discours haché; insuffisance grave de plusieurs instruments : en particulier du cor anglais dans III, du basson dans IV ; des trombones dans le Dies Irae ; des attaques manquées ; départ de la Danse de Sabbat, notamment...). Mais au-delà de ces remontrances, comment ne pas stigmatiser certaines insuffisances ? Le discours est trop souvent disparate et manque de « chic » («Scène de Bal») ; il est dépourvu de nef («Marche au supplice»), de sens sarcastique. Quant à «La Nuit de Sabbat» prise dans un tempo incertains et fluctuant, elle pêche par défaut d'ampleur, de nervosité : le fameux rire est tout simplement raté : tout le final semble joué par quelque Saint-Placide... Non, vraiment, j'attendais mieux de Norrington [...]. » (Jean Gallois, Compact n° 40)
ø Concert Bremen, septembre 2003 - Musikfest Bremen - [Origine : Archive radio]
ø Concert septembre 2003 - SWR Stuttgart - [Origine : Archive radio]
Durées : I. 14'46 - II. 6'04 - III. 16'13 - IV. 7'50 - V. 11'20
ø 2011 - SWR Stuttgart
* CD : Hänssler Classics CD 93.103 (p 2012)
Durées : I. 14'46 - II. 6'09 - III. 16'13 - IV. 7'50 - V. 11'48
ø 1994 - S. Band Belgian Guides
* CD : DHM records (P: EMI Toshiba)
Durées : I. 14'49 - II. 5'50 - III. 16'15 - IV. 5'00 - V. 10'16
ø Concert 26 février 1960 - OP. de Leningrad
Durées : I. 13'20 - II. 6'00 - III. 14'40 - IV. 4'22 - V. 9'49
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