Discographie Berlioz
Symphonie Fantastique

Rattle [1]

ø Concert Rotterdam, 14 février 1997 - OS. de Rotterdam - [Archive radio ]
Durées : I. 14'30 (reprises) - II. 5'58 - III. 15'32 - IV. 6'38 (reprises) - V. 9'09

Rattle [2]

ø Concert Vienne, Musikveirein, 20 avril 1997 - Orchestre Philharmonique de Berlin - [Archive radio ]

Rattle [3]

ø Concert Paris, Théâtre des Champs Elysées, 21 avril 1997 - Orchestre Philharmonique de Berlin - [Archive radio ]

Rattle [4]

ø Berlin, Jesus Christus Kirche, 30 mai 2008 - Orchestre Philharmonique de Berlin
* CD : Emi 216 2240 (p 2008 + La mort de Cléopâtre avec Susan Graham)
Durée : 55'22

Une critique en allemand de Christoph Braun.

Une critique en anglais de John Quinn.

Il existerai un autre enregistrement de 1996 avec Vienne dans les archives d'Emi.

Pierre Réach (piano)

ø 1993
* CD : Arcobaleno AAOC 93222
Durées : I. 14'21 - II. 6'19 - IV. 13'45 - IV. 4'38 - V. 11'00
6 Rép. n° 75, 160 / 5Y Diap. n° 403

Reuter

ø 1990 - O. Opéra Comique de Berlin
* CD : Berlin Classics 492 109 / Edel Classics 0185362BC
Durées : I. 15'47 (reprises) - II. 6'47 - III. 18'47 - IV. 5'11 - V. 10'32
4/7 Rép. n° 80

« [Ce disque est pouvu d'un] orchestre fort présentable [...], [d'une] prise de son DDD très correcte, [d'un] chef raisonnablement efficace. Cela dit, à long terme, l'interprétation s'essouffle, et ce ne sont pas quelques prétendues trouvailles dans la « Nuit de Sabbat » plutôt des bizzarreries instrumentales en fait) qui retiennent durablement l'attention. » (Laurent Barthel, Répertoire n° 80 p. 29 - mai 1995)

Rodzinski

ø c. 1940 - O. de Cleveland
* 78t : Columbia MM-488
* LP : Columbia RL 3059

Roth

ø 2009 - Les Siècles
* CD : Les Siècles Live/Actes Sud Musicales ASM 02

Rozhdestvensky [1]

ø 1962 - OS. Radio Moscou
* LP : Melodiya 33 C 01549/50 (p 1978) / Chant du Monde LDX-A 78 416
* CD : Melodiya MEL CD 10 01433
Durées : I. 14'13 - II. 6'20 - III. 17'15 - IV. 4'29 - V. 10'16

« On était en droit d'attendre une "Fantastique" exceptionnelle. Or, il nous faut avouer une sérieuse déception. Les qualités chorégraphiques du plus grand, sans doute, parmi les chefs de ballet à l'heure actuelle, servent la remarquable réussite du "Bal", ne laissant rien à désirer (ah, les belles harpes...). Mais elles se retournent contre lui à l'heure de la "Scène aux champs", si difficile à défendre en sa longueur diffuse, par un parti-pris métronomique assez lassant, alors que, au contraire, la mesure, ici, devrait pouvoir se faire oublier. De même, le 1er morceau demeure un peu languissant. Restent les deux derniers mouvements, les deux seuls réellement "fantastiques" de l'ouvrage (le final, à lui seul, contient plus des 9/10° de ses nouveautés géniales) : eh bien, Rojdestvenski nous déçoit par un manque d'intensité dramatique et de diabolisme... Mon interprétation préférée demeure celle de Pierre Monteux... » (Harry Halbreich, Harmonie n° 41 - mars 1968)

Rozhdestvensky [2]

ø Concert Londres, Royal Albert Hall, 9 septembre 1971 - OP. de Leningrad
* CD : BBC Legends 4163-2 (p 2005) / BBC Radio Classics BBCRD 9117 (p 1995)
Durées : I. 14'01 - II. 6'18 - III. 16'12 - IV. 4'26 - V. 9'53
8/6 Rép. n° 85

Une critique en anglais de John Quinn.

Rozhdestvensky [3]

ø Concert 1er février 1988 - O. Ministère Culture URSS
* CD : Russian Revelation
Durées : I. 14'19 - II. 6'28 - III. 17'41 - IV. 4'43 - V. 10'25

Rozhdestvensky [4]

ø 4-9 novembre 1991 - OP. Royal de Stockholm
* CD : Chandos CHAN 9052 (+ Ouverture Corsaire)
Durées : I. 14'11 - II. 6'40 - III. 18'45 - IV. 4'49 - V. 10'29 = 55'13

« Les talents de coloriste, la sensibilité de Rozdestvenski ne sont plus à démontrer. Le résultat n'est pourtant pas entièrement convaincant dans la "Fantastique". La vision d'ensemble, d'une grande clarté de texture, est pensive plus qu'active, ce qui fait qu'on perd peu à peu le fil de chaque mouvement... Plus généralement, l'élément "agitato" et "appassionato" semble avoir été perçu avec trop de prudence. Dans cette optique, le "Bal" est élégant mais assez neutre, sans vraie vibration ni vertige. Et comme on pouvait s'y attendre, la "Scène aux champs" se traîne... La "Marche au supplice" convainc davantage alors que le "Songe d'une nuit de Sabbat" se pare, tempo lent oblige une fois encore, d'une solennité grave assez inattendue - non sans lourdeur - avec des appels de cuivres qui semblent déchirer la texture orchestrale... » (Rémy Louis, Diapason n° 384 - juillet 1992)

Rosbaud

ø 1937 - OS. de la Radio de Frankfort - [Origine : ?]