Mise à jour : 09 septembre 2016

Discographie Rimski-Korsakov
Schéhérazade

Suite symphonique d'après « Les Mille et une Nuits », opus 35 (1888)

Rimski-Korsakov par Valentin Serov, 1865-1911 (peinture)


P

Perlea

ø 1963 - OS. Bamberg
* CD : Vox

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Previn [1]

ø 1968 - LSO
* LP : RCA AGL1 1 330
* CD : RCA VD 60643
Violon solo : John Georgiadis
4 Répertoire n° 34 / 3Y Diapason n° 214 / 3d Compact n° 63

« Dans cette réédition, Prévin dirige assez mollement. les fins de phrases retombent sans relancer le leitmotiv. Tout cela manque de vigueur. Shahriar n'inspire aucune terreur, tout au plus une certaine lourdeur wagnérienne dans les premières attaques de cuivres du début. Le violon solo de Geirgiadis n'a pas beaucoup de chaleur, sa sonorité est acide. Dans le Récit du Prince Kalender, on ne discerne pas toujours le choix interprétatif du chef, incertitude qui s'accentue encore dans l'avant-dernier tableau, la prise de son n'arrangeant rien. Dans le Finale les cordes londoniennes ne sont pas toujours en place (thème de Schéhérazade) et l'ensemble manque de relief, les percussion écrasant un peu tout sur leur passage. Schéhérazade meurt « asphyxiée ». » ( , ( Stéphane Friédérich, Répertoire n° 34 p. 56 - mars 1991)

« Si les qualités propres et l'aisance de l'ensemble ne se démentent pas, on est en droit de trouver le phrasé parfois vague, les attaques un peu molles, l'orchestre un peu broussailleux. Il manque a cet enregistrement honnête la vision d'un chef autoritaire et plus farouche que sentimental [...]. » (Olivier Philipponnat, Compact n° 63 p. 64 - avril 1991)

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Previn, 1981 (Philips 411 479-2)Previn, 1981 (Decca UCCD 9755)

Previn [2]

ø Vienne, Musikverein, 10-11 décembre 1981 - Philharmonique de Vienne
* LP : Philips 6514 231 (p 1983)
* CD : Decca UCCD 9755 (p 2009) / Philips 411 479-2
Violon solo : Rainer Küchl
Durée : 44'41
3Y Diapason n° 281

« [On ne peut rien] reprocher à Previn question lecture et mise en place, mais par moments, on voudrait encore plus de nef, de relief, des contrastes mieux marqués, une gamme de nuances encore plus étendue. Sa Shéhérazade ne manque ni de beauté plastique ni de séduction (Le Jeune Prince et la Princesse sont envoûtants à souhait), mais on cherche vainement cette note sauvage, inquiétante et cette dimension dionisiaque à laquelle accède magnifiquement Muti [...]. » (André Lischke, Diapason n° 281 p. 83 - mars 1983)

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Previn [3]

ø Concert 27 juin 1982 - Philharmonique de Vienne - [Origine : Bande Radio]
Violon solo : R. Küchl

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